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 Oliver Hill
In Your Flesh :: Last pub before the end of the world :: Archives :: Fiches de Présentation

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MessageSujet: Oliver Hill   Oliver Hill EmptyVen 22 Jan 2016 - 20:52

Dernière édition par Oliver Hill le Dim 24 Jan 2016 - 3:50, édité 8 fois
“ Oliver Hill ”

Informations Générales

Prénom(s) : Oliver
Nom : Hill
Date de naissance : 14 février
Âge :26 ans
Métier / Études : Ingénieur mécanique et électrique
Statut social : C'est compliqué
Orientation sexuelle : Dépend des jours
Groupe : I'm a lonesome cowboy
Avatar : Jack Falahee


Il n’aime pas mourir, ni même souffrir, il ne déteste pas rencontrer des gens. Ce qui est pratique dans le monde tel qu’il est. Parce que des gens, c’est des ressources faciles au final. Il n’aime pas que la bouffe se sauve, mais il ne déteste pas l’effort physique. Juste que… vous avez déjà tenté de courir après un poulet? Bah là, même combat, c’est chiant à force. Il ne déteste pas vraiment s’aventurer loin des zones sécuritaires (ce qui est vite dit au final), mais qu’il aime bien l’aventure en général.  Il n’aime pas avoir mal, mais il ne déteste pas se bagarrer, tant qu’il gagne. Il n’aime pas s’ennuyer, mais il ne déteste pas passer un peu trop de temps à dormir. Quoi? Dormir est un luxe qu’il peut se permettre encore quand même. Il n’aime pas se mettre établir des limites. Quand il en met, il les transgresse à chaque fois. Du coup, il fait à sa tête, même son orientation sexuelle change selon ses envies du moment. On ne le dira jamais assez, mais au final pour lui, un trou, c’est un trou. Il aime les casse-têtes, les énigmes, les défis, mais il n’aime pas qu’on l’empêche de jouer. En fait, il déteste qu’on se mêle de ses affaires, tout simplement. Il aime généralement tout ce qui est défendu, tout ce qui est marrant, tout ce qui est dangereux et tout ce qu’on lui refuse. En fait, c’est simple, il adorera toujours te contredire, toujours. Sauf qu’au final, il est adorable… ou presque.
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Caractère et Personnalité

  Brièvement, lorsqu’on parle de lui, on parle d’un mec provoquant et entêté. Les discussions ne peuvent qu’être amusantes du coup! Surtout vu son caractère joueur, moqueur, mais assuré. Rien de mieux pour passer le temps. Il est bavard, rapidement amusé, mais surtout grande gueule. Il ne réfléchit pas toujours avant de parler, mais ça… ça vient avec son petit côté passionné, il a le sang chaud, ce qui est loin d’être désagréable lors de froide nuit d’hiver. Mauvaise blague à part, il est surtout bagarreur, indomptable et même s’il tente de garder le contrôle, il le perd souvent. Il faut souligner qu’il a tendance à accomplir la sale besogne de lui-même. Bref, il est déterminé. Non, il n’a pas peur de se salir les mains. Si c’est nécessaire, ce sera fait. Il ne fait pas vraiment dans le sentimentalisme ou la moralité. Non mais sérieusement, à quoi bon? Après tout, c’est la fin de l’air du s’il-vous-plait / merci. Maintenant, c’est tuer ou être tuer et heureusement pour lui, il est excellent à ce jeu.

“ Histoire ”

Oliver a toujours eu des difficultés avec les débuts, et ce, tout au courant de sa vie. Sa naissance ne fut pas l’exception. Prématuré, il eut une arrivée difficile, un incubateur froid, sans vie et ce pour tout le premier mois de la sienne. Comme si manquer d’air, coincé et détruire tout sur son passage n’était pas assez, il fallait en prime qu’il soit seul sous prétexte qu’il était tout petit et que ses poumons n’étaient pas super fonctionnel, ridicule. Certains disent que ce n’est rien, qu’on ne le remarquera pas plus tard, qu’en grandissant, on oublie, mais on n’oublie jamais tout à fait, jamais complètement. Oliver à toujours du prouver à la vie qu’il en valait la peine, qu’il était un battant et ça a forgé le caractère qu’il a aujourd’hui. Si au moins il n’y avait que ça pour lui nuire, pourquoi pas, mais… il y a pire. Non, vraiment pire. Sa mère, à la naissance, avait décidé de faire dans l’original, elle voulait nommer son fils Ilhem, parce qu’elle trouvait cela joli. (Moi je dis qu’en fait, elle voulait se venger pour les dommages irréversibles de l’accouchement, la douleur, les vergetures et les points de sutures, rancunière va). Son père a refusé. Merci mon Dieu d’offrir un peu d’intelligence à au moins un de ses parents! Il aurait vraiment du le remercier ce jour-là, mais… on va mettre ça sur le dos de l’âge et de l’émotion. Le problème,  c’est que sa mère le glissa en second prénom. Vous imaginez l’horreur? Oliver Ilhem Hill. Rien pour être aidé par la nature. En plus, c’était un nom de fille! Quand Oliver l’avait fait remarquer à sa mère des années plus tard, il avait droit à un « oups » et un rire de maman. Genre… non, on dit « désolé monsieur » rien de moins quand même. Bon… il avait douze ans, le monsieur était peut-être légèrement de trop… ou pas.

