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Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.
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MessageSujet: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 10:35

Dernière édition par Alyana Maxwell le Ven 5 Mai 2017 - 9:45, édité 4 fois
“ Alyana Maxwell ”

Informations Générales

Prénom(s) : Alyana
Nom : Maxwell  
Date de naissance : 15 août
Âge : 25 ans
Métier / Études : Infirmière en chirurgie
Statut marital : Célibataire
Orientation sexuelle : Aucune Hététo
Groupe : Lonesome cow-boy
Avatar : Emilie de Ravin

Y a mon cheval, les sushis, la malbouffe, la musique, les jeux vidéo, les BDs, la famille. Y a aussi les allergies, la nausée le matin, la cigarette et la fatigue.
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Inventaire


Arme : Un sabre.
Objets utiles : Un briquet, une corde [non, je ne suis pas suicidaire].
Objets rares : Un cheval, des cigarettes, des vêtements de rechange.
Véhicule : Un vieux break tout pourri.
Possessions personnelles : Mon smartphone, même s’il ne sert plus à rien.


Caractère et Personnalité

Je ne suis pas du genre à aimer décrire mon caractère. Pourquoi ? Parce que j’aurai tendance à rajouter de la négativité, à me « sous-évaluer ». Surement une histoire d’humilité, inconsciemment, vous voyez ?
J’ai toujours été relativement débrouillarde. Gamine, je vivais dans l’ombre de ma sœur, qui était la chouchou de mes parents. De ce fait, j’apprenais à m’occuper moi-même. Mais bon, nous y reviendrons par après.
Paradoxalement, même si je suis débrouillarde, j’ai toujours été une grosse flemmarde : j’adorais passer ma journée devant mon ordinateur, à glander et à regarder des séries, plutôt que de faire autre chose. Je devais d’ailleurs me préparer psychologiquement à aller voir Emperador au moins une heure à l’avance. Mais ce temps est révolu. Malheureusement. Je n’ai jamais été dynamique, aussi. Ce serait un beau mensonge de dire le contraire. Je prenais mon temps pour n’importe quoi. Sauf au boulot, j’essayais tout de même de faire un effort.
Mais bon, je n’ai pas que des défauts, ne soyons pas si négatif. D’ailleurs, j’ai toujours été fort optimiste. Mais plus depuis l’invasion des walkers. Sauf si le fait de vouloir survivre est une sorte d’optimisme. Hmm, c’est une bonne question ça. Vous avez 4h.
Ah oui, j’ai aussi de l’humour à la pelle. Bien que depuis le changement radical du monde, mon public est un peu restreint ; il n’est plus composé que d’Emperador. D’ailleurs, si un jour vous me croisez, vous me prendrez surement pour une folle, à parler avec mon cheval. Mais ça va, je le vis bien, merci.
Une de mes qualités est ma patience mais ça, on s’en fiche un peu. Il y a aussi mon ancien métier. En temps qu’infirmière, je peux panser les plaies, soigner les blessés… bien pratique ! Dommage que je vive seule. Encore une fois, paradoxalement, j’ose dire ce que les autres pensent tout bas. Ça ne plait pas à tout le monde, mais tant pis.
Bon, il y a surement encore plein de choses à dire, sauf que je ne m’en rappelle pas. Ou alors que « ce n’est plus d’actualité ». Genre, j’étais accroc à mon téléphone portable. Mais on s’en fout carrément de ça, hein ?

