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In Your Flesh
Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 Super Size Me
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L'Arène
Dean CaulfieldL'Arène
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MessageSujet: Super Size Me   Super Size Me EmptyMar 3 Avr 2018 - 22:38
Cette fois, c’est pas ma faute !! je le jure sur ce qui me sert de divin popotin et qui a fait tourner la tête de plus d’une ménagère en manque de fermeté et de plastique parfaite dans sa vraie vie. Non, si nous nous retrouvons dans cette situation délicate, c’est de la faute de mes nounous : Jésus et Moise. Deux armoires a glace au service de mon frère qui ne me laisse pas respirer. Dès que je sors c’est a peine si je peux faire deux pas sans en avoir au moins un des deux sur le dos a me dire de pas faire ci, de pas aller là… a fusiller les zombies avant que je sache m’amuser. Bref la lose total quoi.

Oui je sais, la délation c’est mal. Mais ça a aussi du bon en soi. Enfin, ça du bon dans le sens que ca me fait du bien. Depuis le temps qu’ils sous entendent que je suis inapte a la survie et que je serais une catastrophe ambulante, moi, Dean Caufiled !?  Genre le mec qui incarnait les films d’action serait pas capable de se débrouiller. Franchement, qui iraient les croire. ?

Bon c’est pas faux non plus que j’ai eu quelques déboires mais au final, on a tous survécu alors, ca ne compte pas. Et puis, là, c’est pas moi qui ait raté un virage, fait exploser un pneu sur je ne sais quoi et qui est en train de jurer comme un chartier parce qu’il y a pas de pneu de secours. Alors c’est qui le nul qui met en danger tout le monde ?

Je les vois discuter par la fenêtre en lançant des regards vers la voiture, enfin vers moi planqué dans la voiture. Mes gardes du corps ante apocalypse étaient moins étouffant je vous jure. Et mon frère qui leur donne tout le temps raison parce que ma sécurité prime. C’est vraiment lourd d’être le plus jeune. Je soupire alors que Jésus vient me voir. Je baisse manuellement la vitre, parce que oui, tant qu’a faire dans le pourri, cette voiture n’a même pas les vitres électriques. Heureusement que ma pauvre mère n’est plus pour voir dans quel déchéance son fils doit vivre.

« Monsieur restez dans cette voiture et cachez vous le temps que Moise et moi nous revenions avec une roue compatible. On va bien en trouver sur des épaves et revenir vite. Vous êtes en sécurité ici. Pas de bêtises Monsieur. »


Je le regarde a peine en faisant un signe de main d’un air blasé, comme le ferait Phoebe. Je vois bien que Jésus hésite, il me connait bien. Mais il n’a pas le choix et a peine mes nounous ont tourné dans la rue que je sens l’air de la reine des neiges retentir dans ma tête… liberéééé delivééééé. Ni une, ni deux, je saute hors de la voiture et court tel Mary Ingalls dans les champs, sauf que je suis dans des ruines, le club de golf a la main prêt a ENFIN gouter la vie de survivant.

Je vais a bon train jouer a l’explorateur dans une maison. Je me sens tel Indiana Jones, enfin, quand il était jeune et beau, visitant un temple mystérieux. Mais le jeu s’achève avant de commencer car je tombe nez a nez avec les habitant du lieu. Ils sont 5, ils semblent aussi surpris que moi et j’avoue perdre mon légendaire sourire quand je vois qu’ils étaient en plein repas.

« Excusez moi messieurs… je vais vous laisser à votre pitance… »

C’est fou on dirait des yeux humains sur leur steack. C’est moi ou ils ont l’air crades… et pas nets ?  Je n’ai pas le temps de me poser plus de questions que 5 armes se braquent sur moi.