Ensuite, le gamin ne put que grandir, parce que jamais ça ne rapetisse ses trucs là, et il était devenu chiant. Non mais, ce n’était pas qu’Oliver hein, ce sont les gamins en généraux qui sont chiants, faut généraliser pour une fois. Puisque les gamins c’est chiant, les gamins ses méchants et que parfois, les profs sont cons, il a fallu que la vie révèle son second prénom. Genre, comme si débuter l’école n’était pas assez difficile, fallait en plus l’embêter avec son second prénom. Rien de mal en soit, une liste de présence, un professeur lunatique et hop, le lapin sort du chapeau ou le chat sort du sac? Je ne sais plus en fait, bref. Tous les regards c’étaient tournés vers lui, comme si on venait de révéler la blague du siècle. Personne n’osa rien dire, (parce que le silence en classe c’est important quand même un minimum, faut pas se faire prendre à dire des bêtises) mais à la récréation, un crétin vint tenter de lui faire un blague nul, genre « Oh, Ilhem pas qu’on l’embête », sauf qu’Oliver avait une grande gueule déjà, du coup il répliqua « Non mais, Ilhem te casser le nez ». Tout en… lui balançant son poing à la figure. Deux jours de suspension, non mais vous y croyez? Comme si son geste avait été réellement préméditer! Bon d’accord, peut-être un peu, mais si peu! Bref, il avait un peu le sang chaud et même gamin, ça ne se plaça pas vraiment, au grand malheur de ses parents qui ne savaient plus quoi faire de lui avant même qu’il ne termine le primaire.

En prime, l’adolescence fut pire, c’est là qu’on fait ses marques, qu’on réalise qu’on veut devenir quelqu’un et sérieusement, autre que de devenir un connard, il n’avait pas grand avenir en vue pour notre cher Oliver. Il n’était pas nul en cours, loin de là. Il arrivait à calculer la trajectoire d’une boule de papier pour qu’elle atterrisse directement dans la tasse de café de son professeur, un exemple parmi tant d’autres, mais l’idée même de remplir une copie d’examen l’ennuyait à mourir. Sauf qu’il avait envie de devenir quelqu’un, alors il le faisait. Il avait rapidement écourté son cursus scolaire pour faire un cours en mécanique. Il n’avait pas envie de s’ennuyer avec des cours inutiles. Sauf qu’être mécanicien c’était bien, mais pas pour toujours. Genre, le salaire ne plaisait pas à Oliver, il voulait plus, il voulait toujours plus. C’était surement une de ses plus grandes forces pour avancer dans la vie. Alors il fallait trouver autre chose, trouver mieux, se dépasser en sommes, mais pas toute suite. Pour le moment, faire la fête c’était bien! L’alcool c’était encore mieux et le sexe… c’était parfait.

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À être un connard, on en paie parfois le prix. C’est triste, mais c’est la vie. Ce jour-là, Oliver avait dit la chose qu’il ne fallait pas pour changer. Il était à table avec son père, il venait d’avoir 19 ans et il croyait encore que le monde lui devait tout. Bon d’accord, peut-être pas le monde, mais au minimum ses parents. Parce qu’ils l’avaient mis sur Terre, c’était au minimum pour le servir jusqu’à ce qu’il devienne mature et il n’était pas véritablement pressé que ça arrive. Il faisait en général ce qu’il voulait, mais quand il balança à son père qu’il avait décidé de s’inscrire à l’université une seconde fois et dans le même programme, son père n’apprécia pas.  Bon, il faut remettre tout en contexte. Ce n’était pas le fait que son fils veuille s’inscrire à l’université en ingénierie qui déplaisait au paternel, loin de là, le père était même très fier de son fils. Non, ce qu’il n’appréciait pas, c’était de le semestre d’avant, Oliver c’était inscrit, n’avait pas été à la moitié de ses cours, ni même examen et c’était finalement fait virer. Il fallait le comprendre, il n’avait pas la tête à ça! Il n’était pas certain de l’avoir plus en ce moment, mais il n’avait plus envie de bosser dans le garage ou il était. Quand on n’avait pas envie de bosser, on retournait à l’école, ce n’était pas ça la règle?