Histoire


Je suis née un bel après-midi d’août -en fait, je n’en sais rien, suite à l’union d’un père et d’une mère bourges. Vous savez, ceux qui sont ultra-populaires, qui font des soirées barbecue dans leur jardin extrêmement bien entretenu en été, et des soirées raclette ou fondue en hiver, dans leur maison de banlieue, vierge de toute bactérie, tellement elle est propre. Des gens travaillant dans une grande banque nationale et participant au conseil des parents d’élèves, de la maternelle jusqu’au lycée. J’étais la cadette d’un duo d’enfants –ma sœur s’appelant Stacy. Mais comment cela se fait que des parents aussi stéréotypés aient donné un nom aussi décalé à leur dernière gamine, me direz-vous ? Eh bien, ce n’est pas eux qui l’ont choisi. Ce fut la sœur de ma mère, qui était un peu du genre… eh bien, décalée. Artiste, fan d’héroïc-fantasy et de jeux vidéo, avec un petit côté punk. Elisa, était son doux prénom. Pour ce qui est du prénom de mes parents, on s’en fout, ce n’étaient que des cons –ah, s’ils m’entendaient !
Honnêtement, je ne sais pas si j’étais désirée. J’en ai toujours douté. D’aussi loin que je me rappelle, quand il y avait des soirées importantes –que ce soit à la maison ou à l’extérieur- mes parents tentaient le plus possible de me refourguer à Elisa. Allez savoir pourquoi. Je ne l’ai jamais su. Ce n’est pas comme si j’étais totalement différente de ma Stacy –parce qu’elle, elle pouvait y assister, à ces soirées. Elle était aussi blonde que moi, petite fille parfaite avec son regard d’ange et sa politesse presque déplacée. Ah mais oui, il y avait quelque chose que j’avais et qu’elle n’avait pas ! Une grande gueule. J’osais dire quand quelque chose m’ennuyais et je n’avais pas peur des représailles. Et s’il y avait bien quelque chose qui m’ennuyait, à l’époque, c’était ces réunions d’adultes, avec leurs enfants parfaits. Tandis que ma sœur faisait des petites courbettes et des sourires stupides à tout le monde. Oui, donc ça se tient.
J’ai commencé à monter à cheval vers l’âge de 4 ans. Elisa nous avait emmenées, ma sœur et moi, au poney club, alors que mes parents étaient en voyage. Et j’avais détesté. J’avais peur du poney que je montais, j’avais peur de tomber, de me faire mal. Moi qui étais pourtant une tête brûlée… fallait me comprendre quoi : ce n’était pas comme un vélo, que je maîtrisais parfaitement. Ma sœur quant à elle, avait adoré. Elle continua l’équitation pendant des années, tandis que je me contentais de faire du roller ou du skateboard. Quand Stacy eut 12 ans, elle eut son premier poney. Elle faisait de la compétition, et la famille venait la supporter tous les dimanches. Quant à moi, âgée de 10 ans, je me décidai à réessayer l’équitation. Au final, ce n’était pas si terrible. C’était un sport qui me convenait bien : il fallait être en duo, réfléchir à deux, non pas seul. Je continuai à monter les poneys de manège –mon égoïste de sœur ne voulant pas que je pose mon cul sur sa monture de Barbie.
Elle et moi, nous n’avions pas la même définition de l’équitation, et même de la vie en général. Mes parents offraient tout à Stacy. Tout. Quant à moi, je devais me contenter des restes et de ce qu’Elisa pouvait m’offrir. Ma sœur n’était pas gentille avec ses poneys, était toujours première de classe, prenait les gens de haut, tout en restant polie, et s’amusait à casser du sucre sur le dos de tout le monde –comme une bonne faux-cul qui se respecte.
Pour ma part, j’étais douce et patiente avec mes montures –de manège, du coup. J’étais une grosse glandeuse à l’école et je réussissais mes années on ne savait trop comment, j’étais directe, n’avais pas peur de dire ce que je pensais. C’était donc tout naturel que les parents donnent tout à Stacy : elle suivait leur chemin.
Nous allons donc passer les années de collège et de lycée. Vous savez tout ce qu’il fallait savoir : ma sœur était parfaite et moi je n’étais qu’une copie ratée de celle-ci. Mais je le vivais bien. Je n’ai jamais été malheureuse pour autant. J’avais vite cerné ma famille et j’étais contente de pouvoir partager mes passions avec Elisa.
Quand j’eus 16 ans, Stacy partit pour New-York. Elle allait faire avocate. Miss parfaite, avec un métier parfait. Rien ne changea vraiment à ma vie. Je passais toujours une bonne partie du temps chez Elisa, à jouer aux jeux vidéo, à fumer des clopes et à éviter le plus possible mes parents. Pour l’anniversaire de mes 17 ans, ma tante m’offrit ma première voiture : un vieux break qu’elle avait fait revoir par un de ses amis mécaniciens. Et la vie continua, avec ma sœur en moins dans les pattes.
