926 Ashland St
Detroit, MI 48215
États-Unis
Quartier Résidentiel.

Depuis une semaine, nous étions partit avec Tasha dans l’espoir de trouver un nouvel endroit ou vivre en plein centre de Detroit. La fatigue commence à prendre le dessus même si cela me change d’être un peu ailleurs qu’au motel. Ce matin, nous sommes arrivés au pied d’une tour d’environ quinze étages qui me plait bien. Nous avons visité les premiers étages et fait un petit ménage. Nous avançons doucement dans les étages et les idées commence à naître dans ma tête. Lorsque nous arrivons au deuxième étages, je finis par regarder l’amérindienne avec un léger sourire : « Tu sais que j’ai peut-être une idée. Cet endroit pourrait être notre nouveau chez nous mais, nous pourrions aussi faire partager d’autres survivants. » Dis-je tout simplement. J’avais récupéré une passe dans la loge de la concierge, normalement nous pourrions entrer dans importe quelle appartement. « On pourrait condamnés certains accès, pour avoir toujours un regard sur qui se pointe dans le bâtiment. » L'avis de l'amérindienne m'intéresse beaucoup, surtout que je me suis pas mal rapprocher d'elle. Puis c'est important que cela plaise aussi aux autres.

Cet immeuble me plait vraiment bien, c’est sûr que cela n’a rien à voir avec l’idée que j’aurais pu avoir par le passé. Mais, il a quelques choses qui me plait. Et je pense même qu’on pourrait complétement condamnés le RDC voire une partie du première étage. Après, je vais aussi voir si l’idée plait à toute la faction mais, visiblement Tasha m’as l’air d’être plutôt convaincu par mon idée. « En effet, c’est l’idée. » Répondis-je avec un léger sourire. La suite des propos de l’amérindienne me fit rire légèrement puis lorsqu’elle vient à me donner un petit coup d’épaule. Je viens me toucher le bras en faisant style que j’avais mal : « Aie ! Tu viens de me brise l’os du cœur ! » Puis je finis par avoir un petit sourire en lui disant : « Tu devrais faire attention à ta force Pocahontas ! » [/b]Elle veut me taquiner, donc je rentre le jeu aussi ! Puis, je finis par lui répondre : [i]« Heureusement que nous ne sommes pas tous comme cela. Mais, tu sais ce n’est pas le souci que des hommes blancs. Dirons que beaucoup de personnes sont habituer à vivre en mode chacun pour soi. Les effets néfastes des temps modernes. » Je commence à avancer dans le couloir avant de m’arrêter devant les escaliers. « On va voir ce l’accès au toit ? On pourra voir la vision qu’on a d’en haut et on continuera un peu le ménage en redescendant. Enfin si on peut libérer un appartement pour se reposer un peu. »

« En même temps, c’était devenu presque impossible de passer à côté de ses choses. Mise à part pour les amish ! Je ne sais pas comment ils ont pu faire mais, ils sont restés dans leur temps eux. »

Ce peuple a toujours réussi à me fasciner. J’avais vraiment beaucoup de respect pour eux et j’avoue que parfois, j’aurais bien aimé vivre avec eux. Surtout lorsque je voyais mon gamin manipuler mieux mon téléphone portable que moi-même ! Enfin, je n’ai jamais vraiment été accro à la technologie. Je préféré passer mon temps avec mes frères d’armes.

Puis avec un regard amusé lorsqu’elle me dit qu’elle va me libérer un appartement.

« Je te laisserais faire avec plaisir Deadshot ! » Puis je finis par rajouter : « J’espère que je ne serais jamais ta cible ! Je n’ai pas envie de finir avec une flèche dans les fesses, car pour le coup, mon côté viril en prendrait un sacré coup ! »

Une fois devant la porte l’escalier qui donne accès au toit, je lui fis signe d’avancer. Bon je dois avouer que j’en profite pour me rincer l’œil. Je ne suis qu’un homme après tout ! Puis une fois sur le toit. Je m’approche de Tasha pour rejoindre le bord du bâtiment qui donne sur un parking grillagé. Il reste encore quelques véhicules mais, on pourra les virer puis par la suite. On pourrait limite étendre le domaine au deux maisons avoisinantes.

« Ce n’est vraiment pas mal comme endroit. On a une bonne vue sur ce qui peut arriver et on peut limite poster des gens ici. Et pourquoi pas faire des surveillances sur les balcons de certains appartements. Et sur la proportion d’herbe en bas. On pourrait voire à faire quelques plantations. » Dis-je en visualisons bien le truc. « Tu en pense quoi ? »

Une fois devant l’escalier qui rejoint le toit, je laisse Tasha passer devant. Au début, c’était simplement par galanterie mais, finalement... La vue était faite pour être regarder. J’eus un léger sourire lorsqu’elle vient à tenter de me mettre mal à l’aise. Sauf que cela ne marche pas une seule seconde.

« Et tu crois sérieusement que je vais me gêner ? »

Dis-je avec un franc sourire. Je ne vois pas spécialement pourquoi j’irais dire le contraire alors que je pense qu’elle avait bien comprit à la base. Une fois arrivé en haut, je viens m’installer à ses côtés puis, je lui explique un peu mon idée pour l’installation de la faction. Tasha a l’air d’être de mon avis sur le fait que mes idées pourraient fonctionner. Après va falloir prendre le temps de tout faire mais, déjà avec les trois autres qui sont rester au motel, nous allons surement pouvoir mettre pas mal de chose en place par nous-même.

