Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
Après trois ans et demi de bons et loyaux services, In Your Flesh passe en forum semi-privé autogéré. Les tâches administratives sont réduites au minimum, les inscriptions filtrés et les validations supprimées. Nous vous proposons plusieurs zones de RP différentes, dans lesquelles les intrigues sont gérées par les membres sur la base du volontariat et où chacun peut RP librement en suivant seulement une trame commune.
L’éclaireur se déplaçait avec célérité dans les ruines de ce monde apocalyptique. Quelques volontaires semblaient décider à sauvegarder la zone verte que son vieil ami Anglais avait créée pour apporter soin et réconfort aux gens dans le besoin. D’une autre main la rouquine qu’il avait délivrée d’une bande de fous furieux avait retrouvé la fillette et les deux étaient en sécurité derrière les murs épais d’un centre de contrôle des maladies. Le destin morbide semblait avoir décidé d’éliminer les rares survivants de cette apocalypse un à un. Le musculeux blondinet avait son opinion personnelle sur ce sujet. La terre elle-même avait ses règles en ce moment et que faisait l’instinct de survie d’un homme moyen face au comportement d’une femme en colère? C’était de gagner le salut dans la fuite ou bien de se cacher pour permettre à la tempête de passer et ensuite de sortir pour constater les dommages. C’est ce que les gens de la clinique, dont le maraudeur, feront. Alair a donné une seconde chance à bien des âmes, dont sauver la celle de l’éclaireur, et c’était la moindre des choses pour le vétéran d’aller chercher des éléments essentiels pour le groupe. Comme à son habitude il avait déjà exploré les environs du refuge du vieil homme et un magasin de plein air avait attiré son attention. En revenant il pourra aussi visiter un entrepôt d’un supermarché local, mais si l’armurier pouvait mettre la main sur des boites de nourritures déshydraté et un purificateur d’eau, la survie du british et de ses patients sera facilitée pour un temps du moins. Mais au fond de lui le briscard était mort depuis des mois. Depuis que celle qui lui avait donné l’envie d’aimer de nouveau avait été enlevée par une bande d’hostile inconnu, le cœur du vétéran était en lambeaux. Il n’était qu’une machine de guerre parfaitement huilé, avançant malgré vent et marée à la recherche d’Elliot. Le maraudeur allait maintenant que rarement dans les enclaves de survivants, seulement pour faire du troc ou bien escorter un civil arracher de l’enfer vers la sécurité. Il fouillait chaque maison, suivait chaque piste qui pourrait lui laisser entrevoir le visage de sa Marine bien aimée.
Malgré la rapidité de ses pas, l’homme que ses compagnons d’armes surnommaient Ghost se déplaçait sans faire aucun bruit. Une ombre parmi les ombres et aussi furtif d’un esprit frappeur avant de commettre son méfait. Les goules n’avaient pas conscience de la présence du militaire et celui-ci arriva rapidement à son objectif. Bien dissimulé à l’abri des regards recouverts de cataracte blanchâtre, le regard d’azur glacial et professionnel du chien de guerre détailla la zone pour planifier un plan d’action et surtout un point d’entrée. Il grimpa au second étage d’un détaillant de livres usagés et fit que la porte arrière de l’entrepôt était grande ouverte. Un charognard gisait au sol et vu les dernières coulées de fluides corporels noirâtres, un humain avait passé il y a peu de temps. Serrant les dents à s’en faire sauter l’émail dessus de frustration, le soldat de fortune se dépêcha de rejoindre son objectif Chaque minute comptait.
Pendant la progression qui fut fatale à un mort-vivant se trouva avec la dague de commando dans son orbite sans comprendre que son destin était scellé. Rapide et silencieux comme la Faucheuse elle-même. L’éclaireur au corps d’Adonis arriva aux portes et regarda la victime de l’invité surprise. Un seul coup d’une exactitude presque cruciale informa le vétéran de la présence d’un survivant ayant été entrainé dans les arts de la guerre. Une pensée vint alors obscurcir l’esprit combattif de l’ancien agent de terrain. Il repensa au doux visage de la combattante à la chevelure de cuivre. Des doux moments de paix et de passion traversèrent l’esprit analytique du vétéran avec la rapidité d’une rafale d’une mitrailleuse d’assaut. Il donnerait tout en son pouvoir, sa vie même, pour serrer de nouveau le corps gracile et sublime de celle qui lui avait enseigné de vivre au lieu de survivre. Secouant la tête pour se concentrer sur l’instant présent, Barry aura tout le loisir de revoir la magnificence de son aimée dans ses songes, il prit une grande respiration pour se préparer à l’action. Prenant son fidèle Sidekick dans sa main directrice, la dague de combat sous la poignée de l’arme pour frapper à la seconde, le militaire fit son entrée. Un bruit écœurant le fit déplacer vers la fin d’une petite escarmouche ou une silhouette qui combattait comme le vif-argent venait de trucider une goule. Il fit exprès pour faire glisser son pied et dès que l’intrus tourna la tête vers lui, le vétéran alluma sa lampe tactique de son pistolet pour l’aveuglé et la désorienter. Mais le blondinet cru à cet instant rêver. Un visage qui peuplait ses rêves, exquis et sublime. Une chevelure de cuivre en fusion dont il adorait glisser ses doigts. Des lèvres sensuelles dont le vétéran comparait à la douceur du paradis. Mais il crut alors à une invention de son esprit, nombre de fois qu’il avait cru au retour d’Elliot et ce n’était qu’un mirage crève-cœur. La voix direct, professionnel et un brin autoritaire du chien de guerre fut expulser dans un chuchotement.