A 18 balais, je me décidais à faire des études d’infirmière. J’aimais bien les gens –quoi qu’on en dise !!- et m’occuper d’eux, les écouter, leur donner du réconfort. C’était Elisa qui m’avait proposé de faire ces études, suite à une longue discussion sur mon avenir. A la base, je voulais bosser au McDo et m’offrir mon propre poney. Mais ma tante avait raison : il valait mieux que je fasse des études, que je gagne « bien » ma vie pour bien subvenir aux besoins de la bestiole.
La FAC pour être infirmière se situant près de chez Elisa, j’emménageai chez elle, laissant mes parents dans leur banlieue chiquos. Comme prévu, ces études me plaisaient. Je n’avais aucune difficulté à réussir mes examens. J’aimais ça. Je prodiguais des soins avec calme et humour. Les patients m’aimaient bien et j’aimais bien les patients –sauf les emmerdeurs, mais je restais correcte avec eux tout de même.
En même temps, je jouais toujours aux jeux avec Elisa, je lisais toujours mes BDs et mes mangas et je montais toujours les chevaux de club. Ma vie était simple, mais je l’aimais.
Une fois mon diplôme en poche, je m’offris un petit cheval pure race espagnole : Emperador, de son petit nom « Empe ». En Amérique, c’était le type même de cheval difficile à trouver. Et cher. J’avais dû vendre un rein au marché noir pour me l’offrir. Non, je déconne. Bref, je trouvais un boulot rapidement, toujours du côté de chez Elisa. Je lui payais les courses, tandis qu’elle me logeait toujours. J’avais rarement des nouvelles de mes parents et de ma sœur, mais je ne m’en plaignais pas. J’étais bien, avec Elisa.
Mais creusons un peu plus les détails à propos d’Emperador, voulez-vous ? Ceux qui ne s’intéressent pas aux chevaux, vous pouvez passer votre chemin, mais c’est toujours un petit plus, si vous voulez en connaître d’avantage sur moi. Emperador, c’était le cheval d’une gamine –pardon, adolescente- des écuries dans lesquelles je montais. Elle me faisait un peu penser à ma sœur : compétition, mauvaise entente avec son cheval, bagarre, tout ça… bref. Un jour, Emperador eut un claquage de tendons, suite à une compétition d’obstacles un peu trop hardue. Elle voulut mettre son cheval en vente. C’était donc un cheval espagnol, de couleur baie brûlé. Gentil. Très gentil. Mes économies en poche, j’avais négocié le prix avec les parents de la gamine. Ces derniers me faisaient penser aux miens. D’ailleurs, ils m’avaient dit qu’ils ne comprenaient pas que je veuille acheter un cheval « cassé » et qu’il ne méritait que de se retrouver à l’abattoir. Bande de connards. Ça, je leur avais dit, mais une fois les papiers en main, évidemment. Bref, on pouvait dire que j’avais sauvé la vie de mon Empereur. C’était à croire qu’il le savait, car il me le rendait bien : pas une chute depuis que je l’avais, des câlins, du respect. Je ne vivais plus que pour mon cheval, le couvrant de cadeaux avec du matériel onéreux et de qualité. Pour ça, je ressemblais un peu à ma sœur.
Pendant un an, mon quotidien put se résumer par : boulot, Emperador, geek. Mais, et les amours, me direz-vous ? QUESTION IMPORTANTE OUI ! Dès le lycée, j’avais eu des copains. Ce n’étaient jamais des relations sérieuses. En fait, je n’avais jamais eu de relation vraiment sérieuse. J’étais tombée sur de beaux-parleurs, des mecs biens, des connards. Mais avec un boulot et une passion comme ceux que j’avais, c’était difficile de trouver quelqu’un pour le long terme.
Jusqu’à cette date fatidique du 14 mai 2014. Je m’étais mise sur Tinder, pour le fun. Sur le canapé, j’avais fait défiler plusieurs profils, dont on se moquait gentiment avec Elisa. Il y en avait qui semblaient pas mal, d’autres qui n’avaient pas l’air euh… de confiance. Je likais les profils au hasard, sans vraiment faire attention, quand tout d’un coup, un match ! C’était un mec sympa, avec qui j’échangeai quelques mots. Rapidement, il me trouva sur facebook et nous continuâmes notre discussion. Nous avions plusieurs points en commun, c’était cool. Après plusieurs jours, nous nous rencontrâmes en centre-ville. Ce mec n’était pas spécialement un mec bien, mais il n’était pas pour autant un gros salaud. En fait, c’était un mec comme moi. On avait le même humour, on rigolait bien. Il ne se passa rien, ce soir-là. On prenait notre temps, mais il me plaisait. Et je lui plaisais –merci les sous-entendus- mais on y allait progressivement. On allait au cinéma, faire les magasins, boire un verre.

