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Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 Time still turns the pages of the book it's burned
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MessageSujet: Time still turns the pages of the book it's burned   Time still turns the pages of the book it's burned EmptyJeu 7 Avr 2016 - 14:20


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Time still turns the pages of the book it's burned  

Shane & Maxine



1 Mars


Beaucoup de choses avaient changé depuis l'épidémie, beaucoup trop de choses. Bon nombre des gens qu'elle avait connu étaient maintenant mort ou presque. Le monde, pourtant immuable depuis des centaines d'années c'était mis à vriller emportant avec lui les hommes et chaque parcelle d'humanité encore existante. Pour parfaire le tableau sa seule famille ne se résumait plus qu'à un petit con à tendance psychopathe et à une excroissance se développant à l'intérieur de son utérus. Le tableau était sans doute dépeint un peu plus sombrement qu'il ne l'était vraiment, au final elle l'aimait plutôt bien ce petit con, sans doute plus qu'elle ne l'avouerait et pourrait le comprendre. Quand à l'enfant qui grandissait en elle, ce dernier ne lui inspirait que de l’indifférence. Elle ne le considérait pas vraiment comme un humain, dans son esprit il se matérialisait sous forme d'une erreur, d'un problème dont elle devait se décharger au plus vite.

C'est pour cette raison qu'elle se trouvait maintenant dans le cœur de ce qui avait été dans une autre vie l’hôpital St John. Ce dernier avait lui aussi terriblement changeait depuis la dernière fois qu'elle y avait mit les pieds. Le bruit constant des allées surchargées de malades et de leur famille laissaient maintenant place à un silence dérangeant, imbibé de toutes les horreurs qui avaient du se dérouler entre ses murs. Les lumières qui autrefois semblaient criardes oscillaient comme si elles aussi semblaient se battre constamment contre la mort. L'odeur elle aussi n'était plus la même, elle semblait moins chimique, moins proprette même si pour Maxine elle sentait toujours autant la mort. Les hôpitaux, ça n'avait jamais été son fort, ni les médecins d’ailleurs mais ça c'était une autre histoire.

Pour l'heure la jeune femme était assise sagement dans une salle dont la seule fenêtre, placée derrière elle inondait la pièce. Elle pouvait voir sa propre ombre se projeter sur le bureau en chêne vernis, seul véritable obstacle entre elle et la chaise vide en face d'elle. Chaise qui semblait quand à elle beaucoup plus confortable que celle sur laquelle elle était installée. Son esprit se serait sans doute mit à faire une étude comparative des deux assises si les entraves métallique autour de ses poignets n'enraillaient pas sa classification et n'occupaient pas la plus grande partie de ses pensées. En effet, les menottes sans doute trop serrées par un esprit trop zélé commençaient à mordre doucement la chair. Si il va sans dire que la douleur physique occasionnée n'avait rien d'agréable dans ce genre de circonstances elle n'était que secondaire face à la réalité de sa condition.

Maxine était une prisonnière, peut être pas dans le premier sens du terme mais toujours est-il qu'elle était mise en quarantaine, menottée et privée de ses armes. En soit elle était clairement en position de faiblesse, seule et sans moyen de faire demi tour. C'était le genre de situation qu'elle avait essayé de fuir depuis le tout début de l'épidémie et c'était pourtant cette situation qu'elle avait fini par trouver la plus acceptable. La front mollement posé contre l'arrête du bureau en face d'elle, la jeune femme tentait une nouvelle fois de se persuader qu'elle n'avait pas eut d'autre choix que celui de se rentre dans cet hôpital. Avoir un enfant dans le monde actuel revenait à se tirer une balle dans les deux pieds. Si elle avait fait preuve de stupidité en laissant cette chose grandir en elle, elle comptait bien corriger le tire mais pour ça elle devait se mettre en danger.

Enclin à une certaine forme d'auto flagellation soudaine Maxine aurait sans doute fini par fracasser son crâne contre le bureau si après quelques minutes d'attentes la porte de la petite salle ne s'était pas ouverte. Machinalement la jeune femme se redressa pour se retrouver face à un militaire...C'est vrai qu'il y avait ça aussi...  





