Mes doigts parcourent le piano, reprenant une musique des Destiny’s Child lorsque je me sens soudainement observé. Je sursaute un instant avant de sourire « Oh pardon les enfants, j’avais oublié que vous étiez là ! Je te remercie d’avoir amené ta petite sœur, Harvey… C’est bien ta petite sœur au fait ? Parce que tu m’as l’air très jeune pour avoir pondu ce… Enfin cette enfant. Peu importe. Même si ce n’est pas le tiens, ça ne me regarde pas. » Je me sers un verre de la bouteille d’alcool que j’ai trouvé en fouinant dans les affaires d’un type décédé. « Vous en voulez? » Je tends le verre à l’assemblée d’immature avant de le retirer dans un rire et de tremper mes lèvres dedans. « Bien sûr je rigole! Ne dis pas ça à Logan, Harvey, s’il te plait… Vous pouvez vous resservir d’un peu de ce jus de racine. »

Je me racle la gorge et prends une pose assez majestueuse. Après tout, ils sont venus pour m’écouter, pas vrai ? « Messieurs, Mesdemoiselles,… A moins que vous ne soyez précoces au point d’être déjà marié, dans ce cas-là, mesdames… Nous sommes réunis en ce jour pour… » Je me stoppe et réfléchit un instant « Attendez un peu… ça sonne comme un discours de mariage, ça, non ? Bah… Après tout, c’est un peu le début d’un amour donc… » Je reprends ma pose majestueuse et reprends mon discours.

« Les enfants, je vous ai réunis pour vous raconter les contes de Lazare. Et il ne s’agit pas de n’importe quel compte. Non non… Il s’agit bien évidemment de choses s’étant déroulé en ces lieux, ou pour ces lieux. Oui, vous avez bien compris ! Je vais vous compter une histoire concernant les deux pires membres de cette communauté. » Je prends un air on ne peut plus satisfait, sourire diabolique sur mes lèvres « Il s’agit des aventures de… Isha et Declan ! » En prononçant leur nom, j’avais appuyé sur le côté horrible de la chose, faisant sursauter certains enfants. « Et cette aventure-là je l’ai nommé Les Aventuriers de la fontaine perdue. Il était une fois… »

Fort Hope, un an auparavant.
C’est parti. Je n’ai pas trop compris ce que je dois faire mais je vais le faire. On m’a parlé d’une pompe, d’un parc aquatique, de quoi me faire bien voir de Fort Hope, voyez-vous ? Mais j’ai comme qui dirait des doutes… Sans déconner, la façon dont l’autre barbu a de me regarder, ce rappeur à deux balles qui courtise ma meilleure amie et cet Isha qui semble plus décidé à faire un concours de longueur d’aubergine… Je ne me sens pas trop à ma place. Sans compter sur le fait que j’ai retrouvé en ces lieux mon ex, Avalohn. Et devinez avec qui elle s’est maquée ? Ce loser d’Isha qui semble aussi débrouillard avec un arc qu’avec cette nana.

Je doute qu’elle passe l’hiver. Et s’il bande aussi bien son arc que son aubergine, autant dire qu’elle va vouloir qu’on renoue des liens la petite. Je suis le meilleur. Je l’ai toujours été. Je ne peux pas en douter. Maddie vient de s’éloigner de la voiture et Isha prend place au volant. Je lâche un « Salut. » Feintant la concentration sur la carte pour ne pas avoir à trop perdre de temps à discuter. Je ne pige rien à cette carte. Ça m’emmerde. On est où exactement ? Je suis censé me repérer comment ? C’était tellement plus simple quand j’avais des chauffeurs qui connaissaient Détroit à ma place…