Bref, son père avait émis ses réticences et Oliver détestait ça. Comme s’il faisait exprès de demander de l’argent, comme s’il faisait exprès de ne pas aller en cours! Bon d’accord, peut-être un peu, mais si peu. Il manquait peut-être de volonté ou de motivation, il n’en savait rien, ce n’était pas ça l’important. L’important, c’était qu’on paie son inscription! Sauf que son papa refusait. Non sérieusement, il était revenu à la charge à quatre reprises et les quatre fois il eut la même réponse « Non ». Genre, il devait se débrouiller tout seul. Ses parents c’étaient toujours occupés de lui et maintenant, ils l’abandonnaient. Alors, Oliver eut l’idée du siècle, la provocation ultime! Il allait se faire tuer dans l’armée. Voilà, envoyé à l’autre bout du monde, il tuerait des gens et finirait par se faire tuer. C’était ce que ses parents voulaient non? Se débarrasser de lui?

Sauf qu’il s’enrôla, il s’inscrivit à l’université, ses cours allaient être payés et son père ne plia pas. Genre, il avait cru que sa mère en larme allait finir de convaincre son père de payer ses stupides cours et qu’on arrête d’en parler, mais non. Il prit donc son sac d’un vert douteux, son uniforme et il quitta la demeure familiale. Il avait sérieusement fait une belle connerie. Il avait tenté d’abandonné la première semaine, mais une nouvelle querelle avec son père l’obligea plus ou moins à rester, à faire ses preuves. Parce que oui, son père ne le croyait pas capable de réussir. Vous imaginez ça? Lui? Échouer? Jamais. Alors, il persévéra pour une fois dans sa chienne de vie. En plus, c’était assez marrant quand on oubliait le manque de sommeil et la coupe de cheveux atroce. Au moins, ses cours étaient payés. Après ça… il n’aurait qu’à rendre son tablier… euh… ses bottes de combat? Bref.

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Il rencontra un reel problème vers 22 ans. Presque rien d’énorme en soit, juste qu’il y avait un peu la guerre pour le pétrole dans un coin chiant du monde. Vous savez, les terroristes, tout ça, ouais… c’était chiant. Alors, il fut envoyé là-bas. Il manquait d’ingénieur et les étudiants étaient doués. Limite, fallait voir ça comme un stage, mais un stage ou vous pouviez un peu en mourir si vous ne faisiez pas gaffe. La preuve, deux mecs de son escadron c’étaient fait sauter sur une mine dès leur première semaine. Le point négatif, c’est qu’il avait fallu nettoyer et réparer la voiture. Le point positif : ils étaient doués, du coup… entrait dans le top trois des meilleurs de sa classe. Une autre mine pour les deux autres? Non? Trop demandé? D’accord.

Il passa deux années complètes là-bas. Certains disent que la guerre ça change un homme, qu’il serait différent. Que de devoir tuer des enfants armés, c’était la pire chose au monde et c’était surement vrai. Il était même très d’accord jusqu’à ce qu’il reçoive une balle dans son épaule gauche. En fait, ça, c’était la pire chose du monde, ça faisait un mal de chien et c’était son bras d’arme en plus. Alors, il fut rapatrié au pays parce qu’il ne servait plus à rien. Il n’avait pas signé comme chair à canon, heureusement. Il avait continué son cours au pays, récupérer tranquillement et finalement, une fois le diplôme en main… il alla voir ses parents. Il avait 24 ans, il était heureux et fier et il croyait que ses parents le seraient aussi. Sauf que même s’ils l’étaient, il lui en voulait un peu de ne pas avoir donné signe de vie depuis ses 20 ans. Genre sérieusement, ses parents n’étaient jamais contents. Il avait persévérer, il avait réussi et on lui reprochait son absence. Le ton avait monté, surtout le sien en fait avant qu’il ne leur balance finalement qu’il était désolé, mais qu’ils n’avaient pas le droit de se plaindre, c’étaient à eux de payer son stupide cours. Quoi? C’était vrai quand même. Comme s’il n’avait que ça à faire, donner des nouvelles. Pas parce qu’il c’était mangé une balle dans l’épaule et que des soldats étaient morts au combat qu’il devait donner des nouvelles. Genre… s’il avait été mort… quelqu’un les aurait bien appelés. Du moins, surement… Il était donc parti, retournant au seul endroit qui voulait de lui, l’armée. Son contrat allait terminer bientôt. Il n’aurait même pas le temps d’atteindre la moitié de ses 25 ans qu’il serait libre, mais la vie était une chienne… et ce, depuis toujours.