Mais nous n’eûmes pas le temps de conclure quoi que ce soit. Ce matin de mi-août -on approchait de mon anniversaire !-, je me levai en sueur. Il faisait chaud et j’avais fait des rêves bizarres. Cela faisait plusieurs jours qu’Elisa souffrait d’une fièvre étrange, comme beaucoup de monde, en fait. On était allée à l’hôpital, mais les urgences l’avaient renvoyée avec des antibiotiques et antipyrétiques.
Je devais travailler l’après-midi, ce jour-là. Je devais rentrer tard et retrouver Seb –mon poto Tinder- au centre-ville pour finir la soirée chez lui. Je m’étais donc faite toute belle pour cette soirée qui s’annonçait très bonne. Mais coincée dans les embouteillages, alors que je fumais une cigarette « d’avant boulot », je vis des gens avancer bizarrement, sur les trottoirs. Alors que le feu passait au vert, je vis même une de ces personnes attaquer un homme à l’allure totalement normale. J’aurais aimé m’arrêter, mais déjà, d’autres personnes tenaient de s’interposer. Je continuai donc ma route jusqu’à l’hôpital. Mes collègues m’attendaient dans la salle de garde, pour le rapport. Ils parlaient de ces « morts qui revenaient à la vie ». J’en avais entendu parler, mais je pensais qu’il ne s’agissait que d’un canular.
- Non, me lança une collègue, Il y a eu un cas comme ça en réa. Le patient s’est réveillé et a mordu une des infirmières. Elle est dans un état critique. Y a eu la même en gériatrie. Et le pire, c’est qu’ils sont insensibles. Comme immortels. Il y a juste une des infirmières qui a réussi à en anéantir un en lui plantant ses ciseaux en plein crâne. Elle est chez les flics en ce moment.
Mon sang se glaça et nous nous regardâmes quelques instants. C’était pas croyable. Si les morts revenaient à la vie et devenaient agressifs, nous étions en danger. Déjà. Et puis, comment était-ce possible, que les morts ressuscitent ? Physiologiquement, c’était impossible. Certes, il existait des cas de réanimation qui duraient plus d’une heure avant que le cœur ne reprenne. Mais…
Après un court rapport –il n’y avait pas beaucoup de malades, pour un mercredi, bizarrement- nous commençâmes notre travail. Mais après quelques heures, un chirurgien vint me trouver : il y avait eu une attaque du même genre qu’en soins intensifs et en gériatrie, au bloc opératoire. Il qualifiait ce problème d’inquiétant. Il me proposa d’ailleurs de faire sortir les patients stables, ainsi que ceux qui devaient se faire opérer.
- D’ailleurs, je vous conseille vivement de partir dès que possible, et de vous abriter. Ce n’est pas normal.
Ma collègue de l’après-midi et moi, nous nous retrouvâmes donc avec deux patients. Pour éviter de devoir faire des kilomètres, nous les regroupâmes dans une même chambre, juste en face de la salle de garde. J’échangeai plusieurs messages avec Seb, tandis que ma collègue lisait un magazine sur la santé.
Vers 17h, un cri se fit entendre, de la chambre. Nous jetâmes nos occupations à plus tard, pour courir dans la chambre et retrouver le patient du premier lit, allongé sur le deuxième, lui déchirant le cou à l’aide de ses incisives tranchantes. Il y avait du sang partout. Ma collègue hurla de terreur et le patient –ou la créature ?- leva ses yeux aussi froids que la mort vers nous. Instinctivement, tandis que la chose se levait et marchait vers nous, je pris ma collègue par le poignet et la tira hors de la chambre, tout en refermant rapidement la porte derrière nous. Ma pauvre collègue semblait au bord de la crise de nerfs. Je repensai à ce qu’avait dit le chirurgien. Non, ce n’était pas normal. C’était même dangereux, de rester dans un hôpital. En tant qu’infirmières, nous aurions dû sauver ce pauvre type du deuxième lit. Enfin, en même temps, avec la carotide déchiquetée ainsi, qu’aurions-nous bien pu faire ?
Instinctivement, je repris mon téléphone, ainsi qu’une cigarette, sous les protestations de ma collègue. Je composai le numéro d’Elisa. Pas de réponse. La peur m’envahit. Je prévins ma collègue que je partais et lui conseilla de faire de même. Mais elle n’avait pas l’air du même avis.
- Tu es responsable de ce qu’il s’est passé ! Tu n’as pas sauvé ce type ! On aurait dû faire quelque chose. Puis tu ne peux pas quitter ton poste comme ça !
Je soupirai et lui répondis d’un ton cassant :
- Si t’es prête à travailler dans ton état, vas-y, je suppose qu’ils ont besoin d’aide dans les autres étages, pour faire face aux morts. Mais moi, j’préfère… me mettre en sécurité.