« Le diner est serviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

hein? Oh non !! Pas encore !!! Mais ils sont ou Jésus et Moise quand ont a besoin d'eux!!!! D'instinct, je lève les bras en attendant de trouver la feinte pour fuir attaquer ou je ne sais pas encore quoi.
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MessageSujet: Re: Super Size Me   Super Size Me EmptyDim 9 Sep 2018 - 22:01
Le décès de Barry avait été un véritable choc, et ça ne m'avait pas réussit, pour être honnête, Louis avait sans doute eut raison, ce n'avait pas été la meilleure des idées que j'avais eu de vouloir offrir moi même une inhumation à Barry, j'avais eu beaucoup de mal à me remettre de toute ça. Mais au final, j'étais clairement heureuse de l'avoir fait. J'avais déposé à Louis son petit message disant que j'étais en vie, mais que j'avais besoin de temps. De temps pour faire quoi? Rester dans ce qui nous avait servit de petit nid douillet, restant allongée la plus part du temps en train de pleurer. Mes rations furent rapidement épuisées, et je n'avais pas réellement la force de chasser, ni l'envie après ce qu'il s'était passé. J'aurais du rejoindre Louis, mais d'un côté je n'arrivais pas à me motiver, je n'arrivais à rien, j'étais bonne à rien, je ne me reconnaissais pas. Mais le printemps était de retour et les plantes apportaient une aide non négligeable à une personne dans mon cas. Se fut au bout de quelques mois sans Barry que je me rendis compte que quelque chose n'allait pas. Le premier mois, l'absence de mes règles avaient été mise sur le compte du stress et du manque d'alimentation, et à vrai dire je n'avais pas réellement fait attention à ce petit problème de nana, j'étais trop occupée à baver dans un coin. Lorsque je finis par reprendre des forces, et à me dire qu'il fallait que j'abandonne cet endroit qui me servait de mausolée. Je vivais en autarcie, ce n'était pas une bonne idée, je m'enfermais dans mon chagrin, et comme dirait Louis, je devais secouer son cul et survivre, c'était la seule chose que je devais faire pour lui. Et puis au bout d'un moment, il faut clairement une évidence qu'il y avait un problème, surtout que l'on ne pouvait pas avouer qu'avoir ses règles durant l'apocalypse soit une partie de plaisir, que se soit les serviettes ou les tampons, ça devenait rare, le plaisir de la survie. Du coup il était évident qu'était enceinte.

Étrangement, même si j'étais totalement flippé cette nouvelle me servit de la décharge dont j'avais besoin. Au final Barry avait raison, il serait toujours auprès de moi, il ne me restait plus qu'à me battre pour survivre. Au final je décidais le jour même de quitter cette pièce où nous avions été si heureux, je ne pouvais pas rester à me terrer ici, d'ailleurs je ne pouvais pas rester seule, je flippais trop d'affronter ça seule, et je ne sais pas si Louis était la meilleure chose à faire, je l'imaginais bien lorsque le travail commencerait à me hurler dessus... Et puis il faudrait trouver des vêtements qui m'irait lorsque je grossirais et des vetements bébé, et, et je commençais à paniquer. Il fallait que je prenne une décision, et à cet instant la meilleure que je trouvait c'était de rendre le monde meilleur. Je pris le temps de vérifier mes armes, de remplir mon sac à dos, et je me mis en route, après bien sûr un dernier regard et une petite larme pour cet endroit, le dernier où j'avais pu être heureuse, pour le moment en tout cas, depuis la découverte du dernier cadeau de mon beau blonde. Je pris le temps de redevenir celle que j'étais auparavant, la tueuse, la marine, au final j'avais mis du temps à me relever, mais je me relevais toujours, qu'importe les coups que je me prenais.

Je repris ma chasse en passant devant le lieu où j'avais mis le feu au corps de mon bien aimé. La neige n'était plus là, il commençait à faire bon, heureusement je n'étais pas encore un ballon de baudruche, j'arrivais à marcher correctement, je n'avais qu'un petit ventre qui commençait à se voir si on y faisait réellement attention, en particulier parce dans notre nouveau monde rare étaient les personnes avec une surcharge pondérale. Mon nouveau loisir était la chasse, mais pas celle pour survivre, mais plutôt celle dont nous avions été les victimes, je prenais un malin plaisir à traquer et tuer les personnes qui ne vivaient que pour le crime et persécuter les plus faibles. D'ailleurs j'avais finis par tomber sur Nolan, qui avait eu que très peu de temps pour me chanter des louanges, je crois que c'était presque un réflexe parce qu'il était responsable de tout ce qui n'allait pas dans ma vie, et depuis trop longtemps, sans doute même avant même l'apocalypse, l'amour m'avait aveuglé, mais il voulait me changer alors que Barry m'avait aimé pour celle que j'étais. Bref, c'était un moment assez terrible, j'avais crus que j'allais y laisser la vie, parce qu'on ne pouvait pas dire que ses petits potes avaient aimés le troisième oeil que j'avais offert à leur chef. Au final, j'avais eu de la chance, et le bordel avait attiré une horde, ils avaient remis à plus tard leur petite chasse. Je faisais attention tout le temps, vivant que un animal, mais au final ça me correspondait plutôt bien, Louis n'oubliait pas de rappeler j'étais un chien de guerre, nous n'étions pas discret nous n'étions furtif, mais nous étions doué pour semer la mort.