Mais je ne vais pas lui avouer d’emblée de jeu. Ce serait con que je montre mes faiblesses dés le premier rendez-vous. De toute façon, il est occupé à discuter avec les gardes à l’entrée de Fort Hope pour arranger notre sortie. J’attends qu’il soit de nouveau disponible pour tenter d’ouvrir la conversation. « Alors… Archer toi aussi ? Tu sais, si jamais t’as besoin d’aide, je peux t’apprendre. Je donne déjà des cours à la femme du chef. Ça ne me dérange pas de t’en donner aussi… Enfin… J’imagine que tu sais t’en servir si tu sors avec, pas vrai ? Bah… Laisse tomber… » Merde… Pourquoi j’ai parlé ? Je n’ai pas fait attention aux rues devant lesquelles ont est passées… On verra bien ce qu’il en est plus tard. Vu qu’il conduit, c’est qu’il doit savoir où on ne va pas vrai ?

Et voila, comme je le dis toujours, c’est a pas savoir dire non, on se retrouve toujours dans les pires situations qui soient, et quand je dis pire et dedans, j’entends plus Declan et assis a coté de lui. D’ailleurs au passage Harvey, les messieurs dans les autres messieurs, si ce n’est pas pour leur enfoncer le bras dans le bide pour arracher des intestins, c’est mal. … on me souffle a l’oreillette que ça aussi, ça serait mal. Donc retient bien cette leçon.

Bref, qui était tonton Declan pour moi à l’époque ? Et bien je vous dirais bien en un mot : un CONNA… heu pardon un vrai coquin, ne froissons pas les jeunes oreilles que j’espère toujours innocentes. Mais du genre COQUIN de compétition. « Moi j’ai tout vu, j’ai tout fait, je suis le plus beau ». J’espère que vous visualisez bien le type de coquin dont je parle.

Comme je suis aimable, agréable, je n’ai pas trop relevé les insultes, vous connaissez mon légendaire self contrôle, et nous sommes partis en quête d’une pompe dans un parc aquatique. Du moins, c’est ce que je pensais en me fiant aux indications, aussi douteuses que données avec assurance de votre tonton Dédé. En chemin nous avons commencé a faire connaissance, bien entendu, tonton Dédé s’était bien gardé de dire qu’il se faisait mon ex copine de l’époque. Et Harvey, arrête d’essayer de calculer si c’est Avalohn ou pas, on s’en fiche, là on est pas dans How i see your mother be killed, ok ?!!! On est dans How I Met ton tonton Dédé !! Et Octavia arrête de pallier ton soutien à Harvey!

Ce n’est qu’après plusieurs heures de route, ainsi qu’une pittoresque histoire sur mes origines amérindiennes, qui a fortement impression mon Dédé, que les problèmes ont commencé. En fait, c’est quand il a commencé a se plaindre que je n’avais pas fait la mise a jour de la carte que j’ai compris que nous étions perdus. Ma légendaire patience en a pris un coup. Nous sommes donc sortis de la voiture discuter posément de la situation problématique quand celle-ci est quelque peu… partie sans nous. Je crois me souvenir avoir dit « oh zut alors, le frein main n’était pas enclenché » en regardant notre ex voiture décédée contre un platane en bas de cote. Paix a son joint de culasse. Enfin, non pas encore si je me souviens bien, on était plus dans un lente agonie, autant pour moi.

Sortis de la bagnole pour faire le point avec Isha -ou plutôt tenter de ne pas s’entretuer et s’expliquer calmement-, on ne fait pas attention au véhicule qui passe entre nous, sur le coup. Ce n’est qu’après qu’on le réalise. Et ce n’est que le silence de nos courses qui parviennent couvrent le bruit du calme, qui se fait entendre. Enfin… Jusqu’à ce que la bagnole et un platane ne décident de s’accoupler. Je me tourne alors vers Isha « Mais t’es complétement débile ou quoi ? J’suis pas expert en conduite, mais je sais qu’on n’oublie pas un frein-à-main ! Monsieur l’expert de la carte… » Je lui plaque cette dernière sur le buste et reprends « Trouve donc la route le temps que JE cherche une solution. On ne va pas faire ça à pattes. » J’avise l’endroit où nous sommes. Nous étions non loin d’une zone rurale en périphérie de la ville. Et je pouvais distinguer une station essence au loin, à côté d’un champ, lui-même bordé par un bois.