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MessageSujet: Re: Time still turns the pages of the book it's burned   Time still turns the pages of the book it's burned EmptyJeu 21 Avr 2016 - 2:00

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Maxine Green & Shane Davis Ft. Derek


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01 MARS 2015, 16:08
ST. JOHN PROVIDENCE HOSPITAL
 

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La porte s'ouvrit donc, laissant entrer un militaire. Mais pas n'importe lequel... Derek. L'homme se frotta les mains, tout en prenant soin de fermer la porte après être entré. Derek fixait la jeune femme assise, menottée à sa chaise, dans la salle. Il ne dit rien pendant plusieurs minutes, mais ne cessait de la fixer, sourire en coin. « Meeerde... Mais comment une si jolie petite chatte à pu survivre toute seule pendant tous ces mois... ?! », demanda Derek. Le militaire prit un paquet de cigarette qu'il avait sur lui. Il prit une clope de ce même paquet, et l'alluma avec une de ces allumettes qui se trouvait aussi dans la boîte. Il tira une première bouffée, tout en rigolant tout seul. Il regarde la jeune femme en face de lui, tout en lui tendant une cigarette. « Laisse-moi t'offrir une clope... Mh... Disons seulement que c'est un cadeau de bienvenue... », dit Derek, tout en déposant la cigarette devant la jeune femme tranquillement. Il lui caresse la joue, tout en passant par les cheveux. « T'es pas trop causante... Au moins, ça change de ce qu'on peut trouver dans le coin...», explique Derek, tout en continuant. « ... Elles parlent plus qu'elles n'agissent, si tu vois ce que je veux dire... », ajouta Derek, tout en faisant une moue, se posant juste en face de la jeune femme. « ... Mais c'est plus fort que moi, j'suis une bite ambulante ! », annonça le militaire, comme si tout était normal dans son discours. Le silence refait surface dans la pièce, Derek tire à plusieurs reprises sur sa cigarette, tout en souriant à la jeune femme en face de lui. « Le seul problème ma jolie, c'est que j'ai pas vraiment baisé depuis un bout de temps... Et j'suis qu'un homme pas vrai ?! », expliqua Derek. « Puis toi, pendant tout ce temps toute seule, tu dois bien avoir envie de te prendre une bonne queue... Histoire de se rappeler le bon vieux temps... », dit Derek, le tout sous un sourire pervers.

« Quoi...?! Me dit pas que t'es une broute minou toi aussi ! », ajouta le militaire. Derek laissa une nouvelle fois un temps de silence, puis frappa à plusieurs reprises la table qui se trouve entre eux, avec son poing tout en souriant. « Est-ce que tu entends ce bruit ?! Ahah... Est-ce que tu sais ce que c'est... ?! », demanda Derek, énorme sourire aux lèvres. « ... C'est le bruit de mes boules qui claquent sur tes fesses ma belle... Clap, clap, clap, clap... Tu aimes...?! Ahah !! », dit-il, tout en la fixant, sourire aux lèvres, s'effaçant peu à peu de son visage. Et d'un bond, Derek se lève de sa chaise pour se mettre à côté de la jeune femme. « J't'ai posé une putain de question ! », s'écria l'homme, tout en tournant de force le visage de la jeune femme vers le sien. Derek avança alors ses lèvres vers l'otage menottée, mais cette dernière lui met un coup de boule qui vient éclater la lèvre inférieur du militaire qui a fait quelques pas en arrière sur le choc. Derek se touche la lèvre avec son pouce et regarde le sang qui est sorti de sa lèvre. « Espèce de salope ! », s'exclama Derek, tout en sortant son couteau de combat et le mettant sous la gorge de la jeune femme.