Barry- Maintenant on pointe les mains au ciel et on se retourne gentiment…
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Sujet: Re: I see the light | Barry Lun 12 Fév 2018 - 9:23
Pendant de long mois le maraudeur avait recherché la guerrière de l’apocalypse dans un large rayon autour de la clinique. À chaque fois qu’il découvrait un corps féminin et entrevue, à la chevelure de bronze en fusion, les pires suppositions parvenaient à l’esprit du vétéran. Mais chaque fois le trente centimètres d’acier avait embroché le peu de cervelle d’une charogne qui n’était pas autrefois celle qui avait partagé tant de nuit avec le chien de guerre. Qui avait réussi à faire battre de nouveau le cœur glacé du fils de la Faucheuse silencieuse. Barry fut témoin de l’inquiétude, de l’angoisse même, que la disparition de son biodôme, de sa coéquipière et de simplement sa raison de se battre avait opérer chez lui. Mais malgré sa froideur apparente, le mercenaire avait développé une complicité avec le vieux rosbiff et ce dernier fut toujours la fondation de son espoir. Mais par un hasard du destin, au détour d’un entrepôt totalement pillée sûrement par bien des survivants, le paramilitaire venait de retrouver celle qui avait par son absence confirmer l’attachement profond que Barry ressentait envers la combattante. Le les quelques mots soufflé par les lèvres pulpeuses et sensuelles de la brunette balaya les doutes minimes qui persistaient dans l’esprit analytique du vétéran qui fit un sourire soulager. Les deux survivants devaient être au même stade, soufflé et estomaquer de se revoir vivant. Le mouvement de se mordre la lèvre inférieur fut un rappel plus qu’agréable au blondinet. Elle avait ce tic craquant lors de leurs joutes lubriques alors qu’elle le chevauchait sauvagement après un corps-à-corps intense. La voix suave, douceâtre et chaude du chien de guerre s’éleva alors dans la pénombre de l’entrepôt.
Barry- Elliot… Je crois me souvenir que tu as toujours aimé les gros calibres.
Alors qu’il parlait, le maraudeur rengaina avec fluidité sa lame de commando et le pistolet customisé dans son étui de cuisse. Le blondinet à la musculation plus qu’appréciable fit quelques pas et serra dans ses bras la silhouette gracile de son amour retrouvé. L’armurier serra avec tendresse et une douceur surprenante. Il resta là, simplement à lui caresser avec délicatesse le dos et appuyant sa joue sur le sommet de son crâne alors que son visage sublime s’était niché dans le cou du briscard. Quand elle murmura qu’elle s’était ennuyer, le vétéran fit l’acte le plus pur, la preuve d’amour la plus convaincante qui soit. L’armurier se décala légèrement pour ensuite faire mouvement vers le visage qui avait hanté chacun de ses moments depuis la disparition de l’ancienne lieutenante de police. Les lippes charnues s’accouplèrent alors avec les lèvres pulpeuses de la belle dans un baiser ou la tendresse et la passion se jumelait à merveille. Il n’arrêta qu’au moment où l’air lui manqua et Barry ancra son regard d’azur dans le regard envoutant d’Elliot. Front contre front, leurs âmes semblaient apaiser de se retrouver, l’homme musculeux sourire de manière craquant et tendre à souhait. Il murmura alors quelques mots de plus à l’oreille de la gladiatrice de l’apocalypse.
Barry- Tu m’as manqué chaque seconde depuis qu’on s’est perdu… J’ai retourné chaque rocher de la ville pour te retrouver… Tu vas bien? Que s’est-il passé?
L’éclaireur offrit le tuyau de sa réserve d’eau en secouant son épaule, mais pour rien au monde il ne désirait laisser cette étreinte de pure douceur qu’il partageait avec celle qui était devenu le centre de son existence. Alors pour la première fois de leur relation, les trois plus merveilleux mots de l’univers franchirent les lèvres charnues du chien de guerre pour caresser l’ouïe de la Marine. La sincérité et l’amour était au diapason avec le cœur de l’homme musculeux.
Barry- Je t’aime Elliot…
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Sujet: Re: I see the light | Barry Mar 13 Fév 2018 - 9:31
Le maraudeur se trouvait à la seconde à ce qu’il pouvait se comparer au paradis dans un monde laissé par Dieu et ses anges. Il tenait avec tendresse et douceur la forme sublime et harmonieuse dans ses bras réconfortants de celle qui l’avait sauvé de sa propre résignation à mourir. Elliot avait empêché, sans le savoir, un nombre incalculables de fois au musculeux adonis de s’enlever la vie de manière lâche et déshonorante. La Marine avait réussi à faire fondre la carapace de glace de son cœur et trouver la faille dans son armure d’insensibilité. Mais aux aveux de mauvais traitements et de tortures physiologiques que sa raison de vivre avait subir de la part de ce groupe hostile, le regard d’azur de l’éclaireur se fit plus glaciale que la calotte glaciale. Il se jura simplement qu’il allait étriper chacun de ces individus avec lenteur et une précision pour venger Elliot. Mais il ne laissa rien paraître pour l’instant, toute son attention sera tourner vers la brunette merveilleuse. Quand les mots, échapper de son cœur pour passer outre son esprit, avaient franchi ses lippes charnues Barry avait connu un moment d’inquiétude. Si ce n’était que physique et professionnelle leur duo? Mais en sentant plongeant le visage ciseler par la main de Dieu, car seul lui pouvait faire une beauté divine comme elle, dans son cou et en entendant ces mots sublime, une béatitude sans nom envahit tout l’être du chien de guerre. Leurs cœurs semblaient en silicose, frappant à une allure de tambour de guerre qui sonne la charge. Mais la magie de l’instant fut atrocement troubler par la mélopée lugubre des abominations cannibales. À contrecœur le vétéran ouvrit ses bras pour laisser se dégager la jeune femme. Mais un sourire assuré, confiant et surtout calme se déposa sur les lippes charnues du briscard. Presque à un instant d’intervalle leurs lames meurtrières furent tirer de leur fourreaux d’une main sur. Contemplant la Marine, une lueur de professionnalisme qui fut troublé un instant par une taquinerie presque enfantine se refléta dans l’azure troublant de ses yeux.