Je pars un peu dans mes pensés en regardant l’horizon. J’espère vraiment que je ne me trompe pas sur cette idée de faire revenir tout de monde sur Detroit. Je n’ai pas spécialement envie de les mettre en danger inutilement. Puis finalement, je viens à mettre un petit coup de coude à Tasha pour l’embêter un peu. Et lorsqu’elle me regarde, je prends un air totalement innocent !

« Qu’est-ce que tu as ? Je n’ai rien fait ! » Je suis un très mauvais menteur pour le coup !

Une fois assis sur le rebord du bâtiment, je commence à embêter Tasha. Puis comme un gamin, je fais vraiment style que je n’ai rien fait. Après tout, autant tenter ma chance, n’est-ce pas ? Même si je sais très bien que l’amérindienne n’est pas stupide. Enfin, celle-ci rendre aussitôt dans mon jeu ce qui est plutôt drôle pour le coup. Étrangement, cela me rappelle mon ex-femme.. Enfin nos débuts lorsqu’on se chercher mutuellement. Nous retombant un peu en enfance avec Tasha est cela fait vraiment dû bien. Mais, lorsqu’elle vient à me répondre car elle est aussi partie dans mon jeu. Je viens à lui répondre sur le même temps.

« Exactement ! Tu sais avec le temps les neurones ne fonctionnent plus tellement bien… Donc peut-être que tu as un Alzheimer précoce ! Ou une sorte de démence… » Dis-je tout simplement avant de rajouter : « Après tu peux toujours me pousser. Mais, qu’est ce que tu ferais sans ton blondinet ? Hein ? Imagine Pocahantas sans son John Smith. Cela n’aurait vraiment plus aucun sens ! Ta vie n’aurait plus aucun sens. Donc au pire des cas tu sauteras aussi. » Puis d’un air totalement sérieux : « On devrait peut-être creuser une piscine super profonde. Cela serait moins risquer si nous avons envie de sensation forte ! »

Pour une fois, je crois que comme Tasha je n’irais pas à me risquer à sauter de cette hauteur ! Même s’il y a une piscine assez profonde pour sauter.

« Faut bien avouer que les hôpitaux ne sont plus aussi accueillant qu’auparavant. » Dis-je avec un léger sourire.

Mon regard se pose à nouveau sur la femme qui m’accompagne. Tasha est une personne qui me plait beaucoup. Au début s’était loin d’être gagner avec elle. Surtout que j’avais comme l’impression qu’elle n’apprécier pas tellement les américains. Finalement, je suis étonné dans le bon sens. Je me suis pas mal rapproché d’elle ses derniers temps, bien plus que ce que j’aurais pensé d’ailleurs. Pourtant nous restons encore des étrangers, l’un pour l’autre. Un silence s’est installé entre nous deux. Nos yeux ne se lâche pas une seule seconde. Avant que je ne vienne déposer mes lèvres sur celles de l’amérindienne. Tasha vient à déposer ses lèvres sur les miennes, je répondis à son baiser, déposant l’une de mes mains sur ses hanches pour l’attirer contre moi. Je fais tout de même attention au vide qui se trouve en dessous de nous.

« Tu me plait Tasha. »

Dis-je sincèrement. Puis à nouveau je laisse mes lèvres danser contre les siennes. L’une de mes mains passe doucement sous son haut. L’envie commence à se faire ressentir sous mon jean. Je suis qu’un homme après tout ! Puis, depuis la fin du monde, j’ai été plutôt très sage. Chose qui ne me ressemble pas. Je finis par me détacher d’elle pour me relever et je lui tends la main pour l’aider à se relever. Après tout nous sommes des adultes et en plus nous sommes dans un endroit où il y a des endroits plutôt confortable pour passer du temps à deux.

Il est temps que l’on aille faire la « visite » d’un appartement. J’aide Tasha a se relevé puis, celle-ci ne perds pas vraiment de temps avant de s’éclipser pour aller nettoyer un appartement. Ce serais dommage de ne pas profiter du confort de l’un des appartements. Même si je doute que l’on arrive dans la chambre de l’un d’entre eux. Je la suivis de prêt et lorsqu’elle s’arrête devant une porte, je fis un signe positif de la tête. Celle-ci ne chercha pas plus longtemps avant d’entrer dans l’appartement avec son arc en main. Quant à moi, je viens tout simplement a refermé la porte derrière nous et de la bloquer avec le meuble d’entrée.

L’amérindienne nettoie la salle de bain, bien que les rôdeurs à l’intérieur ne soit pas vraiment une menace directe. C’est bien la première fois que je la vois aussi déterminé dans ces actes. Tandis que la brune continue son inspection de l’endroit, je m’avance vers le salon. Ce n’est plutôt pas mal comme endroit. Mais, je n’ai pas vraiment le temps de regarder. Tasha revient vers lui avant de passer ses bras autour de mon cou. La tension est des plus palpable entre nous et pour le coup, il n’y a plus rien pour retenir mes envies.

« C’est parfait !

Dis-je avec un sourire charmeur en coin de lèvre. Je pose mes mains sur ses hanches pour la faire venir contre moi. L’embrassant à nouveau. Je viens passe mes mains sous ses fesses pour la porter et la poser sur le rebord du canapé. Sans plus attendre, je viens ôter son haut pour avoir un assez libre à sa poitrine où je viens déposer mes lèvres et je remonte doucement vers les siennes. Je viens à défaire par la même occasion les quelques boutons de son jean.