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Paniquer. Paniquer était la seule solution plausible à son problème. Il était armé, il était équiper et pourtant, il n’était pas dans une contrée lointaine. Il était chez lui, en Amérique. Il pointait son arme sur des gens de chez lui. Les temps avaient changé. Les premiers rôdeurs, marcheurs, zombies, appelez-les comme vous le voulez c’étaient relever. L’épidémie commençait tranquillement, comme une vague meurtrière et l’armée avaient refusé que les contrats se terminent. Tout le monde restait. Les rats ne quittaient pas le navire... Alors, il n’était pas parti, il était toujours là à fixer l’horreur dans les yeux, à pointer son arme sur une menace qu’il ne comprenait pas vraiment pour finalement lui décharger son chargeur dessus.

Paniquer certes, mais un peu moins. Il n’avait fallu que quelques semaines pour comprendre qu’il fallait viser la tête et tenter de rapatrier les survivants dans des zones sécuritaires. Oliver avait un job chiant, mais important. Il devait s’assurer que les zones pouvaient avoir de l’électricité en quantité suffisante. Les rationner en sommes. Ce n’était pas simple, c’était nouveau, mais il avait étudié dans ce domaine. En prime, pendant qu’il était là, entouré de panneau électrique, il ne risquait pas de se faire bouffer.

Finalement, la panique laissait place à une certaine assurance. Parce que ça avait beau être contagieux, un rôdeur c’était lent, c’était con et si tu savais tirer, ça allait. Il avait de la chance Oliver, il savait tirer, il savait tuer. Alors, lorsqu’il avait besoin de sortir, il le faisait. Il était armé et dangereux et si vous croyez que l’armée ne tuait que des rôdeurs et bien, vous aviez tort. L’armée tuait la menace et même l’Homme était une menace en soit. Seul les plus tranquilles et les plus captifs étaient à protéger, les autres étaient une menace. On ne pouvait pas sauver tout le monde.

Ensuite, tout bascula. Les communications se firent de plus en plus difficiles. Les post et les avant-ports sombrèrent et finalement, le silence radio. Le monde entier sombrait alors, Oliver fit la chose la plus censé à l’époque, il prit une voiture, abandonna sa patrouille à son sort et partie à l’aventure. Il en avait marre des ordres, il en avait marre de risquer sa vie pour d’autre. Il voulait vivre, tout simplement. Il avait gardé le plus important de son équipement militaire, mais il avait troqué le vert douteux pour un style qui lui ressemblait plus. T-shirt, jeans, veste en cuir. Il gardait tout de même le reste, au cas. Genre, il n’allait pas cracher sur un gilet pare-balles, un couteau militaire, un fusil d’assaut, un fusil de poing et une machette. Bon les armes à feu, c’était chiant à long terme, trouver des balles et tout, mais ce n’était pas une raison pour les abandonner. Genre, ils étaient mal-aimés, c’est tout. Fallait juste trouver des balles… parfois. Sinon, le lance-pierre, c’était mieux. Surtout que ça ne lançait pas que des pierres. Il avait fini par adopter ça après en avoir trouvé un plus sportif dans une boutique chasse et pêche. Le petit gibier, ça n’aimait pas les pierres il parait.

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Sauf que seul, ce n’est jamais simple. Sauf que le temps n’aide jamais et que finalement, il chercha à se poser. Il se débrouillait bien, mais à un moment les vivres commençaient vraiment à manquer, l’eau aussi. Les villes commençaient à être de plus en plus difficiles d’accès et la faim se faisait de plus en plus sentir malgré tout. Il avait manqué d’essence à un moment critique et avait finalement abandonné la voiture militaire qu’il avait emprunté. Qu’on se le dise, tout était plus chiant à pied. Les rôdeurs, le temps que la marche prenait, tout. Le seul point positif, c’était l’absence de bruits. À pied, il était impossible de faire autant de vacarme qu’une moto par exemple, parce que oui, il avait essayé (jusqu’à la vider d’essence et ne pas en retrouver d’autre). En fait, c’était ça le truc, trouver de l’essence, trouver une voiture fonctionnelle et l’utiliser jusqu’à ce qu’elle ne le soit plus. Parce que ouais, rouler sur des zombies ça ruinait une voiture.