Barry- Tu sais que je te trouve terriblement sexy avec une arme en main?
Le maraudeur blondinet fit un clin d’œil espiègle à sa compagne de l’apocalypse, et de sa vie si ce temps trouble finissait un jour, et pointa le nord-est d’un geste franc et ferme. De nouveau la voix du baroudeur d’élite se fit entendre, un murmure qui fut à la fois rauque et suave.
Barry- Avant-poste. Estimation 800 mètres. Escalier de secours et on monte dans le nid d’aigle.
Après plus un mot se fit entendre. Le bidôme parfait, des soldats entrainé dont la connexion semblait au-delà de tout lien physique. Des équipes travaillaient des années, voire des décennies pour atteindre ce que les chiens de guerre avaient développé d’instinct. Ils avancèrent en tiroir, se couvrant mutuellement à chaque pas, à chaque seconde, à chaque respiration. Barry pouvait qu’apprécier les mouvements graciles, sembler couler dans le vif-argent, d’Elliot. Un corps à la beauté, à l’égalité de force et d’endurance si parfaite, pouvant être si mortel et si doux à la fois. Cet âme qui pouvait se montrer sans pitié ou bienveillante et ce cœur si tendre pouvant se transformer en roc était ce qui plaisait le plus au mercenaire. Elle était la parfaite exemple de la déesse guerrière, de l’amazone inflexible ou bien de la valkyrie qui arpentait les songes des combattants avant la grand bataille. Un regard suffisait à chacun de se faire comprendre, quel chemin prendre et aussi quelle cible hostile devait être éliminée durant la progression. Cinq aberrations connurent la morsure cruelle, mortelle et d’une exactitude chirurgicale, des lames de combat des deux amants de l’apocalypse. Les deux briscards étaient devenu des esprits frappeurs, insaisissable et meurtrier comme l'était la Mort elle-même. Des mouvements furtifs et une mobilité remarquable malgré les obstacles que pouvait représenter une ville en plein déclin. Ils arrivèrent sans encombre à l’escalier de secours et ils gravirent quatre à quatre les marches pour atteindre le poste avancé du blondinet au corps d’Adonis. En montant les quelques étages, le regard d’azur de l’homme pouvait voir quelques fois des regards blanchâtres de réceptacles sans âmes au travers des fenêtres qui épiaient ses mouvements sans pouvoir atteindre ce repas si tenant. Le duo d’anciens militaires arrivèrent enfin à une fenêtre que l’éclaireur ouvrit après vérifier que les mouchards placer derrière lui n’avait pas été déranger.
Ils pénétrèrent alors dans le salon d’un penthouse de luxe. Aussitôt l’armurier alla vérifier les barricades qu’il avait construit aux endroits stratégiques alors que l’ancienne lieutenant de police mis les fortifications sur le point d’entré. Encore une fois juste un regard et leur esprit au diapason avait compris ce que l’autre devait faire. Ils se trouvèrent alors dans la cuisine et Barry agrippa avec tendresse son âme sœur, sa compagne de combat et son centre de l’univers dans ses bras réconfortant et aimant. Un baiser, à la fois passion et d’une douceur exquise, fut échanger et d’une main à la délicatesse surprenante caressa la joue de porcelaine d’Elliot. Sa voix rauque, suave et berceuse glissa divinement vers l’ouïe de celle qui était devenue tout pour lui.
Barry- Je me suis ennuyer de toi mon étoile. Plus jamais on ne se sépare et demain je vais te présenter au seul endroit où les gens ont mon entière confiance… Si ça ne te dérange pas, ce soir on va rester ici… rattraper le temps perdu et s’aimer…
Il fit un clin d’œil complice, à la fois tendre et si vivant, pour accompagner ses prochains mots.
Barry- Le gaz fonctionne et si tu as faim j’ai des rations de combats… Macaroni chinois ou bien bœuf en ragoût. Le meilleur de la qualité militaire pour la femme de ma vie.
Voilà c’était dit maintenant pour le maraudeur. Il venait de certifier que la Marine sera la seule femme qui pourrait avoir son cœur, son âme et sa vie dans sa main de l’éclaireur d’élite…
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Sujet: Re: I see the light | Barry Jeu 15 Fév 2018 - 9:30
Quand la sublime femme au caractère bien trempée se retourna pour enlacer le cou de l’éclaireur, le sourire de ce dernier devient éclatant de bonheur. Le regard d’azur des yeux du musculeux Adonis reflétait une immense tendresse et un amour profond. Il serra avec délicatesse le corps à la musculation fine mais présente, aux courbes sensuelle et féminine qui avaient tant fait rêver le maraudeur. Le chien de guerre alla répondre pour la douche et la nourriture quand la question de la Marine le prit au dépourvu. Une lueur inquisitrice et surtout interloquer traversa le regard de l’homme. Posant ses mains dans le creux du dos de la brunette qui lui avait ravi son cœur, il ancra ses yeux dans ceux envoutant et si brillant d’Elliot. La sincérité, la franchise et surtout l’assurance de l’expérience furent véhiculé par la voix rauque et suave du mercenaire.