Et je partis, sans demander mon reste. J’avais peur. Vraiment peur. Elisa ne répondait pas à son téléphone. Même en me changeant, j’essayai de la contacter, sans résultat. Je finis par rentrer dans ma voiture et repartir vers la maison. Seb m’appela et je le rembarrai en lui expliquant la situation. J’allais le recontacter, quoi qu’il arrive.
Une fois sur place, je fus étonnée de voir la rue calme. Trop calme. J’ouvris la porte de la maison d’Elisa et m’y engouffrai, tout en l’appelant. Elle ne répondit pas. Rien que ça, ça me faisait peur. J’avais peur, comme quand j’étais gamine et que je devais monter sur un poney. J’arrivai dans le salon, la hélant toujours, quand tout d’un coup, j’entendis un bruit venant de l’étage. Instinctivement, je pris un des sabres qu’elle avait ramené du Japon –genre sabre de collection, loin des bêtes sabres de cosplay qu’on pouvait trouver pour 20$- et m’avançai vers les escaliers, brandissant l’arme devant moi, tout en continuant d’appeler ma tante. Soudain, je vis la silhouette d’Elisa, en haut des escaliers. Elle avait le même regard que les morts. Je restai pétrifiée l’espace d’un instant, qui me parut durer des siècles, quand tout d’un coup, elle s’avança vers moi et tomba sur mon sabre, qui lui transperça le cœur. Je poussai un cri, tandis qu’elle, grognait et se redressait. Elle manqua de me mordre le bras, mais je fus plus rapide et la poussai en bas des escaliers en bois. Elle s’écroula sur la dernière marche et se remit aussitôt à ramper vers moi. La panique, les larmes me gagnaient : ma tante était devenue une de ces choses. Ma tante voulait juste me bouffer. Tant bien que mal, j’essayai de la raisonner. Mais je savais que c’était inutile. Ces choses n’étaient pas comme nous. Ces choses n’étaient plus humaines. Elisa s’approchait de plus en plus de moi, ses cheveux bruns en bataille. Tête. Ciseaux.
Sans même réfléchir, je plantai mon sabre dans la boite crânienne d’Elisa. Et ce fut fini. Elle ne bougea plus. Le sang se déversait sur les marches cirées et je retirai la lame, qui m’échappa et tomba quelques mètres plus bas. La nausée m’envahit pendant que les larmes coulaient sur mes joues pâlies par l’évènement. Je tombai à genoux, suppliant à ma tante de me pardonner. Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi, à pleurer le corps sans vie d’Elisa.
Mes esprits légèrement repris, je repensai à l’autre chose la plus importante dans ma vie : Emperador. Je me relevai difficilement. Qu’allais-je faire du corps, aussi ? Bonne question. J’appelai le 911 : saturé, file d’attente. C’en était impensable.
Seb. Il fallait que j’appelle Seb. Je cherchai son nom dans mon répertoire et l’appelai. Lui au moins, il me répondit.
- Alyana ! Putain c’est une catastrophe, y a les flics partout. Ils tirent sur n’importe quoi. J’allais t’appeler, je commençais à m’inquiéter de pas avoir de tes nouvelles.
- J’ai tué Elisa.
- Quoi ?
- J’ai tué Elisa, répétai-je.
Je lui expliquai rapidement la situation, qu’il écouta avec attention. Une fois mon récit fini, il me proposa de venir me chercher. Non. Je devais d’abord voir si Emperador allait bien. De plus, je ne voulais pas rester dans cette maison une seconde de plus. Je me jetai dans mon break, toujours en possession du sabre que j’avais utilisé, en promettant à Seb de lui donner l’adresse des écuries, une fois sur place.
- Ok. De toute manière, si tu ne le fais pas, j’irai voir dans tous les manèges de la ville et alentours.
Cette remarque me réchauffa le cœur et je partis à vive allure vers les écuries. Une fois sur place, le calme me percuta. Nous étions mercredi : les enfants auraient dû être là. Je me rendis dans l’allée d’Emperador. Mon sang ne fit qu’un tour : une des créatures –qui était le propriétaire des écuries- était à la porte du box de mon cheval, tendant les bras vers lui, grognant. A travers les barreaux, je vis la peur dans le regard de mon compagnon. Une fureur indescriptible s’empara de moi.
- Pas mon cheval, connard !
La créature se tourna vers moi et avant même qu’il n’ait pu faire un pas dans ma direction, mon sabre vint se loger entre ses deux yeux. Je lâchai tout et entrai dans le box d’Emperador, lui faisant un câlin et le rassurant. Au moins, lui, étant bien vivant. Je m’empressai de prendre mon téléphone pour appeler Seb. Pas de réseau. Plus de réseau. Je tentai de l’appeler plusieurs fois, sans succès. Je passai la fin de l’après-midi à essayer, à lui envoyer toujours les mêmes messages. Mais jamais ils ne passaient.
Assise dans le box d’Emperador, j’attendis longuement, massacrant mon téléphone d’injures. Et en relisant les sms envoyés avec Seb.
Jusqu’au moment où je me résignai et me relevai, alors que la soirée était déjà bien avancée.
- Bon… et si je te donnais un peu à manger, non ?