« En attendant que t’y piges quelque chose, on va pas rester planté là comme des gnocchis. Allons voir dans cette station essence si on ne trouve pas une tire. » Je n’attendais pas son avis et commençais à marcher vers la fameuse station. C’était sans compter le comité d’accueil qui nous suivait de près, et ses râles à peine audibles. Je me suis retourné pour voir s’il suivait lorsque je les aperçus. « Crotte de licorne! Magne ! On s’tire ! » Je limitais alors l’espace nous séparant pour l’attraper par l’avant-bras, et me suis mis à le tirer de force. « Je sais que t’as de nombreuses admiratrices, mais c’est pas le moment de s’arrêter pour leur signer des autographes ! » dis-je alors en entamant une course.

On passait à côté de la station. J’y jetais un œil pour tenter d’apercevoir un véhicule. Rien. Heureusement que la horde nous pressait, sinon nous y aurions perdu notre temps. « On va continuer dans l’champs ! Si t’as une idée, Einstein, c’est le moment de partager parce qu’à part courir, je sèche complet ! »

Comme je vous le disais les enfants, oui Harvey tu es et resteras un enfant toute ta vie a mes yeux, enfin, tant que je me souviendrais de toi, Declan et moi nous avons été un poil tendu du slip avant d’etre bons camarades. Tonton Dédé avec cette verve bien à lui qui fait que parfois, c’est possible, qu’éventuellement, dans un moment de faiblesse, j’ai pensé a lui éclater la tête coup de quenouilles rouillées. Comment ça, c’est quoi une quenouille ? Mais qu’est ce que j’en sais moi ! Un truc qui fait mal c’est tout ce qu’il faut retenir pour reprendre le fils de cette histoire.

Bien, donc nous en étions là, paumés a cause de tonton Dédé, sans voiture parce que j’avais été perturbé par tonton Dédé, mais nous n’étions pas encore au bout de nos peines. Je dirais même que nous en étions bien loin de toucher le fond tous les deux. Alors que nous avisions, soudains, que nous n’étions pas seul, enfin, si à la base nous l’étions. Mais lorsque nous avons voulu récupérer le matériel dans la voiture et voir si elle était sauvable, c’est possible qu’elle a voulu pousser le chant du signe avec, tout d’abord, un embrassement, puis le déclenchement de l’alarme. De quoi rapatrier tous les moisis du coin et pas que.

Voyant bien que votre tonton était complétement dépassé au point d’invoquer des noms de sportifs inconnus comme Einstein (d’ailleurs, si vous saviez me dire dans quel équipe de base ball il était celui-là, ca m’aiderait a me coucher moins con ce soir), j’ai pris les choses en main. Vous me connaissez, le sang-froid, la maitrise, les bonnes décisions au bon moment… J’ai donc dit :

« Declan, j’ai une idée, suis moi et allons nous cacher dans se bosquet pour entraver la course des vilains mort avant d’aller trouver des fermes ou des lieux avec des voitures ! »

Bon, ok, avec la précipitation j’ai peut-être fait la version abrégée et ca donnait plus un « grouille » ou « pas là ». Mais l’idée restait la même. Dites-moi, les enfants, je ne sais pas si je vous ai dit que Declan et moi, avant vos Tata Joey et Deena, on était des pièges a filles ? Oula !! Sœurette !!! C’est qui que tu traites de tapette a souris là !! Y’a pas de tapette ici a part Harvey !! Dédé et moi on a toujours été que bons camarades, même quand on portait la toge tous les deux pour se passer le monoï sur le torse !!! Ca a toujours été de l’amitié virile !! Et toi Harvey arrête de tirer la tronche !