« Derek... Stop ! », ordonna Shane, qui fit son entrée à ce moment là dans la salle. « Elle m'a éclaté la lèvre putain... », ronchonna Derek. « Et dire qu'elle est menottée... T'as peut être eu de la chance... », insinua Shane. « Mais ferme ta grande gueule putain ! C'est juste une broute minou qui se la joue Rambo encore... », bougonna le militaire, tout en rangeant son couteau de combat. Il lança un regard noir à Shane, et quitta la pièce sur le champs. Shane prit alors place sur la chaise en face de la jeune femme, tout en soupirant. « J-Je... Je suis vraiment désolé pour ce qui vient de se passer... », déclara le sergent, tout en se frottant le front. « J-Je suis Shane... Et contrairement à ce que tu peux croire, tu es la bienvenue ici ! », expliqua Shane. « Ne pense pas que l'on est tous comme lui... Dernièrement, il pète un fusible, mais il reste sous ma responsabilité ! Tu n'as rien à craindre... », ajouta le militaire, en face de la jeune femme. « Si mes hommes t'ont enlevé tes armes, menottés, et mit dans cette pièce, c'est parce que ceux sont nos règles... On veut d'abord savoir à qui on a affaire, pour se protéger... Mais en aucun cas, on te veut du mal... », poursuivi Shane. « Donc tout d'abord... Qui es-tu ?! »

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MessageSujet: Re: Time still turns the pages of the book it's burned   Time still turns the pages of the book it's burned EmptySam 23 Avr 2016 - 16:36


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Shane & Maxine






Quand la porte s'ouvrit Maxine dirigea instantanément son regard vers la personne qui venait d'entrer. Ce dernier était un homme, un militaire pour être plus précis, d'environ la trentaine. Sans dire un mot, la jeune femme se contenta de l'observer, comme si elle cherchait à savoir à qui elle avait affaire. De toute façon qu'aurait elle bien pu dire ? Elle n'était même pas sûr d'avoir l'autorisation de parler en plus. Donc oui, Maxine était sage et elle comptait bien le rester histoire de ne pas faire de vagues et de ne pas trop attirer l'attention sur elle.

Malheureusement pour elle, de toute évidence, dans cette pièce elle devait bien être la seule à ne pas vouloir faire de vagues. En effet, après un moment qui lui sembla bien trop long, l'homme en face d'elle ouvrit enfin la bouche. Sa prise de parole fut la bien venue étant donné qu'elle commençait à sentir son silence pesant d'autant plus qu'il était amplifié par la lourdeur de ses regards. Mais aussi tôt la phrase de l'homme lancé Maxine réalisa qu'elle aurait préféré qu'il garde le silence.

Pour seule réponse la jeune femme se contenta de hausser un sourcil. Elle ne s'offusqua pas vraiment du « jolie petite chatte » qui lui était destiné. Elle n'était pas assez dirigée par ses émotions pour ça. Non elle se contenta de garder les lèvres closes tendis qu'elle répondait mentalement à sa question. Comment avait-elle fait pour survivre ? Ce n'était pas vraiment compliquer à expliquer. Beaucoup de violence, peu d'humanité et un soupçon de chance la parfaite petite recette de la survie dans un monde post apocalyptique.

Elle le regarda ensuite tirer une cigarette de son paquet et l'allumer. Depuis combien de temps n'avait-elle plus fumé ? Le goût du tabac, son odeur, si autrefois elle n'en était pas vraiment fan aujourd'hui elle pouvait y trouver une certaine forme de nostalgie. Lorsque le militaire posa une cigarette devant elle indiquant qu'elle était pour elle Maxine ne put s’empêcher de la regarder avec méfiance. Les cadeaux, ici ça n'existaient pas, tout avait un prix et elle doutait fort que ce dernier lui convienne. De plus même si elle ne voulait pas vraiment y penser, elle était enceinte, si elle ne pouvait pas se débarrasser du petit alien elle se devait de faire en sorte de le garder en santé. Elle lui devait quand même ça après tout il n'était apparu par miracle à l'intérieur de son corps.