Et depuis ? Et depuis, j’ai élu domicile dans les écuries. Il y avait une maison, dans laquelle vivait le propriétaire –enterré par mes soins dans une des prairies. J’y ai vite emménagé, tout en ramenant mes affaires de chez Elisa. Les écuries comptaient une dizaine de chevaux. Je ne pouvais pas m’occuper de tous, c’était un peu trop fou. Du coup, je n’en ai gardé que deux : Emperador et Lexie, une jument que je montais fréquemment, avant d’acheter mon espagnol. Malheureusement, lors d’une de mes escapades pour chercher à manger, nous nous sommes fait attaquer par une bande de Walkers. Lexie m’a sauvée la vie, en se faisant bouffer à ma place, ne me laissant que de la tristesse. Depuis, je n’ose pas trop sortir avec Emperador.
J’ai aménagé les extérieurs pour que les créatures ne puissent pas entrer : chaque clôture est renforcée par des piquets de bois, qui au pire empêchent les walkers d’avancer et qui au mieux, les tue directement. J’ai aussi réussi à remettre en route le vieux puits, qui avait été condamné. J’avais donc l’eau de pluie à disposition. Ce n’était pas un palace, mais c’était mieux que rien.
Et les autres ? J’avais fait la connaissance de quelques personnes, lors de mes expéditions. Mais jamais personne n’était resté avec moi. Les écuries étant légèrement en retrait de la route, personne n’était encore venu me trouver. C’était une véritable chance. Et Seb ? Seb… peut-être qui était l’homme de ma vie, j’avais laissé tomber. Il était surement mort, à l’heure actuelle. Ou alors, il avait réussi à s’échapper, oubliant la belle promesse qu’il m’avait faite.
Mais ça ne m’empêche pas de penser à lui tous les jours, tout en survivant.