J'avais d'ailleurs retrouvé de vieux amis, ceux qui m'avaient permis de rencontrer Barry, visiblement nous n'avions pas eu toute la clique de cannibale, et ses petites potes avaient finit par recruter, et former une petite troupe de saligot qui bouffaient les survivants. Ils n'étaient pas bien nombreux, mais agressif, ils avaient appris de leurs erreurs, et il n'était plus question de les surprendre, ils ne jouaient plus avec la nourriture, ils tuaient et mangeaient, mieux valait ne pas se faire prendre ce coup ci. Je surveillais de loin leur planque, il faudrait que j'arrive à les avoir tous d'un coup, ils semblaient se croire en sécurité, si un seul disparaissait c'était terminé, je n'arriverais plus à buter les autres, hors de question que cette histoire recommence. J'étais confortablement installée dans un arbre profitant du feuillage pour me dissimuler, alors qu'une voiture approchait. Sérieusement? Les zombies remplissaient les rues, on crevait de faim, et une bagnole risquait de foirer mon plan? C'était une comédie... J'observais un blondinet qui s’approchait de la maison, il était suffisamment con pour aller frapper à la porte et demander de l'aide? Je poussais un soupire et descendis de mon perchoir, cet imbécile heureux allait terminer sa vie en kebab si je n'intervenais pas. Je fis le tour de cette petite maison, prenant attention de ne pas avoir louper quelque chose, je me posais à la fenêtre du salon, là où ces monstres s'amusaient à cuisiner, prenant la cheminée comme gazinière tout en priant pour que l'imbécile heureux qui avait planté sa voiture fasse demi tour avant de donner l'alerte. Mais non, il était visiblement ravi de faire mumuse et de se balader dans la baraque à la découverte du monde. Mais il sortait d'où ce mec, ce n'était pas possible de survivre dans ce monde en agissant comme ça... Je n'avais qu'une explication, il venait de sortir d'un coma et découvrait la situation actuelle. Ouais mais non il serait mort de faim ou bouffé avant... Ok je n'avais pas de réponse, et si j'en voulais il faudrait éviter qu'il finisse en bolognaise pour le diner.

Il ne fallut pas longtemps pour que les monstres remarque qu'il y avait du bruit, remarque après ça j'interdisais à Louis de dire que j'étais la personne la plus bruyante qu'il connaissait. Tiens en parlant de lui il faudrait vraiment que je prenne un temps pour lui annoncer la nouvelle, l'avantage c'était qu'en connaissant le bougre, il ne collerait une tarte à une femme enceinte, peut être juste un coup de pied au cul et encore. Bref, j'avais plus important à cet instant je devais tenter de ne pas crever et si possible sauver l'imbécile heureux qui faisait des visites immobilières dans le coin. Avec le plus de discrétion possible j'ouvris la fenêtre et me faufilais, c'était officiel dans quelque mois je ne pourrais plus faire ce genre d'exercice. L'avantage c'était qu'il venait d'offrir une diversion terrible, là j'aurais pu entrer en fracassant la fenêtre personne n'avait réagir, la raison était assez simple, au vu de l'odeur leur dernier repas commençait à dater de quelques jours. Mon dieu j'avais un haut le coeur, être enceinte et l'odorat sur-développer qui allait avec était un enfer dans ce monde en décomposition. Je restais à distance, et attrapais mon 9mm avec son silencieux, et je mis en joue celui qui s’approchait avec un couteau à viande de Mary Ingalls, faisant exploser la tête du chef du groupe, celui que nous avions loupé avec Barry, offrant au blondinet une explosion de sang en plein visage, masque gratuit. J'eus le temps de tirer une seconde balle, en pleine poitrine du second, pas le coeur, mais au vu du jet de sang, sans doute une artère en tout cas il semblait ne plus avoir envie de bouffer à cet instant. L'autre semblait paralyser, il était sérieux?

"Bouge ton putain de cul, frappe les ! "

Deux des mecs courraient vers moi, visiblement je semblais être un plus grand danger que monsieur la gonflette en face de moi, mais ça n'avait rien d'étonnant il ressemblait à une blague avec son club de golf, je sentis une balle qui sifflait à mon oreille, et la détonation qui allait prévenir tous les cadavres à la ronde que le repas était servit. En reculant je tombais au sol trébuchant sur un tronc humain décomposé, ces hommes étaient pires que des animaux, l'avantage c'était qu'ils ne changeraient pas beaucoup une fois transformé. J'eus tout juste le temps de lever mon arme et de tirer, sur celui qui plongeait sur moi, une arme blanche à la main, visiblement toute leur arme n'était pas chargés, il faut dire que j'étais en train de niquer mon stock de munition pour un type que je ne connaissait même pas, mais comme dirait Louis, on était là pour survivre ensemble en espérant que ce type en vaille le coup. Je sentis le coup inanimé me tomber dessus, il me fallut quelques temps pour réussir à me dégager, mais j'avais perdu de vu l'avant dernier en espérant que boucle d'or ai réussit à se débarrasser d'au moins l'un des essayant.
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MessageSujet: Re: Super Size Me   Super Size Me EmptyMer 12 Sep 2018 - 16:45
Il y a beaucoup de façons de décrire la situation telles qu’elle vient de se passer, la version Spielberg, « il y a eu des dinosaures de l’espace qui sont passés et ils sont tout piétiné », la versions Shakespeare, « être éclaboussé ou ne pas l’être, telle est la question », la version binaire « 001100011000111 » ou encore version anglaise « oh my god ». Mais la seul qui me vient à l’esprit est "Mais c’est dégoutant !! Et mon costume Gucci !! il est ruiné !!!" Franchement, j’aurais presque le réflexe d’appeler mon avocat si, d’abord, j’avais encore un téléphone et un avocat, et, ensuite, si je n’étais pas encore sous le choc de cette explosion d’hémoglobine aussi intempestive que salissante.

