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Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 Quand le chat n'est pas là... FT. Lewis Koon
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MessageSujet: Quand le chat n'est pas là... FT. Lewis Koon   Quand le chat n'est pas là...  FT. Lewis Koon EmptyMar 2 Fév 2016 - 4:16
J'étais vraiment bien tombée! Vraiment, combien devait-il y encore avoir d'endroits avec l'eau courante? Trop peu, c'était certain, mais j'avais eu la chance d'être accueillie par ces gens, dans cet hôtel où je pouvais encore me permettre de me laver pratiquement quotidiennement. Pratiquement car j'avais déjà reçu quelques avertissements concernant le fait que nous n'aurions peut-être pas le privilège de l'eau courante pour l'éternité. En attendant par contre, j'étais plutôt du genre à vouloir en profiter. L'eau n'était peut-être pas très chaude, mais je préférais un bain froid à pas de bain du tout. Ça me permettait de relaxer un peu, me recentrer sur moi-même et tenter d'avoir un éclair de génie concernant un éventuel remède. J'étais bien décidé à travailler comme jamais auparavant pour trouver une cure. Les Infectés ne pouvaient pas éliminer la race entière au complet après tout, non?

Le soleil commençait tout juste à se lever que déjà, j'étais dans mon bain, flottant tranquillement. J'entends quelques grognements au-dessus de ma tête. L'étage du dessus n'ayant toujours pas été nettoyé, c'était immanquable que les Infectés continuent à grogner et faire du bruit. Je devrais tenter de me procurer du matériel de recherche, mais je ne savais pas où je pourrais en trouver. Je devrais demander aux autres, si jamais quelqu'un tentait une sortie vers un hôpital. Ensuite, je pourrais essayer d'avoir des échantillons du sang des Infectés. L'important, c'était d'y aller par étape et se montrer prudente. Cette résolution prise, je m'extirpai de la baignoire et pris ma serviette pour me sécher rapidement avant de m'enrober dedans. J'allais commencer à me rhabiller lorsque la catastrophe se produisit! Oui, une catastrophe! Une petite bête brunâtre qui courait pratiquement entre mes pieds. Bon en réalité elle était assez loin, mais elle me surprit tellement que je laissa échapper un cri. Pas un hurlement comme si j'étais en train de me faire dévorer, mais un cri qui montrait bel et bien que j'avais peur et que je me considérais en danger. Crier de la sorte n'était peut-être pas une bonne idée... surtout vu la situation actuelle, mais je n'y avais pas réfléchis. Je n'avais d'ailleurs pas penser que quelqu'un pourrait entrer dans la chambre et me trouver debout sur mon lit, enrobée dans une serviette. Je devais avoir l'air pitoyable!
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MessageSujet: Re: Quand le chat n'est pas là... FT. Lewis Koon   Quand le chat n'est pas là...  FT. Lewis Koon EmptyMar 2 Fév 2016 - 23:54


   
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Quand le chat n'est pas là...
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Stupide journée. Stupide stupide stupide et interminable journée. Je n'ai qu'une envie c'est de me cacher dans un coin. J'ai passé une nuit entre cauchemar et éveil paniqué. Et le pire dans tout ça je ne sais jamais si je suis vraiment réveillé ou non. Est-il possible de vivre toute une journée en rêve sans s'en rendre compte ? Est-ce que je peux vivre plusieurs semaines ainsi si une journée est possible ? Je tremble à l'idée d'être enfermé pour toujours dans un rêve dont je ne peux sortir. Alors je tente de trouver des trucs. Quand j'ai commencé à avoir ces crises, j'ai lu un truc sur le net. Un truc sur des rêves lucides. Aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est tellement loin. J'ai presque des souvenirs flous de cette époque. Il n'existe qu'une chose qui m'assure que tout cela est réel. Zazoo. Il est mon ancre. Mais aujourd'hui, il me fatigue. Il me fatigue parce que qu'il est jeune. Je le supporte facilement d'habitude. Mais la nuit et ces derniers jours à courir les provisions aux alentours m'ont tanné. Il faut dire que ça devient de plus en plus difficile. Forcement, après six mois, on commence à faire le tour des privions aux alentours. Il faut prendre de plus en plus de risques. Pour l'instant, Zazoo vient avec moi. Mais je n'ai aucune envie qu'il continue. Je ne veux pas, je ne peux pas le perdre.

Tourmenté par mes pensées lugubres je suis enfermé dans une chambre du premier. La majorité des gens de l’hôtel sont en dessous en train de préparer la journée et aussi de prévoir la prochaine sortie. J'ai décidé de simplement me poser dans une chambre, demandant qu'on me laisse tranquille. Je vais tenter de dormir un peu. Espérant ne pas avoir un faux réveil en fermant les yeux. Chaque seconde de sommeil me ramenant dans une insécurité relative. Je m'allonge sur un lit, scrutant le plafond. Essayant de me vider le crâne. J'entends gratter à l'étage. Des râles lointains se font entendre. Des marcheurs vivent à l'étage. Apparemment l'épave d'un hélicoptère à empêcher les survivants de l’hôtel de se débarrasser de leurs morbides voisins. Je soupire à plusieurs reprises. Me demandant comment ces gens ont pu se retrouver là. J'aimerais connaître leurs histoires. Aussi tristes qu'elles soient, elles me rappellent que je suis vivant.