Barry- Aucun lieu n’est sécuritaire à cent pour cent Elliot. Tu te souviens du vieux Britannique que je t’ai parlé? Il a ouvert une clinique pour tous dans un manoir avec un mur d’enceinte. Je lui ramène des médicaments et de l’équipement. Il est bien protéger et je passe quelques nuits entre chaque sortie. À vrai dire depuis les derniers mois je suis toujours de sortie pour te retrouver…
Il fléchit un peu des genoux pour saisir les cuisses de la jeune femme. D’une bonne traction le blondinet souleva le corps gracile et sublime de la brunette et il pivota pour l’assoir avec douceur sur le marbre de l’îlot. Collant son front au sien, laissant son âme caresser la sienne, l’armurier parla avec chaleur et douceur.
Barry- J’ai confiance en ce vieux Rosbiff. Il n’était pas à la bibliothèque lors de l’assaut. Mais il est venu secourir les survivants, dont moi. J’aimerais que tu le rencontre car tu es devenu le centre de mon univers. Ce sera notre point de ralliement. Mais seulement si tu le désire…
L’ancien agent de terrain leva ses mains et les déposa avec tendresse sur les joues de porcelaine de la brunette. Le visage aux traits harmonieux du mercenaire s’approcha avec lenteur de celui à la magnificence de la Marine. Les lippes charnues du chien de guerre effleurèrent les lèvres sensuelles de la jeune femme avec lenteur, pour laisser monter le désir et accroitre l’attente pour ce baiser que les deux désiraient ardemment. Ensuite Barry déposa sa bouche sur celle d’Elliot comme le ferait le papillon qui oserait se poser sur les pétales d’une fleur rare et exquise. La langue de l’homme pianota alors les dents pour commencer le véritable baiser remplis de fourgue et de passion. Les langues ses rencontrèrent, faisant quelques pas et se retranchant de manière taquine. Ensuite d’un accord muet les appendices buccaux commencèrent la grande valse. Un courant électrique descendit l’échine du musculeux homme et la passion fit transformer le pas lent en un tango endiablé. Le manque d’air fut la cause de la rupture de ce moment divin et ensuite un baiser pur, comme si le mercenaire ne voulait aucunement quitter les lèvres de sa raison de vivre, fut déposer en hommage à leur amour. De nouveau la voix rauque, suave et tendre du blondinet caressa l’ouïe de la jeune beauté.
Barry- Je crois que l’eau fonctionne, mais il ne doit pas en rester des masses. Je pourrais aller regarder le réservoir d’eau chaude et si c’est au gaz on pourra se partager une douche tiède à chaude. Tu aimerais manger avant? Après le repas j’ai un petit quelque chose que je voulais te donner avant qu’on soit séparé et que je m’étais juré de t’offrir à nos retrouvailles…
Bientôt l’ancien soldat d’élite fera un acte de foi, d’amour et de confiance absolue envers la jeune femme. Même Kathy, la femme qui avait partager tant d’années de sa vie, n’avait pas reçu ce que Barry recevrait pour Elliot…
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Sujet: Re: I see the light | Barry Ven 16 Fév 2018 - 9:27
Le maraudeur alla vérifier l’arrivée de gaz vers le réservoir d’eau chaude de l’appartement. Par un hasard du destin quelques bouffées de propanes semblaient être encore présentes dans la tuyauterie. Frappant du pommeau de sa dague de commando sur la paroi métallique, l’armurier estima que le niveau d’eau était au summum. Faisant rouler la pierre de son vieux zippo, Barry fit naître une flamme bleuté au niveau de la veilleuse. D’un geste fluide et trahissant de son expérience et de son professionnalisme il rengaina sa lame affuté comme un rasoir dans l’étui inverser sur sa veste de combat. Le briscard alla empocher son briquet dans la poche de son pantalon lorsque l’image du crâne au béret de son unité de chien de guerre. Il revit pendant un instant tous les visages de ses compagnons d’armes tomber au champ d’honneur, oublier par un gouvernement qui ne voyait qu’en eux des outils pratique mais jetable. Un éclat de nostalgie, de mélancolie, traversa le regard d’azur si pur et scintillant du musculeux homme. Serrant son poing sur le briquet, il refit sa promesse envers les âmes hurlantes des fantômes de son passé. Qu’il fera tout en son pouvoir pour permettre une nouvelle société, un nouvel espoir pour l’humanité, puisse voir le jour. D’un pas décidé, le dos droit et la démarche militaire si caractéristique, l’armurier rejoignit Elliot. Elle était devenu sa raison d’exister, de combattre jour après jour, d’apprendre à vivre et non juste survivre dans cet enfer. Quand la voix qui avait guidé ses songes lors des interminables mois de ses recherches s’éleva à son arrivé, le mercenaire fit naître un sourire espiègle sur ses lippes charnues et des fossettes choquables sur ses joues recouvertes d’une barbe de trois jours. Il répondit avec humour.