Oui, comme vous l’avez certainement bien compris, moi, je n’ai juste rien compris a ce qui vient de se passer, mis à part que je ne suis pas fan des masques de beauté a base de … heu… de trucs vraiment pas ragoutant, que j’ai peur d’attraper je ne sais qu’elle maladie et qu’en prime, je ne suis pas sur que Jésus saura sauver mon costume blanc de ce terrible déboire. Ca me donne presque un haut le cœur.

Une voix de femme me hurle dessus, avec beaucoup de vulgarités, de mouvoir mon magnifique popotin et de les frapper genre prestement quoi. Elle n’espère quand même pas que je donne des coups de postérieur a ces belligérants a l’hygiène douteuses ? En même temps, vu mon état, je ne suis plus a ca près, j’imagine.  Un type se met a crier comme un alcoolo dans un bar qui n’arrive pas à se faire servir par le barman.

« Attrapez moi cette salope !! »

Décidément, c’est un concours de poésie ici. Les coups de feu me ramené a la réalité, du moins, a ma conception de la réalité. Et mon club de golf fini dans la tronche du type qui vient de manquer de me crever un tympan avec son arme pour viser la demoiselle que j’ai à peine aperçu.

C’est vraiment sale tout ça. J’entends un clic dans mon dos et me retourne pour tomber nez a nez avec un type, du même acabit que les autres, quoique plus grassouillet, qui fronce les sourcils d’étonnement sur son arme pointée sur moi.

« Vous avez oubliez le cran de sécurité à tous les coups. »

Il me regarde sans comprendre. Ces amateurs, il faut tout faire ici c’est lassant.

« Le loquet sur le côté…. Là. Faites un effort quand même, c’est votre arme pas la mienne !
-Ah heu merci…
-Mais a votre place je ne… »


Trop tard. J’ai pas su lui dire de pas tirer avec une arme obstruée, elle vient de lui péter a la gueule et il se roule de douleur au sol l’œil en sang, vois les yeux, difficile a dire tellement il bouge. Ca a pas l’air joli joli tout ca.

« Il faut toujours bien entretenir son arme… mais vu l’état de vos ongles… je pense que vous devriez en rester à l’arme blanche.
-Co.. CONNARRRDDDDD »


Pfff aidez les gens et voilà comment ils vous remercient. Ca fait plaisir. Vous trouvez que je m’en sors bien ? Même si je ne partage pas ce point de vue au regard de l’état de mes vêtements, ce n’est pas pour rien que mon deuxième prénom c’est chanceux.
Bon bah c’est la tout, mais j’ai une jeune femme, enfin, je crois, j’ai pas eu le temps de bien voir, a aller sauver. J’enjambe avec précautions les cadavres en ignorant les insanités qui sorte de la bouche de celui qui roule au sol de douleur. Bon, au moins, j’ai les mains propres. Je me souviens que mon frère m’a toujours dit de ne jamais me salir moi-même les mains, c’est déjà ca.

« Mademoiselle ? Ouhou ? »

Je me retrouve avec un type a la machette qui semble chercher quelque chose. Je reconnais un de ces vils forbans. Ils sont quand même un tantinet agressif non ?

« On ne vous a jamais dit que ca ne se faisait pas de suivre une jeune femme aussi agressivement. »

Il se retourne vers moi avec un air fou. Avec tout mon flegme anglais j’essaye de raisonner ce forcené.

« Le harcèlement de rue ? Le « je n’aime pas le thé »… ca vous parle ? »


Ca n’a pas l’air de lui parler car il fonce sur moi en hurlant. Je n’ai pas le temps de lui dire qu’il tient mal sa machette que plusieurs coups de feu retentissent, encore, pire qu’un western spaghetti cette sortie !!

Il s’effondre à mes pieds.  Avec nonchalance, je me retourne pour voir le grassouillet aveugle continuer de tirer avec une arme maintenant déchargée en hurlant des jurons indignes des oreilles. Je soupire de mépris avant de distinguer la femme et de m’empresser d’aller vers elle avec toute la galanterie et la classe que je peux encore avoir dans cette tenue dégradante.