Bon, pour en revenir a notre histoire, nous étions deux beaux gosses, viriles a souhaits, courant pour notre vie dans les bois et sans savoir que nous avions un autre prédateurs qui nous guettaient : des Nymphomanes velue en manque de sexe. C'est quoi une nym... Ah… mince, j’avais oublié vos âges. Donc des jeunes filles qui en voulaient.. heu… a nos bonbons. Voila, c’est ca, des gourmandes qui voulaient nous prendre nos bonbons sans nos accords a tonton et moi.

Nous cacher dans les… Mais il est sérieux ce type ? Je n’en sais rien… Dans les bois y’a genre au moins trois milles espèces d’animaux différents, mais sûrement pas des voitures ?! Je regarde derrière nous : notre unique chance ce sont bien les bois. C’est ce que m’indiquait la horde à nos trousses. « C’est bien beau de jouer au chefaillon, mais maintenant faut passer la seconde ! Grouille toi ! » Je me dirige dans la direction indiquée par le chevelu, le dominant même d’une longueur.

Une fois dans la forêt, je tourne la tête pour vérifier qu’il suive lorsque soudain, je me heurte à un je ne sais quoi qui me rétame par terre, à moitié sonné. Je lève les yeux vers Isha et lui hurle dessus « Bordel mais pas la peine de me frapper si t’es jaloux que j’cours plus vite, connard ! » Mais avant qu’il n’ait le temps de rétorqué, il se retrouve au sol également. J’aurai bien ris si un second coup ne s’était pas abattu sur mon crâne.

Ouvrant les yeux un peu plus tard, démunis de mes armes, je me rends compte qu’on est attaché et que les femmes autour de nous ne nous calculent pas. Je tourne la tête sur le côté et voit Isha, encore dans les vapes. Je lui donne un coup d’épaule pour le secouer. « Eh ! Réveille-toi du gland. Regarde dans quelle merde on est à cause de ton idée ! » lui dis-je dans une murmure.

Si lui n’a pas entendu, ce n’est pas le cas de ces amazones croisés avec des camionneurs. Même si une ou deux sont plutôt sexy, ce n’est pas le cas de toutes. Bah… On n’est pas là pour ça. Il me faut vite un moyen de diversion. Attirer l’attention sur l’un de nous deux pour que l’autre puisse se délivrer. Et la seule chose que j’ai trouvé qui fasse sortir Isha de ses gonds est « Isha, j’t’ai jamais dis mais… j’suis l’ex de ta copine… Tu sais Ava ? Elle et moi avant on était ensemble… Bordel, un sacré petit lot cette femme, pas vrai ? »

Les enfants, sachez qu’avant Joséphine, j’ai connu d’autre demoiselles, rien de sérieux. Parce que comme vous le savez tous, on ne se touche pas le bout des doigts avant le mariage, n’est ce pas Harvey !!!! Et un mariage avec une FILLLLLLEEEUUUUHHHH le reste ca compte pas !!!  Et ne fait pas cette tête la quand je parle de celle que tu adulais comme ta grande sœur parce que dans le genre tepu celle là… enfin… je veux dire, dans le genre amie de recré pas exclusive, elle aurait rien a dire si elle était vivante.

Bref, donc j’avais une camarade de chambre du nom d’Avalohn. Je croyais que c’était ma camarade rien qu’a moi, même si elle gardait la chambre que pour elle, mais en fait elle jouait avec d’autres camarades dont tonton Dédé. A sa décharge, elle ne me trompait pas avec puisque si on relit bien la chronologie, c’était avec moi qu’elle le trompait, c’était lui le premier a devenir un ex ! Comment ça qu’est ce que ca veut dire tromper ? Octavia !!! C’est comme quand papa Logan te dit qu’il va se coucher avec toi et qu’il attend que tu pionce pour aller dormir avec Juliet. Tu ne savais pas qu’il faisait ça ? Tu croyais vraiment qu’il se réveillait juste un peu avant toi le matin ? Tu es vraiment trop mignonne. Maintenant je le crois quand il me dit que tu as gobé que ta mère était quelqu’un de bien et qu’elle a pas souffert en se faisant crever comme la sale chienne de cannibale qu’elle était.