Barry- Je suis privilège de te connaître Elliot. Mais j’avoue que tu me fais peur avec ce que tu dis. Personne n’a survécu à ta cuisine?
Il rit de manière franche et honnête, un rire joyeux qui pouvait faire un écho à celui qui se cachait maintenant sous cette carapace de fils de la Faucheuse. Elliot, ainsi que Doc, était privilégier de voir le véritable Barry alors que les autres ne voyaient qu’un chien de guerre froid et mortel. L’armurier enleva enfin son barda, ses armes sauf son pistolet customisé au niveau de sa cuisse et s’assit au niveau du sol près de la Marine qui avait assaillit son cœur. Il mangea quelques bouchées de la mélasse tiède qui se voulait un ravioli sans se plaindre. Manger une fois par jour était un luxe que bien des survivants de cette époque de grande violence et de noirceur ne pouvaient se permettre. Mais bientôt la curiosité de l’ancienne lieutenant de police de New York refit surface et avec une petite bouille qui rappelait le chat botté au vétéran elle demanda c’était quoi la surprise. Secouant la tête en laissant un sourire charmeur et doux envahir ses lèvres charnues, le maraudeur ancra son regard d’azur débordant d’amour et de tendresse dans ceux envoutant de la Marine. Son ton rauque, suave et douceâtre vint caresser l’ouïe de la jeune femme aussi sûrement que si c’était ses doigts qui glissaient avec dévotion sur la peau d’ivoire si douce de la guerrière de l’apocalypse.
Barry- La curiosité est un défaut selon certain. Pour moi c’est l’éveil du raisonnement et de l’intelligence. Ferme bien les yeux Elliot et ne les ouvre seulement quand je vais te le dire.
Quand les paupières se refermèrent sur les iris océaniques de celle qui était devenu le centre de son univers, le blondinet enleva ses plaques d’identifications autour de son cou. Il les regarda quelques instants, le collier qui contenait ses premières plaques alors que l’armurier évoluait chez les marines et la seconde lorsqu’il avait rejoint l’unité spéciale qui était à présent totalement soufflé de la surface de la terre. Avec douceur et tendresse il passa la chainette autour de la tête d’Elliot et fit glisser le tout pour permettre aux plaques de se nicher sur la poitrine de la jeune femme. Il déposa alors ses deux mains avec légèreté sur les joues de la brunette. Barry fit rouler avec douceur et tendresse ses pouces sur les joues de porcelaine de la jeune femme. Il exalta alors les mots qui semblaient virevolter avec l’aisance des papillons qui faisait leur ballet aérien.
Barry- Je me suis toujours dis que je donnerai mes plaques à celle qui sera mon âme sœur. Depuis le premier jour que mon intégration dans l’armée je porte ce collier sur moi. Maintenant je te le donne au même moment que mon cœur et mon âme. Je t’aime Elliot et je veux rester avec toi juste à la fin des temps…
Il déposa un baiser léger comme l’air, mais d’une pureté sublime sur les lèvres sensuelles de la Marine et lui demanda d’ouvrir ses yeux. Elle pouvait lire toute la sincérité, l’amour et l’honnêteté dans le regard d’azur renversant du blondinet au corps d’Apollon. Une tradition des militaires de donner ses plaques d’identification à l’être aimer était connu de tous les membres des armées de par le monde. En le faisait le maraudeur signifiait simplement que la jeune femme à la chevelure de bronze en fusion était devenu sa priorité dans son existence. Plus importante que son unité, que son patriotisme, que sa vie…
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Sujet: Re: I see the light | Barry Jeu 22 Fév 2018 - 9:31
Le présent du maraudeur, ses plaques d’identité qui ne l’avait quitté depuis son adhésion au sein des Marines, semblait toucher au plus haut point Elliot. Pour l’armurier c’était une preuve de confiance, un acte de foi et une démonstration d’un amour puissant envers celle qui l’avait littéralement sauvé de cette quête suicidaire. De cette mission absurde que c’était donné le soldat d’élite de retrouver les pourritures qui avaient déclenché cette apocalypse pour leur imposer le jugement martiale, direct et mortel. La Marine lui avait ouvert son cœur et dans le même souffle fais fondre la cuirasse de glace du blondinet. Barry l’écouta alors et ne put s’empêcher de sourire grandement, sincèrement et avec amour devant cette douce déclaration. Le ton chaud, raque et suave de l’ancien militaire s’éleva alors dans l’atmosphère frisquet et sentant la poussière de l’appartement de luxe.