« Ha, je vous retrouve enfin. Vous n’avez pas été blessée ? »
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MessageSujet: Re: Super Size Me   Super Size Me EmptyMer 12 Sep 2018 - 21:23
J'étais déjà une pro de la survie avant l'apocalypse mais là j'aurais le doctorat dans ce domaine. Le chien de guerre était passé pro dans la traque et l'élimination des pires enflures que portait la terre, et ce n'était pas peu dire. Mais là j'étais presque en colère, depuis le temps que je traquais ce groupe, j'aurais préféré que le travail soit plus propre et plus efficace, que ce qui était en train de se passer. Bon pour être honnête je n'étais pas sûre qu'il soit possible d'être plus efficace, mais on ne pouvait pas dire que le boulot était propre, j'étais couverte de sang, il faudrait que je prenne le temps de faire une lessive, comme si j'avais que ça à faire... La voix du cannibale qui me traitait de salope me ramenait à des souvenirs qui aujourd'hui me paraissait presque agréable, cette fameuse journée où Barry avait croisé mon chemin. Un bruit caractéristique d'une arme qui venait d'exploser d'un canon obstrué se bouchait vint chatouiller mes oreilles, enfin chatouiller, un peu comme si on vous chatouillait avec un marteau piqueur. Ce genre de chose était la hantise de tous les combattants mais c'était rare, maintenant que tous les mondes s'amusaient avec des armes, c'était une autre histoire, surtout avec le manque d’entretien.

Une fois que j'eus réussis à me tirer de sous le balourd qui m'était tombé dessus, je terminais les cadavres avec un coup de couteau, hors de question de se retrouver coincé avec des cadavres d'un côté et les cannibales de l’autre. Deux espèces, un seul but, finir par te bouffer. Mon arme dans une main, couteau dans l'autre, j'avançais doucement, 3 de moins, il restait à trouver les deux autres, mais c'était de l'inimaginable, j'entendais le dandy en costard m'appeler. Mais il sortait d'où ce type? Bon il était temps de le rejoindre, parce qu'il venait de me bousiller 2 semaines de traque, j'espérais au moins qu'il ne rajouterait une victime au tableau de chasse de ces monstres. Je progressais d'un pas rapide, mettant le plus possible en application les conseils de Louis et ceux de Barry, il était nécessaire d'apprendre, histoire de ne pas crever inutilement. Cependant l'urgence faisait toujours ressortir mon côté chien de guerre, et je m'étais précipitée, juste à temps pour voir le plus gros des cannibales, vider son chargeur sur son pote. Je n'avais jamais vu un type avec autant de chance, pas le borgne, ni son pote, mais le british qui venait de se sortir d'un merdier pas possible sans la moindre blessure. Je glissais mon arme dans la nuque de l'aveugle le laissant tomber lourdement à mes puis, puis j'observais un peu bêtement le blondinet surtout alors qu'il s'adressait à moi comme si il venait de me sauver la vie. Je dus mettre plusieurs secondes à reprendre mes esprits, avant de recommencer mon rituel qui consistait à enfoncer ma lame dans ce qui servait de cerveau à ces bouffeurs de cadavres.

"Je vais bien, et vous?"

Une fois ma lame essuyée sur les frippes des cadavres je me redressais et observais le costard blanc moucheté de sang de l'homme se trouvant devant moi.

"Vous me pardonnerez mais, vous sortez d'où? Des gens comme vous ne survivent généralement pas longtemps, vous avez une chance de cocu..."

Nan mais ce n'était même pas le mot, il avait eut plus que de la chance, quelle proportion de chance que je me trouve là? Que j'intervienne? Que l'arme de l'obstrue? Que l'aveugle bute son potes sans perdre une balle dans sa direction? Ce genre de personne, on ne les croise jamais dans une vie, ils sont comme les licornes, des légendes. Maintenant que je pouvais l'observer attentivement, sa tête me disait quelque chose, comme si je le connaissais, et pourtant, je n'arrivais pas à savoir où je l'avais déjà vu. Je ne me méfiais pas particulièrement de lui, il n'avait pas l'air particulièrement dangereux, mais surtout il n'était pas armé, mise à part son club de golf, il ne ferait pas le poids, et puis je venais de gâcher de précieuses cartouches, il fallait que j'en récupère, et que je sorte d'ici, l'odeur faisait monter des nausées, moi qui n'était pas particulièrement sujet aux nausées matinales, là j'avais l'impression que j'allais vomir mon faible petit dej, l'odeur métallique du sang me donnait même l'impression d'en avoir dans la bouche. J'observais la scène avec un certain regret, une nouvelle page qui se tournait, une qui m'éloignait plus encore de mon Barry. Je vivais dans son souvenir, peut être que les chose changerait, mais pour le moment même mon ventre qui commençait à gonfler ne suffisait pas à me faire vivre dans le présent, dans cette réalité, je poussais un soupire avant de reposer mon regard sur le jeune homme.