Puis l'envie me viens. Une grosse envie de chier. Oui. Ça arrive à tout le monde. Et puis nous on a encore la chance d'avoir des toilettes utilisables. Bon, elles sont probablement moins performantes qu'avant. On évite de tirer la chasse pour un petit pipi et on a blindé les réservoirs de cailloux pour consommer moins d'eau. C'est amusant de se dire qu'on devient écolo qu'une fois que le monde est partie en couille. Je suis donc tranquillement sur le trône à faire ma petite affaire quand j'entends hurler. Un petit cri de peur. Et elle est contagieuse. Je me relève et manque de me casser la gueule à cause de mon pantalon sur les chevilles. Je le remonte rapidement et rentre d'un coup dans la chambre voisine à la mienne, m'attendant à trouver une femme en proie à un marcheur qui serai passé par un trou dans le plafond ou un passage nouveau après une insistance presque animale d'un chasseur inépuisable. Pourtant quand je rentre dans la pièce, je ne comprends pas tout de suite la scène qui se déroule devant mes yeux. Une femme habillée seulement d'une serviette est debout sur le lit en train de fixer le sol. Je suis alors son regard, et la voit. J'explose alors de rire. La petite sourie se faufile sous un meuble et faute de le tenir plus, mon pantalon glisse sur mes chevilles de nouveau. J'ai donc l'air aussi ridicule que la personne en face de moi.

Mon rire ne s'estompe pas pour autant. D'un coup, je ressens un profond plaisir que je n'ai pas ressenti depuis longtemps. Un fou rire. Pendant de longues minutes, je ne peux m’empêcher de rire. Puis finalement j'arrive à me calmer. « Je … Je suis désolé. » Je me penche alors vers la petite commode refusée de la sourie. Je m'efforce de la voir. La petite bestiole est aussi terrorisé que la jeune femme. « Je me charge d'elle, ne vous inquiétez pas, elle vous embêtera plus. » J'élabore alors une stratégie avec une boîte à chaussures et un demi-manche de balai. Je laisse la jeune femme enfilée une tenue plus décente en dehors de ma vue. J'espère être le seul à avoir entendu ce cri. Mais d'un côté ça serait rassurant de voir d'autres personnes débarquer. Ça prouverait qu'on a une petite chance de survie si jamais un accident arrive à l'étage. Et heureusement rapidement quelques visages arrivent. Je les renvoie, disant que j'ai la situation en main, présentant la sourie par la queue en train de se débattre. Après quelques minutes je rejoins la jeune fille avec un grand sourire.

   

   ©TENNESSEE.
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MessageSujet: Re: Quand le chat n'est pas là... FT. Lewis Koon   Quand le chat n'est pas là...  FT. Lewis Koon EmptyVen 5 Fév 2016 - 3:07
C'est vrai, je devais être parfaitement ridicule dans cette situation. Il faut dire que je n'avais pas vraiment réfléchi à ce que je faisais! En voyant cette saleté de bestiole, j'avais réagit sans penser, criant puis grimpant sur le lit alors que je n'étais vêtue que d'une serviette de bain. Autant dire que j'étais nue, à un détail prêt en fait! Fixant la bête pour être certaine qu'elle ne se glisse pas sous mon lit ou bien ne monte afin de venir me grignoter les orteils, je vis quelqu'un entrer dans la chambre. Un jeune et non pas un Infecté (cela aurait bien été le comble!). Ce jeune homme, quand il me vit dans cette position ridicule, au lieu de m'aider, décida de rire de ma tronche. De l'aide, s'il vous plaît? J'avais l'air de vouloir rire peut-être? La souris courut se cacher sous un meuble, échappant à mon regard. Ah non, pas ça, elle devait connaître tous les passages dans le mur pour qu'elle puisse revenir sournoisement par un trou au plafond peut-être? J'étais peut-être un peu trop paranoïaque en ce moment, juste un peu! Maintenant que je n'avais plus la souris à suivre des yeux, je regardai celui qui avait fait irruption chez moi et l'étonnement me prit. Il avait les pantalons aux chevilles. Euh... quoi? Pourquoi? Cette situation était vraiment ridicule en fait! Le voyant comme ça, j'en oubliais la souris l'espace d'une seconde, avant de demander du secours à mon sauveur.

- Elle est où? Elle est partie?

Il s'était excusé de son rire, mais ne l'avait toujours pas attrapé! Des plans pour que je ne dorme plus tant que je ne saurais pas que le rongeur était bien loin de ma chambre. Que la souris se fasse bouffer par un Infecté tien! Il se pencha alors afin de repérer la bestiole et me rassura, me disant qu'il allait s'en charger. Parfait, j'allais enfin pouvoir enfiler des vêtement! Je me dépêchai de quitter mon perchoir et saisi les premiers vêtements que je vis, soit un débardeur noir et des pantalons de la même couleur. Depuis le début de l'Infection, je ne pouvais pas me permettre d'être trop axé sur la mode. La mode consistant désormais à porter des vêtements pratiques et pas encombrants. Bref, je fis de mon mieux pour me changer en vitesse, afin de ne pas m'exposer trop au jeune homme, bien qu'il était plutôt occupé avec la bestiole et avec les curieux qui avaient entendu mon cri. Les bras croisés sur ma poitrine, j'observais l'autre expliquer aux autres que tout était sous contrôle et quand il revint vers moi, je lui fis un petit sourire.

- Hum... merci... Je ne voulais pas ameuter tout l'hôtel, mais je déteste ces bestioles... vraiment...
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MessageSujet: Re: Quand le chat n'est pas là... FT. Lewis Koon   Quand le chat n'est pas là...  FT. Lewis Koon Empty

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