Barry- Nous allons rester ensemble je te le jure… Et si tu me quittes dans les bras glacé de la Mort, attend-moi avant de rejoindre la Lumière car j’arriverais à la seconde pour être avec toi…
C’était comme une prière, un serment que l’homme musclé fit à sa promise de la fin du monde. Il finit sa pochette alimentaire militaire et alors un nouvel appétit se forma chez le maraudeur. Taquine, sensuelle, sublime, Elliot se dévêtit pour le regard d’azur gourmand de l’ancien agent de terrain. Elle était sublime, un corps gracile et disposant d’une musculation fine mais présente. Il se leva alors qu’elle lança une invitation muette et exquise, promesse de chatterie en mordant sa lèvre inférieure. Se levant à son tour, le soldat d’élite disposa de son équipement et de ses vêtements tactiques à même le sol. Leurs vêtements s’entremêlèrent, signe annonciateur et prophétique de ce qui allait se passer entre les deux amants de la fin des temps. Néanmoins il emmena sa mitrailleuse MP5SD avec lui, la prudence l’incita à porter une arme en toute circonstance. Donc l’homme au regard d’azur douceâtre, au corps ciseler comme une statue qui représentait un dieu de la Grèce antique, suivit son Aphrodite sublime vers la salle de bain. Le chant de la douche fut un appel à l’apaisement, à la promesse d’un Éden pour tout survivant de ces temps troubles. D’un geste rapide de la main, le vétéran referma la porte pour permettre à la chaleur de leurs corps de réchauffer la petite pièce. Un sourire invitant, aguichant ondula sur les lèvres pleines et sensuelles d’Elliot. Barry déposa alors son arme près de la porte de la douche et entra dans la douche salvatrice pour serrer dans ses bras musculeux et réconfortant la silhouette féline de la brunette. Il sursauta à la morsure coquine dans son cou et soupira de contentement et de bien-être devant les doux baisers de sa Marine. Souriant doucement aux paroles de la jeune femme, il répondit avec franchise et tendresse.
Barry- Donc je vais tout faire pour que ce moment soit mémorable et que tu sois heureuse avec moi à chaque instant…
L’eau purifia le corps des amants, enlevant la crasse de la survivance avait déposé sur les peaux. Le flot d’eau souiller par la poussière de l’errance parti vers en tourbillonnant vers le drain de la douche. Ils restèrent ainsi quelques instants, savourant la tendresse et le réconfort de leurs corps sculptés pour résister à cette époque sombre. Le maraudeur récolta une attaque-surprise des plus agréables. Des caresses veloutés et des baisers dans le cou ravirent littéralement l’homme musculeux. Le genre d’assaut des plus agréables dont l’éclaireur n’avait pas subit depuis près de trop nombreux mois. Plusieurs mois en opérations en terres étrangères et à son retour il n’avait pas retrouvé cette pulsion charnelle qui était très forte en lui. Mort au même moment qu’il avait fait éclater la cervelle de sa défunte femme transformée en monstre gorgée de virus mortelle. L’armurier avait eu l’occasion de passer à l’acte quelques fois, mais sa soif de vengeance et sa profonde tristesse l’avaient empêché d’éprouver un semblant d’amour. Mais Elliot l’avait captivé dès leur rencontre. Tel le phénix qui renaissait de ses cendres, le vétéran avait recommencé à redevenir un homme et non un fils de la Faucheuse n’ayant que le meurtre en tête. Une attraction animale et une passion enflammaient le corps musclé du vétéran. Barry serra avec tendresse le corps aux courbes sensuelle et dangereuse de l’ancienne lieutenante de police, les mains du blondinet passèrent avec légèreté dans le dos pour se perdre dans la chevelure humide de sa raison de vivre. L’eau tiède roulait paresseusement sur la peau dénudée de l’homme, cascadant sur les cicatrices défensives de ses bras, des impacts de balles recouvrant son torse musclé comme des médailles morbides. Alors il fit la motion de s’approcher des lèvres d’Elliot. Un baiser doux, pur et qui semblait nourrir de tendresse leurs âmes qui venaient enfin de s’unir pour la vie. Le baiser alluma des instincts oubliés, les forçant à se relever comme les morts causés par cette étrange pandémie. Les mains agiles, au toucher la fois puissante et douce, parcourent les courbes dangereuses de la silhouette sublime qui semblait vouloir aspirer l’essence vitale et la chaleur du briscard. D’un geste vif, il se décala un peu du corps bouillant de la femme à la chevelure de cuivre en fusion pour gagner un peu de place dans cette étreinte passionnée. Passant les paumes de ses mains sur les hanches de la Marine, l’homme musculeux fit courir ses doigts vers le haut. Remontant d’un mouvement lent et sensuel vers le cou, les lèvres charnues du militaire firent une multitude de baisers chauds comme les braises accompagnées de morsures dans le cou de cygne de sa partenaire. Barry atteignit enfin l’oreille de la jeune femme et lui mordilla le lobe pour faire accroitre leur passion et désir commun. Il murmura alors quelques mots dans l’oreille de la belle de sa voix rauque et brulante de désir.