"Moi c'est Elliot."
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MessageSujet: Re: Super Size Me   Super Size Me EmptyVen 14 Sep 2018 - 23:14
Pourquoi tant de violence. J’ai l’impression d’avoir trouvé mon frère au féminin. Tel le sauveur que je suis, je vais a son devant et perçois son trouble. Oui, malgré le sang, et je ne préfère pas trop savoir a quoi correspondent les morceaux qui vont avec, je reste Dean Caulfied quand même. Ce n’est pas tous les jours que l’on est sauvé par un être aussi parfaitement émerveillement que moi. Avec toute l’émotion intimidante que je sais susciter chez la gente féminine, la demoiselle qui n’est plus en détresse me demande, maladroitement, d’où je viens.

Isha et Declan seraient là, je suis sur qu’ils auraient une réponse pas drôle et très vulgaire a formuler, mais, Dieu merci, je suis un gentleman. Qui plus est, la femme en question est loin d’être une vieille carne. Elle aurait des manières plus délicates, je pense qu’elle saurait une parfaite recrue pour être une Vestale. C’est affreux ce que l’apocalypse a fait aux bonnes manières je trouve. Je glousse. Ce n’est pas la première fois que l’on me dit que j’ai de la chance.

« C’est le talent voyons, bon, peut être aussi ma bonne étoile, mais j’aime bien penser que je n’ai pas perdu mon temps avec mes entrainements intensifs. »

Je lui souris et la laisse m’observer de tout son saoul. Je me dis qu’un peu de beauté, même sales, dans ce monde de brute, cela doit être agréable et si je peux lui offrir ce petit plaisir, autant le faire. Au moins elle se présente, la bienséance reprend le dessus. Je reste souriant, avenant, a la regarder intensément comme toute femme a envie d’être regardée, pourtant, c’est quoi ce nom ? c’est un prénom de garçon non ? Ou de dragon à la rigueur.

Oui je sais, je ne me présente pas. Je veux dire, pas la peine, je suis une star quand même. Pour moi c’est évident qu’elle sait qui l’a sauvée.

« Enchanté Elliot, c’est un plaisir de croiser une jeune fille telle que vous au milieux de… de ces gens pas agréables, et je ne parle pas que du plan hygiénique. »


Parce qu’elle aussi, pour le coup, une petite douche ne serait pas un luxe. Vous avez remarqué comme tous les survivants sont sales. Je ne sais pas si c’est un effet de mode ou autre chose, mais vivement que ça passe.

« Je viens de l’Arène, vous connaissez très certainement. D’ailleurs, serait-il discourtois de m’enquérir ou vous-même résidez ? je n’ai pas envie d’être grossi… oh… flute !!!!! »


Je vois derrière elle des morts qui arrivent. Et quand je dis des, j’entends, pas un ou deux mais du genre la fosse entière de l’arène. A croire que les coups de feu en l’air du grassouillet au sonnet la cloche du repas pour ceux du la vue me donne la nausée. C’est tellement… dégoutant.

J’attrape la main de la femme en la pressant, avec tact et galanterie, vous me connaissais, je suis un gentleman, d’avancé a pas vif loin de ce que les ruelles sont en train de vomir.

« Cela ne vous dirait pas que nous continuions cette plaisante conversation en marchant, a bonne allure ? »
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MessageSujet: Re: Super Size Me   Super Size Me EmptyMer 26 Sep 2018 - 14:40
Le talent, les entrainements? Je ne sais pas réellement pour qui ce mec ce prenait, mais il n'avait visiblement aucune formation militaire, ni même de formation quelconque à la survie. Pour être honnête, j'étais persuadée qu'il avait un ange gardien, et on ne parle pas d'un mec là haut qui veille sur vous, plutôt un véritable type qui faisait en sorte que le gamin reste en vie, et je crois que c'était un boulot à plein temps, on ne parle pas de 35 h par semaine, c'était presque de l'esclavage. Sans doute un membre de sa famille, personne n'aurait cette abnégation, sans lien fort. Peut être un petit ami. Il faut dire que c'était parfaitement rare de voir ce genre de personne survivre, la plus part du temps nous croisions des personnes comme Louis ou moi, un peu acariâtre, dangereux et parano... Là le jeune homme semblait plutôt social et aussi dangereux qu'un chihuahua. Ses réflexions étaient assez étrange, je l'observais bizarrement, je ne comprenais pas sa façon d'être, ses réactions, peut être qu'il y avait trop longtemps que je me trouvais seule, je devais encore moins sociale que Robinson Crusoe. Mais non même en essayant de ne pas voir les choses comme j'en avais l'habitude, je trouvais son comportement étrange. Le jeune homme ne répondait pas alors que je m'étais présenté, à croire que j'étais sensé le connaitre, pourtant j'étais persuadée de ne jamais l'avoir croisé.