Derrière l'écran

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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 10:40
FEMME lalove

(Re)Bienvenue, tu sais pas comme je suis heureuse de voir ta tronche de poutre ici !
Si t'as des questions, tu sais où me trouver !
J't'aime What a Face
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 10:44
JE LE SAVAIIIIIIS bounce bounce Lala

ALYYY \o/ *viole toutes les majuscules de son clavier. En même temps*

Comment ça fait plaisir de te voir en vrai Cute Comme d'hab, je serais hyper chaud d'un RP, et j'ai hâte de voir ton histoire, même si on fini par te connaître pervers
(Mais crois-moi, c'est loin de nous déplaire Tongue )

Bienvenuuuuuue Very Happy ♥️
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 11:22
JE SUIS HEUREUSE DE VOUS VOIR AUSSI <3

Et un RP, ce serait avec playsir Very Happy

Par contre Lïnko [j'pensais que tu prendrais Johnny comme avatar tiens Surprised ], y aura du chaaaaangement dans l'histoire cette fois. Nyurk nyurk.
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 11:28
Bienvenue !! Cute
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 13:06
ALYYYYYYYYYY Lala cucu *lui saute dessus pour lui examiner une mèche de cheveux à la loupe °°*
JSUIS TROP CONTENTE OMG ♥️ La dream team et tout et tout 8D
ça fait trop plaiz' de revoir ta petite bouille '-'
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 13:31
Tant mieux si la route est longue,
On pourra faire un peu plus de détour Very Happy

Bienvenue à toi !!
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 13:42
Je suis happy de te revoir ici! Au plaisir d’écrire ensemble de nouveau!
L'Arène
Isha CornwellL'Arène
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 14:13
Bienvenue a toi Smile
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 14:55
Merci à tous ! Very Happy
*vérifie sa mèche de cheveux à la loupe aussi, en même temps que Lily*

Haha oui Samara, on va pouvoir faire plein de détours Very Happy
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 15:21

Dernière édition par Lyuba Kreskin le Ven 7 Juil 2017 - 19:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 17:14
Bienvenuuue Lala
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 18:02
Merci à vous deux ! Smile
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 20:43
Un jour tu m'emmèneras faire une balade sur ton cheval ? Cute
En attendant, j'ai du boulot pour toi Ange


Félicitations, tu es validé(e)

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Bienvenue du côté obscure de la Force, mon jeune ami !
Maintenant que tu as passé la dure épreuve de la fiche, tu vas pouvoir enfin t'amuser parmi nous. Enfin... Après avoir fait encore quelques petites choses indispensables que voici :


  • Tout d'abord, il faut que tu ailles recenser ton avatar dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et ton métier dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], afin de rester quelqu'un d'unique !

  • Afin qu'il soit plus facile pour les autres joueurs de te proposer des liens ou des rps et de rester à jour sur ceux que tu as déjà, pense à créer ton [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ! Il y a un code mis à ta disposition si tu en as besoin, mais la présentation de ce sujet est entièrement libre alors amuse-toi !

  • Tu peux aussi créer un scénario si tu en as besoin, dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais sache bien que tu n'as pas le droit d'en proposer plus de deux en même temps, alors choisis bien Hihi

  • Enfin, comme tu peux le voir, nous avons un système de points sur le forum et tout ce que tu dois savoir à ce sujet se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], prends donc le temps de lire tout ça au moins une fois pour être sûr de ne rien oublier !

  • Et surtout n'oublie pas que peu importe que tu sois là depuis un jour ou un an, tu peux contacter le staff à n'importe quel moment si tu as besoin d'aide pour quoi que ce soit concernant le forum. Alors n'hésite surtout pas !

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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 21:25
Une autre Maxwell ? Qui aime les Casseurs Flowters ? Nous devons RP ensemble Very Happy
Bienvenue sur le forum, un peu en retard ^^"
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 23:45
Que de hasards Very Happy Il faudra faire un RP oui Very Happy

Merci Very Happy
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyLun 1 Mai 2017 - 23:46
Bienvenue sur le forum!
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyMar 2 Mai 2017 - 2:46
Je vous souhaite la plus des cordiales des bienvenues parmi nous ma chère. Veillez prendre note que le thé est servi à dix-sept heure précise.
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. EmptyMar 2 Mai 2017 - 7:49
Merci Riley Smile

Merci aussi Mr Wakeman. J'en prends bonne note et ne manquerai pas de venir prendre un thé.
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MessageSujet: Re: Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous.   Alyana Maxwell - Un jour on est venu au monde... depuis on attend que le monde vienne à nous. Empty

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