Barry- Je t’aimais avant même te connaître, je t’aime et je t’aimerais à l’infini mon étoile…
Ces mots venus directement du cœur du blondinet furent une sublime poésie sans le savoir. L’éclaireur ancra alors son regard d’azur dans ceux envoutant d’Elliot, un sourire charmeur sur les lippes de l’homme au visage sculpté à la serpe. Ensuite les lèvres dévorèrent, mordillèrent le lobe d’oreille de la femme pendant que ses mains plongèrent vers son fessier ferme. Caressant avec avidité et savourant chaque râle de sa partenaire de chasse et de vie, l’instinct de Barry reprit le dessus. Saisissant sans peine les cuisses fuseler de la gracile jeune femme, il la souleva du sol pour l’appuyer sur le panneau vitré de la douche. Aussitôt un ciseau de corps se produit, mortel quelques fois. Mais heureusement pour l’éclaireur, Elliot n’avait pas le meurtre en tête. Ou bien une mort d’extases et orgasmique qui sait. Les lèvres de l’homme se soudèrent alors aux celles de la jeune femme dans un flamenco de langues endiablé. Tout en continuant de s’embrasser, suffocant presque par le manque d’air, le militaire sentit la passion croître entre eux et incendier leur sens. De nouvelles caresses, à la fois douces et appliquées fortement, augmentèrent leur désir commun. Un nouvel échange de baiser fougueux sous l’eau tiède était en soit un début d’extase, l’homme musculeux donna un léger baiser sur les lèvres sensuelles de sa raison d’exister. L’eau les aveugla quelques peu, mais ce fut l’occasion d’un échange coquin de baiser et de découverte. Celle-ci se prit au jeu et chercha le visage de l’homme. Quelques instants de cache-cache firent atteindre des sommets inégalés au flot de testostérones, faisant durcir le sexe fort appréciable qui luttait pour se redresser fièrement. Un baiser chaud, à la fois doux et fougueux, fut échangé de nouveau entre les deux amants…
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Sujet: Re: I see the light | Barry Mer 28 Fév 2018 - 17:00
Ces moments d’extase, de bonheur et de béatitude étaient trop souvent rare dans ce monde de ténèbres et de violence gratuite. L’éclaireur voulait construire un cocon translucide autour de lui et d’Elliot. Un endroit où les deux seront les maîtres du temps et de l’espace. Laisser le sable du temps leur glisser entre leurs doigts, permettre d’allonger un instant pour vivre éternellement un frisson, un soupir ou une caresse. Un Éden ou les infectés et autres pourritures de ce temps trouble pourront frapper de toutes leurs forces les parois et être incapable de briser ces barrières inébranlables. Pour le musculeux blondinet au corps d’Apollon, la Marine qui bouillait de désir et soupirait de jouissance dans ses bras était devenu son monde, son centre de l’univers. Elle était devenue son binôme, sa raison de se battre pour permettre qu’un jour la normalité de la vie prenne le pas sur la survie. Quand la voix de l’ancienne lieutenante de police coula vers l’ouïe de l’armurier avec la douceur de l’eau qui coulait du pommeau de douche, l’ancien agent de terrain l’enlaça par derrière d’une étreinte douce et réconfortante. La voix suave et rauque du chien de guerre chuchota à son oreille quelques mots où la sincérité et l’amour étaient sans bornes.
Barry- Je serais to ombre et jamais plus nous serons séparer Elliot… Je te le promets…
Sensuellement les lippes du mercenaire dévora le lobe de l’oreille de l’ancienne Marine et ensuite mordilla un peu pour être joueur. Sentant l’air froid menacer sa peau dégoulinante, le militaire enroula autour de sa taille une vieille serviette qui fut autrefois blanche et propre. Elle entreprit de faire de la lessive alors le chien de guerre lui prodigua une caresse à la fois ardente et douceâtre sur la hache en remontant vers la poitrine sublime de la brunette. Le maraudeur fit une dernière inspection des fortifications de fortunes et regarda par la fenêtre pour noter les mouvements des charognards de ce nouveau monde. Un calme de morts semblait pesé lourdement sur la ville hanté par les réceptacles sans âmes de ses habitants. D’un pas sur et d’une démarche fière qui trahissait à tout vent l’ancien militaire qu’il était, Barry récupéra leurs équipements pour l’emmener dans la chambre à coucher principale. D’un mouvement ample et puissant de ses bras musclés, l’armurier rafraichit les couvertures du lit et pour un surplus de confort il rajouta son sac de couchage ouvert au maximum. La voix chanté et sensuelle d’Elliot qui donnait des frissons de désir à son amant s’éleva. Elle fit une remarque, une supplice que le mercenaire trouva des plus adorables. Quand la magnificence de la jeune femme illumina la chambre, l’éclaireur la rejoignit pour l’enserra avec délicatesse dans ses bras. Remontant une main pour la déposer sur la joue de porcelaine. Tendrement il fit rouler son pouce sur la peau qui n’était qu’à son regard d’azur pur un rappel que le paradis terrestre existait. La voix profonde, suave et raque du blondinet s’éleva dans un murmure, caressant l’ouïe de sa compagne aussi sûrement que ses doigts qui courrait sa peau.
Barry- Nous avons quelques jours de nourriture, une semaine tout au plus… Nous pourrons rester ici le temps qui te plaît… Dès que je reste avec toi je me fous de l’endroit ou de l’époque… Car tu es tout pour moi.
Alors l’Apollon de l’apocalypse embrassa celle qui était devenu son univers. Celle qui l’avait sauvé de son autodestruction et de sa quête folle de vengeance. Un baiser tout en douceur au début, mais la passion prit le pas et se fut des caresses ardentes et une embrassade fougueuse. Les serviettes tombèrent au sol et le couple retrouva la chaleur des couvertures pour passer une nuit composer de luttes sensuelles et de repos mérité dans les bras de l’un et l’autre….