Sa petite réflexion sur le plan hygiénique manquait de me faire m'étouffer, vu l'odeur que je devais avoir, l'odeur du sang qui emplissait déjà mes narines, c'était dégueulasse, mais je n'étais pas sûre que se soit pire que l'odeur de pourriture qui planaient dans l'air un peu partout, en particulier lorsqu'une meute approchait. Remarque je parlais à un mec en costard, alors que les morts marchaient... Quand il parlait de l'Arène j'eus un petit rictus, je n'aimais pas particulièrement cette faction, faire combattre des survivants, ce n'était pas comme si nous avions déjà assez de raison de risquer de se blesser voir même de mourir à chaque instant de cette nouvelle vie qui s'était offert à nous depuis quelques années.

Alors qu'il attrapait ma main, je tournais la tête pestant sur le bruit que j'avais du faire pour éviter à ce crétin de finir en hachis parmentier. Des semaines que je prévoyais de les buter discrètement la nuit, histoire de ne pas attirer l'attention de cette meute qui trainait non loin de là, c'était réussit... Je poussais un soupir avant de suivre le blondinet.

"Merveilleux, et vous avez un véhicule ou un planque histoire qu'on puisse laisser passer la meute ou la semer? Parce que ces mecs ça fait des semaines que je les surveilles pour les tuer discrètement, je crois que vous avez légèrement changer mes plans... Et c'est quoi votre nom? Monsieur le suicidaire, c'est un peu long."

La meute ne progressait pas spécialement rapidement, mais contrairement à nous, elle ne se fatiguerait pas, et ce n'était pas idéal. Bon, nous pourrions peut être essayer de l'attirer ailleurs, mais le risque était toujours de se faire encercler, les morts étaient de plus en plus nombreux. Plus question de tact et de galanterie, cette fois je me mis à courir, trainant presque le blondinet derrière moi.

"J'ai pas spécialement envie de devenir leur casse croute, donc, soit on a du renfort, et mauvaise nouvelle, je n'en ai pas, soit une bagnole, je crois que je vais devoir sortir la même excuse, soit il va falloir courir."

En gros BOUGE TON CUL.
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MessageSujet: Re: Super Size Me   Super Size Me EmptyVen 12 Oct 2018 - 23:17
Enfin quelqu’un qui me vouvoie, c’est un bonheur pour mes oreilles cette marque de respect. Je sens bien qu’elle a été impressionnée par toute mon assurance doublée de mon flegme si anglais d’adoption. Par contre, c’est une coquinette : elle me demande mon nom. Comme si je ne la voyais pas venir. Je lui souris avec malice, oui je sais ce n’est pas le moment, mais bon, je me dois aussi de prendre soin de mes fans. J’aime quand les gens font semblant de ne pas me reconnaitre. Un petit effort pour essayer de se rapprocher de moi sans la barrière de ma célébrité. Dommage que tout le monde me connaisse. Alors comme ça, j’ai changé ses plans ? c’est forcement un compliment et une bonne chose.
 
« J’aime savoir que je vous ai sauvée de votre routine. Ne me remerciez pas, ca me fait plaisir, même s‘il faudrait que vous m’expliquiez pour cette histoire de surveillance des gens, vous étiez paparazzi ? »
 
Je suis parfaitement en accord avec elle sur le fait qu’il vaut mieux bouger même si pour ma part je ne compte pas courir, c’est vraiment un truc avilissant hors tapis de course homologué.
 
« Vous savez, avec la marche active, on les distance très bien et on s’essouffle moins vite. »
 
J’imagine que je devrais être impressionné par la horde qui va nous tomber dessus mais, déformation professionnelle, je suis d’un calme olympien. Déjà, parce que c’est dans ma nature de ne m’énerver que pour des choses qui en valent la peine, et les morts ne sont clairement pas sur ma liste de choses qui valent la peine de le faire. Ensuite, et bien, je travaille sur des mises en scène de combat avec des gladiateurs et des moisis, alors forcément, même si pour l’odeur, je n’arrive toujours pas a m’y faire, je parle autant des puants morts que les puants en sueurs, heureusement que je n’ai pas peur de ces machins très lent (là je parle des morts).
 
En même temps que j’avance, prenant avec une fausse assurance un chemin, en fait j’essaye juste de viser ou mes nounous m’avaient plus ou moins laissé tantôt, j’essaye de rassurer cette petite âme féminine, et donc fragile. Les femmes… toutes les mêmes.
 
« Ne vous inquiétez pas, je suis là, j’ai tout : rang fort, véhicule, endroit sûr en bonus, et je suis du genre partageur. Il faut juste que je sache où retrouver tout ça. »
 
Je déambule plus ou moins au hasard, imitant mes rôles de militaires et évitant de pester sur les machins morts qui nous collent autant au popotin que des fans en quête de selfie quand une voiture arrive en trombe, se gare sportivement a notre niveau, la fenêtre se baisse et je vois Jésus sortir la pointe de sa mitraillette et arrosé pendant qu’il me demande, un peu trop vivement :
 
« Dans la voiture boss !! Vite !! »
 
La politesse se perd de nos jours !! J’évite de le rabrouer pour son manque de délicatesse, surtout devant une dame, et, même si je ne traine pas pour aller a la voiture, j’ouvre la portière pour également laisser Elliot grimper. Moi au moins, je ne perds pas mes bonnes manières.
 