-Merci

Alors elle se contenta de la regarder avant de lancer ce simple mot. Elle ne voulait pas refuser de but en blanc. Règle numéro une ; ne jamais contrarier la personne en face de vous quand vous êtes menotté et pas lui. Elle resta ensuite impassible quand l'homme se mit en tête de lui caresser la joue et les cheveux. Enfin impassible...elle avait quand même eut un léger frisson de dégoût tout en serrant les points. Si elle n'avait pas eut ses entraves et si elle avait été en meilleure position sans doute aurait elle prit un malin plaisir à lui envoyer son poing dans la figure mais là ce n'était clairement pas le cas.Règle numéro deux ; ne jamais surestimer sa propre force. Alors elle encaissa sans rien dire et sans montrer la moindre expression allant même jusqu'à se repositionner fièrement sur sa chaise.

Toujours en face d'elle le militaire en face d'elle continua son monologue sur le fait qu'il était dure d'être un mec et d'avoir des pulsions à contenter dans ce monde où la gente féminine avait tendance à s'éteindre. La jeune femme resta campé au fond de sa chaise l'écoutant à moitié tout en essayant de trouver quoi faire si il venait à l'esprit de cet homme de laisser les mots pour les gestes. En effet chaque phrase énoncée devenait de plus en plus pesante et elle doutait fortement qu'il n'en reste là alors qu'il était seul avec elle et que le travail était déjà à moitié fait. Sérieusement, elle était déjà attaché si il décidait de la violer elle ne serait pas capable de le repousser bien longtemps. Au pire elle aurait bien pu se mettre à hurler pour alerter quelqu'un, après tout, les autres, ceux qui l'avaient menotté et amené ici ne semblaient pas aussi...atteint.

Elle commençait doucement à comprendre qu'elle était dans la merde. De plus le sourire pervers qu'il affichait à longueur de temps lui aussi laissait à penser qu'en plus de les dires ses phrases devaient sûrement laisser quelques images peu catholique dans son esprit. Elle aurait pu tenter de dire quelque chose histoire de le faire redescendre ou peut être même rentrer dans son jeu mais Maxine se contenta de rester silencieuse et impassible. Un vrai petit rocher qui ne cherchait même pas à montrer autre chose que de l’indifférence. Après tout c'était sans doute mieux ainsi...et puis peut être que tout ça n'était qu'un test vachement étrange serte mais après tout peut être cherchait il à savoir qui elle était vraiment.

Le doute resta en suspense un petit moment avant que l'homme ne la fasse sursauter en tapant la table de sa main pour imager ses paroles. Sérieusement ? Non mais vraiment...et le pire c'est qu'il lui demandait si elle aimait. Il attendait vraiment une réponse ? Parce que clairement elle n'avait pas de réponses à lui donner. Au mieux elle lui dirait de se faire voir au pire...valait mieux pas penser au pire.

Puis tout s’enchaîna lorsque en l’absence de réponses l'homme perdu son sourire pour bondir à côté d'elle. Elle sentit ses doigts s'enfoncer avec force sur son visage faisant pivoter ce dernier pour l'obliger à le regarder. Le militaire lui rappela avec autorité qu'elle lui devait une réponse tendis qu'une nouvelle fois elle serra les poings cherchant ainsi à détourner ses propres humeurs. Il ne fallait pas qu'elle craque et qu'elle cède à cette envie de lui cracher au visage. Maintenant qu'elle avait de tout évidence loupé la règle une il ne fallait pas qu'elle envoie valser la seconde. Mais voilà le militaire avança son visage vers le sien et le cour d'un instant elle oublia le fait qu'elle était à sa merci. Instinctivement comme aurait pu le faire un animal farouche Maxine le repoussa avec la seule méthode qui avait fait ses preuves, la violence. En effet, d'un mouvement franc et violent elle encastra sa tête, plus basse, contre la sienne venant ainsi ouvrir la lèvre inférieur du militaire. Si sous le choc l'homme dut faire quelques pas en arrière Maxine sentie une décharge douloureuse envahir son crane. Elle allait sans doute en tirer une belle bosse...si elle avait de la chance ce serait le seul dégât à déplorer.