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Sujet: Re: I see the light | Barry Mer 7 Mar 2018 - 15:12
Cette nuit fut délicieuses sur tous les aspects pour l’éclaireur. Affectif, sentimental, sensuel, charnel et remplies d’une douceur retrouvée. Lui qui croyait que son cœur était mort au même moment que les détonations funestes avaient éclaté tel le cri mortel d’une banshee qui réclamait des âmes. Trois éclairs de douleurs qui avaient subtilisé les êtres qui avaient comptés le plus pour Barry. Mais alors que Morphée venait tout doucement l’accueillir pour un sommeil réparateur, le regard d’azur du chien de guerre se porta sur les traits magnifiques de la brunette échouer tendrement dans ses bras musclés et réconfortants. Elliot l’avait sauvé de lui-même, de sa folle entreprise de vengeance et de son vœu de rédemption suicidaire. Elle était devenue le centre de l’univers, la raison de combattre jour après jour pour le chien de guerre. Pour la première fois depuis des mois ce fut une nuit sans réveil brutale couvert de sueurs, la bouche ouverte sur un cri d’horreur muet, pour l’armurier qui n’avait vécu que de catastrophe en tragédie depuis les derniers mois. Sentir le souffle chaud, la peau de pêche et la caresse de la chevelure de cuivre en fusion fut un apaisement total pour le blondinet à la musculation de divinité grecque. Les premières lueurs du matin commencèrent à tirer du sommeil le vétéran, mais l’apothéose qui lui permit d’ouvrir complètement son regard fut lorsque sa Marine trompa sa défense endormi pour lui administrer le plus merveilleux et tendre baisé qu’il n’avait connu à ce jour. Barry laissa ses doigts se perdre dans la tignasse de bronze de sa raison de vivre et lui rendit au centuple la fourgue et la douceur de ce tendre moment. Et comme pour prouver au soldat d’élite qu’il ne rêvait aucunement, une voix douceâtre remplis d’un amour sincère navigua juste à son ouïe qui sortait des limbes du sommeil. Passant une main sur la joue de porcelaine, image trompeuse devant la force de caractère et la puissance physique que pouvait déployer la jeune femme, la voix rauque et suave du musculeux homme répondit avec une sincérité authentique.
Barry- La dernière fois que j’ai dormi aussi bien c’était avec toi… Et toi mon amour tu as bien dormi?
La réponse se fit par un baiser passionné, fougueux et débordant d’une tendresse tout à fait légitime. Le regard d’azur glacé de l’adonis de l’apocalypse admira les mouvements de vif-argent, d’une grâce féline et prédatrice, de la sublime brunette qui se leva pour aller chercher les vêtements dans la salle de bain adjacente. Un mince sourire amoureux à l’excès venait de se déposer sur les lippes charnues du blondinet en admirant la scène. Il se leva et enfila en vitesse un caleçon plus que moulant, liberté de mouvement au maximum, et entreprit de vérifier son armement. Un soldat d’élite se devait d’avoir un équipement fonctionnel et être de surcroit un armurier faisait que Barry avait un point d’honneur à ce que les armes soient nettoyées et prêt à l’usage. La main racée d’Elliot tendit alors les vêtements de combat au vétéran qui la remercia d’un hochement de la tête et d’un baiser sur la paume de sa main. En silence, le couple s’habilla rapidement et ajustèrent leurs équipements ainsi que leur paquetage. Quand la Marine parla de chasse et de viande fraîche, une lueur d’espièglerie coquine se propagea dans le regard d’azur si pur du vétéran.
Barry- Je ne suis plus assez frais pour toi? Hier tu avais tout un appétit.
Le maraudeur fit un sourire innocent et enlaça tendrement la jeune femme pour l’embrasser avec une dévotion et une passion qui n’égalait l’amour qui faisait battre ce cœur qui était le sien. Ancrant son regard aux yeux envoutants et magnifiques de la belle combattante, collant son front au sien comme pour permettre à leurs âmes de communier, il ajouta dans un souffle.
Barry- Laisse-moi au moins te faire un café… J’en ai dans mon sac…
Le mercenaire alla faire chauffer de l’eau et découvrit une petite attention de la clinique qui le fit sourire en grand. La nièce du vieux rosbif avait glissé dans l’équipement de l’ancien soldat quelques croissants et petits gâteaux pour remercier le mercenaire de l’aide, et surtout les trouvailles qu’il ramenait à la clinique, que Barry offrait généreusement à leur petite famille. Il avait compris que le géant avait trouvé quelques sacs de farines et même des poules pondeuses lors d’une de ses sorties. Robert avait semblé bête au chien de guerre, mais il se débrouillait admirablement bien pour le bien des résidents du manoir. Apportant les tasses d’une main, un arôme délicieux malgré la pauvreté de la marque du café, le mercenaire avait caché les croissants dans son dos. Dans une de ses poches se trouvait quelques sachets de sucres trouver dans un restaurant.
Barry- Voilà pour mon étoile… Aussi la clinique semble décider de nous gâter malgré la distance…
Il montra les petites pâtisseries et les amants s’assirent à même le sol pour prendre un petit déjeuner frugal mais si plaisant. Un moment de détente dans ce monde d’horreur perpétuelle qui était devenu le leur. L’éclaireur parla d’un bois par trop loin d’ici ou le vœu de chasse de sa bien-aimée pourrait être réalisable. Ensuite, après un dernier baiser rempli de passion à peine contenue, accompagné de caresses ardentes, le binôme se mit en marche. Une harmonie de mouvement, une confiance aveugle en l’autre, un esprit analytique partagé et un instinct de prédation formidable semblaient habiter ces deux corps. Les deux chiens de guerre bougeaient au même rythme, mue par une expérience commune et surtout un esprit de meute dont même les loups seront jaloux. En chemin aucun coup de feu ne fut tirer, juste des arcs argenté mortel qui tranchaient les filins de la non-vie qui maintenaient les pantins de la Faucheuse debout. Bientôt, après la cacophonie des âmes en peine et de la désolation urbaine, le duo arrivèrent près du bois. Sans un mot, laissant sa destinée et sa confiance aux mains de sa bien-aimée, le vétéran se plaça un peu en retrait pour couvrir la chasseuse…
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Sujet: Re: I see the light | Barry Mer 4 Avr 2018 - 14:27