« Après vous. »

 
Je vois mes nounous se lancer un regard qui serait traduit, par un esprit simple, comme résigné. Mais vu que je suis un être semi divin, j’y vois plus une façon de se reconnaitre tacitement impressionnés que je revienne avec une aussi belle femme, ou aussi taché, mais là c’est plus un autre mot qu’impressionné que je dois trouver. Mais oublions cette idée et restons sur la première. Oui, partout où je vais, je suis toujours magnifiquement accompagné. J’ai à peine le temps de rejoindre Elliot sur la banquette arrière et fermer la portière que la voiture repart a tambour battant. Jésus, notre chauffeur, me demande.
 
« ca va Monsieur ?! 

-Pas grace a vous ou a ta façon de conduire. 

-On avait demandé qu’un chose, restez dans la bagnole !

-Je n’aime pas trop ce ton. Déjà, je ne me souviens pas que c’est vous qui donnez les ordres, ensuite, si j’étais resté, je n’aurais pas rencontré la charmante Elliot que voici. D'ailleurs, Elliot, voici les rang fort, la voiture et nous allons vers l’arène, souhaitez vous être déposée en route ou pensez vous me laissez l'occasion de vous remercier en vous invitant a diner et en vous proposant de vous héberger chez nous le temps qu'il vous en plaira. Au moins, avec vous, je me sens plus en securité qu'avec ses bras cassés.»
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MessageSujet: Re: Super Size Me   Super Size Me EmptyVen 19 Oct 2018 - 16:20
Il fallait savoir que c'était assez exceptionnel, surtout dans cette situation, nous étions dans la merde, des zombies nous courraient après, enfin courraient, façon de parler... Le risque d'une meute était plus de se retrouver encercler, et c'était le genre de chose qui arrivait plus vite que l'on pouvait le croire. En tout cas je ne savais pas pour qui se prenait ce type, mais sa question, me tira une grimace, généralement, on ne s'imaginait pas que je puisse courir après des gens pour obtenir une vulgaire photo volée.

"Ouais pas vraiment j'étais flic..."

Quoi qu'il en soit peu importait le métier qu'il avait pu faire, il n'était probablement pas sportif de haut niveau, il n'était pas ravi à l'idée de bouger ses fesses, réellement, ce n'était pas possible, il n'avait pas pu survivre dans ce monde avec un tel comportement, c'était impossible, et injuste, lui survivait en jouait sa précieuse, alors que Barry avait laissé sa vie, lui qui était fait pour un monde pareil... Mais il fallait voir le bon côté des choses, il avait un abri et c'était le genre de chose qui pourrait m'être utile dans les mois à venir, j'avais beau faire comme si rien n'était, à un moment ça me poserait problème, lorsque je ressemblerais à une baleine, ça sera bien moins simple de semer les cadavres ambulants, et avec un bébé, se serait encore plus compliqué. Il fallait voir les choses comme ça, après tout c'était bien tout se qu'il nous restait, la chance de rester vivant et de rester le plus longtemps possible. Je devais bien ça à Barry, surtout si je portais son enfant. Après tout c'était ça qui m'avait sauvé la vie.

Soudain une voiture se gara à notre niveau, je fus légèrement surprise, soyons honnête on ne voyait plus des voitures tous les jours, en fonctionnement encore moins. La poussière projeté laissait une possibilité de fuir, mais je repensais à se que m'avait dit ce type qui n'avait toujours pas dénié se présenter. Finalement le blondinet me sortit de mes pensées et je me jetais à l'intérieur observant les deux mecs qui devaient probablement être ceux qui gardait en vie le blondinet. J'observais la petite scène qui se jouait devant moi, difficile de dire si j'étais impressionnée ou dubitative.

"Nan mais je rêve, c'est vous le chef de l'arène?"

A coup sûr il allait prendre ça pour un compliment, je crois que ce type ne comprenait jamais comme il fallait se que je disais, pas plus mal au moins il ne prenait jamais rien mal, il fallait bien voir les choses du bon côté. J'eus un petit sourire face à ses compliments, au final cette journée n'était peut être pas si pourrie que ça, au moins j'aurais le droit à un repas, et ça je n'allais pas dire non, je mourrais de faim.

"Je ne dirais pas non à un bon repas, ni même d'un endroit où dormir, ça fait longtemps que je ne me suis pas posée."

Je me laissais tomber contre le siège de la voiture et regardais par la fenêtre c'était réellement étrange cette sensation qui était si naturelle il y a quelques années me paraissait étrange.

HRP : On en ouvre un nouveau en mettant à jour le lien qui a évolué?
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