Ça faisait déjà près de quatre mois que les premiers morts c’étaient mis à marcher et tout devenait déjà compliqué à gérer. Oliver c’était trouvé un endroit ou vivre. En fait, il c’était fait un nid dans une tour très haute et il y était resté un moment, jusqu’à ce qu’il s’ennuie alors, il quitta l’endroit pour partir à l’aventure! Et trouvé des ressources aussi, accessoirement. Genre bouffe, alcool, papier de toilette, tout ça. Sauf qu’il était étrangement tombé sur des vivants. Ouais, c’était étrange vu de son point de vu, parce que les gens avaient tangence à être mort ou à mourir rapidement, parce que bon, ce n’était pas vraiment le genre de la maison d’aider son prochain. Encore plus s’il pouvait partir avec le sac à la fin! Sauf que là, il avait rencontré un groupe de gens vivants et plus nombreux que lui. Il cassa la gueule à un mec qui avait tenté de le chercher et même s’il avait eu droit à son lot d’ecchymose, il avait gagné un genre de droit de rester parmi eux. Il n’en avait pas envie, mais ils étaient équipés, ils mangeaient bien. Tranquillement, il profitait de plus en plus de leur penchant pour la violence gratuite et c’était mal, il le savait, mais il s’en fichait. Jusqu’au jour où il fut mis au courant d’un truc chiant. Genre : « Surprise! Maintenant que tu nous aimes on peut te le dire, ce n’était pas du poulet! ». Ouais, non, ce n’était pas du poulet. Ça goûtait comme, mais s’en était pas. Non, ça faisait maintenant près d’un mois qu’il mangeait de l’humain avec ses malades Sérieusement… n’importe quoi! Sauf que le mal était déjà fait, il allait déjà finir en Enfer depuis longtemps… et de la bouffe, c’était de la bouffe. Alors, il n’en avait pas fait un plat. En fait oui, il avait fait plusieurs plats, il attrapait des gens et il avait même apprit à les cuirs, tout ça, mais un jour le groupe se sépara et il reparti de son côté. Il gardait en tête que la bouffe serait toujours présente tant qu’il y aurait de la vie un minimum, c’était parfait non? Il n’allait pas en faire un drame, n’allait pas culpabiliser et se sentir mal, jamais. Fallait s’en rendre compte maintenant, sinon on n’est pas sortie de l’auberge. Il n’avait plus vraiment accès à son nid, la ville avait changé et même s’il était bon tireur, les rôdeurs restaient chiants et dangereux alors il était parti en bordure de la ville et il c’était trouvé un chalet avec électricité et eau de puit. Il ne pouvait pas jurer du temps que tout ça fonctionnerait, mais il trouverait bien une façon de corriger l’endroit. Au pire… il se construirait une cabane dans un arbre, un jour, peut-être.

Il n’était pas fou…il l’était même très sain. Juste qu’il fallait être aveugle pour ne pas voir que le monde avait changé et que les règles du jeu avait changé en même temps. Le monde avait changé et il avait choisi d’évoluer à son tour. Pourquoi se borner à une moralité qui ne s’appliquait plus désormais. La vie, c’était simple : Manger ou être manger. Dans ce cas précis, Oliver avait décidé de manger, sans moralité, ni retenu. Il allait survivre, quoiqu’il advienne.

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MessageSujet: Re: Oliver Hill   Oliver Hill EmptyVen 22 Jan 2016 - 21:35
Bienvenue parmi nous super beau mec!

Amuse toi bien avec ta fiche et si tu as des questions tu sais ou nous trouver Smile
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MessageSujet: Re: Oliver Hill   Oliver Hill EmptyVen 22 Jan 2016 - 21:58
Ooooh Oli, t'as posté ta fiche sans tout casser, je suis fière de toi Coeur
Bienvenue !!!
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MessageSujet: Re: Oliver Hill   Oliver Hill EmptySam 23 Jan 2016 - 7:46
Oui tu vois! J'ai réussi à finir sans rien cassé ! Presque! mais ça va, quand je l'ai cassé j'ai remit de la colle et t'as rien vu D:
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MessageSujet: Re: Oliver Hill   Oliver Hill EmptySam 23 Jan 2016 - 8:04
C'est bien, très très bien ! Du coup, j'accepte que tu restes parmi nous et je te donne encore plus de mal en t'envoyant faire ton journal de bord :diable:
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MessageSujet: Re: Oliver Hill   Oliver Hill EmptySam 23 Jan 2016 - 21:00
Bienvenue Oliver ! Hey
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MessageSujet: Re: Oliver Hill   Oliver Hill Empty

 Oliver Hill
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