Mais ne nous égarons pas. Bref, alors que nous étions retenus prisonniers dans un camp de refoulées des boites de nuit vivant comme des primates, la pilosité plus fournie et essentiellement de sexe féminin, du moins, je le pense, sous les poils, c’était pas facile a voir, et puis, les nichons qui pendent, ca peut faire penser a juste un bourrelet graisseux.
Quoi encore Harvey ?!!! Comment ça je t’aide pas a pas être gai ? Mais non, cette histoire est marrante, et ca me fait plaisir que tu sois joyeux.

Malgré mes envies de défonçage, je me suis dis que ca serait pas plus mal de nous détacher avant que les donkey kong girls se rendent compte que nous étions éveillés, que cela soit pour leur échapper ou pour que je puisse foutre le poing dans la tronche de tonton. Naïvement, je pensais qu’elles n’étaient que cannibales et qu’elle n’en voulait qu’a nos côtelettes. La vérité était tellement plus atroce. C’était autre chose qu’elle voulait nous bouffer. Mais pour le moment je vociférais, le plus discernement possible, en essayant de mon concentrer sur mon art qui ferait des envieux dans la ligue des escapes games prof.

Mince alors ?! Pourquoi il ne réagit pas ce con ? J’ai besoin d’une diversion, à la fin ! « T’as entendu ce que je t’ai dit ? Ava’ a pris son pied plus d’une fois avec moi et si je ne l’avais pas largué, elle ne t’aura même pas considéré comme second choix. Elle et moi c’était l’amour fou, jusqu’à ce que je décide que je ne l’aimais plus et trouve largement mieux que cette nana. » Je tourne la tête vers lui. J’arque un sourcil. Il attend quoi pour défendre son honneur et me faire gagner du temps à la fin ? Il ne voit pas que j’ai un plan ? Celui de… De se tirer de là, simplement ! « Eh oh, du genou ! T’as la capacité émotionnelle d’une petite cuillère ou quoi ?! Je me suis tapé ta copine ! Tu te contentes de mes restes ! » Résultat, me voici à hurler à sa place, attirant King Kong et Miss Fil De Fer vers nous.

Et voici qu’elles se mettent à nous menacer en ajoutant qu’elles en veulent au contenu de nos caleçon. Et vu que j’ai hurlé, j’y passe… En premier ? Ok. Là, je flippe. Soi-disant que c’est pour se soulager et repeupler la terre. Et que de toute façon on est bon qu’à ça. Je la défie de me redire ça avec un arc entre mes mains ! Mais au lieu de ça, King Kong m’attrape par le bras et me tire jusqu’à une tente rudimentaire mais efficace. Un dernier regard vers Isha : il a intérêt de se tirer et de revenir avec la cavalerie, celui-là !

Je me retrouve bien trop vite en petite tenue et ligoté à un lit, priant pour qu’Isha débarque rapidement. Petit à petit, cette demande de miracle s’évapore pour qu’on achève mes souffrances. Oui, là, je me surprends à souhaiter mourir. J’ai envie de chialer lorsque King Kong entre dans la tente suivie de prêt par une femme se tenant dans l’ombre. Et la King Kong dit la chose la plus censé qu’il soit : il vaut mieux qu’elle y passe en dernière car elle compte bien m’achever. Logique, faut que je serve pour toutes les autres avant elle. Je ne vais pas survivre aux assauts de la dame pas très charmante. Et de l’ombre jailli une jolie jeune femme bien en chaire mais largement séduisante : ok. Isha, vient après celle-là, s’il te plaît !