Malheureusement pour elle, le coup ne suffit pas à faire lâcher prise le militaire qui avait déjà sortie un couteau de sa poche. Bien vite et sans qu'elle ne puisse rien faire pour l'en empêcher l'homme cala la lame de son couteau le long de sa gorge. Il ne rigolait pas et déjà elle pouvait sentir le métal mordre sa peau. Comment avait-elle fait pour se mettre autant dans la merde sans même avoir ouvert la bouche. Non mais sérieusement, pour une fois qu'elle avait fait un effort pour rester normale et « pacifiste » elle se retrouvait avec un couteau sous la gorge. Le Karma...franchement elle ne voyait rien d'autre que ça.

Heureusement pour elle et sans doute grâce à un facteur chance non négligeable la porte de la petite salle s'ouvrit de nouveau laissant entrer un autre homme. Si elle ne le remarqua pas tout de suite sa voix forte et autoritaire quand à elle ne laissa pas de toute sur la présence du militaire dans la pièce. Il ordonna à Derek de mettre fin à ce qu'il s’apprêtait à faire et tendis que ce dernier l'écoutait tout en éloignant le couteau de sous la gorge de Maxine cette dernière ne put s'empêcher de fermer les yeux et de souffler. Elle venait d'avoir chaud, très chaud...trop chaud. Règle numéro trois ; ne jamais sous estimer le facteur chance...

Elle resta en retrait tendis que  Derek quittait la salle et que le deuxième homme prenait sa place derrière le bureau. Intérieurement elle espérait ne pas avoir le droit au même numéro. Parce que clairement en voyant la carrure de celui là c'était un combat perdu d'avance pour elle. Contre toute attente l'homme s'excusa pour l'autre tout en indiquant par ses gestes une certaine forme de contrariété. Elle lui aurait bien dit qu'il n'avait pas à s'en faire et qu'elle en avait vu d'autre mais Maxine se contenta juste du silence. Oui elle pouvait être très loquace quand elle le voulait. S'en suivit une présentation de Shane, donc, qui lui indiqua que malgré l'incident elle était la bienvenue et que Derek était légèrement en train de perdre les pédales. Pour ça elle voulait bien le croire, clairement il était en train de péter un câble. Il précisa aussi qu'il était sous sa responsabilité et que par conséquent elle ne devait pas le craindre. Franchement, elle doutait qu'un homme comme Derek puisse être contrôlable mais ça elle se contenta juste de le garder pour elle. Il parla ensuite du fait que ses hommes lui avait prit ses armes et l'avaient menotté pour garantir leur propre sécurité. Sur ça elle n'avait rien à dire, elle comprenait complètement la manœuvre et c'était pour cette raison qu'elle n'avait pas opposé de résistance quand ses hommes l'avaient menotté et privé de ses armes. Comme pour lui faire comprendre Maxine avait hoché la tête tout en lui adressant un léger sourire. Histoire de détendre l'atmosphère et de montrer que même si elle avait défoncé la lèvre de son ami elle était...docile...

-Maxine...

Ça répondait bien à la question de qui es-tu non ? Peut être pas tout à fait, peut être aurait-il était plus sage d'en dire un peu plus même pour dire vrai elle ne savait pas trop comment étoffer la réponse. Alors elle toussa légèrement avant de reprendre maladroitement.

-Je..veux dire je m'appelle Maxine...En vérité je sais pas trop ce que je suis censée dire...

Elle aurait bien passé une main dans ses cheveux pour accompagner cette fin de phrase maladroite mais toujours menotté elle se contenta de poser ses mains devant elle sur le bureau tout en haussant les épaules. Le tout accompagné d'un léger sourire pour montrer qu'elle était mignonne et faire un peu oublier le fait qu'elle venait mine de rien de mettre une tête à un homme malgré le fait qu'elle était en mauvaise posture...Oui montrer qu'elle était mignonne c'était parfait pour repartir sur de bonnes bases...






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