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Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 At night, I could hear the blood in my veins | Max
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MessageSujet: At night, I could hear the blood in my veins | Max   At night, I could hear the blood in my veins | Max EmptyDim 29 Mai 2016 - 10:37


15 avril 2015

Au départ, Juliet était là que pour une seule nuit. Nous sommes aujourd'hui le quinze avril. Elle squatte donc le Coast Guard depuis presque deux semaines déjà. Oliver ne l'a pas mise dehors et elle essaie le plus possible de ne pas énerver Maxine. Alors, elle se tient éloignée le plus possible de la jeune femme, enceinte jusqu'aux yeux en plus. Pas qu'elle en ait peur, non. Juste qu'elle n'a pas envie que la future maman ne se mette en colère ou ne commence à crier. De un, dans son état ce n'est génial, surtout en ce moment. Et puis, elle se balade partout avec une arbalète. Les flèches partent vite de ce genre de machin et elle n'a pas envie d'être prise pour cible. Donc, elle essaie de se rendre utile, du mieux qu'elle le peut. Elle exécute les tâches qui lui sont confiées sans rechigner, elle essaye de ramener autant de vivres et de choses utiles qu'elle le peut. Ils lui ont quand même ouvert gentiment les portes de leur maison, à elle de s'adapter à leur mode de vie.

Ici, il n'y a personne pour veiller sur elle. Juliet doit se débrouiller seule et Oli tente de lui enseigner l'art de la survie chaque jour que Dieu fait. Dans un sens, c'est plutôt sympa de sa part. Il n'a pas envie qu'elle ne se fasse bouffer. Ou plutôt, il n'a pas envie qu'elle attire des rôdeurs au Coast Guard et qu'elle les fasse tous tuer. Parce que ça, elle en est capable. Donc, son apprentissage de la survie passe par le fait d’apprivoiser un lance pierre. Un putain de lance pierre. Il n'y a que Oli qui est capable de faire des dégâts avec ce truc. Alors, elle est d'accord : c'est silencieux, ça tient dans une poche et n'importe quoi peut servir de projectile. Sauf que pour elle, un lance pierre ça reste un jouet de gosse fait pour balancer des boulettes en papier détrempées de colle sur le tableau des profs pour faire interrompre le cours. Pourtant, ce matin elle est bien décidée à s'entraîner. Mission numéro un : trouver des munitions.

Juliet sort donc de l'enceinte du Coast Guard pour s'aventurer du côté des carcasses de bateaux. Les bateaux sont pleins de boulons, c'est génial comme projectile. C'est petit, suffisamment lourd pour transpercer le crâne des rôdeurs. La jeune femme se hisse dans l'une des épaves et commencent consciencieusement à défaire un à un les boulons qui ne sont pas trop rouillés. Ceux qu'elle peut avoir sans trop s'écorcher les doigts. Elle les met dans la poche de sa veste, elle se surprend à chantonner. Cela ne lui est pas arrivé depuis des millions d'années. Elle est si concentrée sur sa tâche qu'elle n'a pas remarqué le zombie qui s'approche, probablement un ancien marin pris au piège. Quand elle sent sa présence, il est déjà beaucoup trop proche. Alors elle fait un roulé boulé sur le côté, les boulons s'échappent de sa poche dans un bruit fracassant.

« Merde ! »

Voila qui va en attirer d'autres, bien joué la gourdasse. Juliet plonge sa main dans sa poche, il lui reste deux rescapés. Elle place le premier dans l’élastique, elle tire puis lâche. Il va s'échouer contre le métal de la coque, comme si elle n'avait pas fait suffisamment de bruit. Elle recommence, essayant de ne pas céder à la panique en voyant le rôdeur s'avancer, toujours plus menaçant. Elle retire sur l'élastique, lâche et en plein dans le mile. Le boulon a traversé l’œil du Z, déchiquetant le reste de son cerveau. Juliet pousse un soupir de soulagement, ramasse les quelques boulons qui peuvent encore l'être. Puis entreprends de sortir du bateau. Elle passe la tête et remarque une petite tripotée de zombies, amassés devant l'échelle qui mène à elle. A vue de nez, ils sont bien cinq, pour le moment. Elle sort ses munitions, elle en a trois. Quoi qu'il en soit, déjà trop peu pour se débarrasser des rôdeurs qui essaient de venir la bouffer.

Elle se retourne, cherchant une autre issue ou bien des choses à faire tomber sur le crâne de ses assaillants. Elle n'ose pas retourner dans les entrailles du bateau, dieu sait ce qu'il doit se trouver la dedans. Là, elle est vraiment dans la panade et personne ne viendra lui prêter main forte cette fois. Elle va devoir se tirer de ce mauvais pas toute seule comme une grande.
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MessageSujet: Re: At night, I could hear the blood in my veins | Max   At night, I could hear the blood in my veins | Max EmptyMar 31 Mai 2016 - 18:20
Ça faisait maintenant une semaine que Maxine était revenue de sa petite escapade. Une semaine qu'elle n'avait pas quitter le CG parce que Oliver lui avait expressément dit qu'elle était interdite de sortie mais aussi et surtout parce que la mauvaise entorse qu'elle s'était faite ne semblait pas vouloir guérir. En somme on pouvait assez facilement avancer qu'elle commençait doucement mais sûrement à tourner en rond elle, qui n'était pas du genre à se tourner les pouces en attendant que le temps passe. Serte elle aurait sans doute pu trouver à s'occuper faire du ménage ou réparer des petits trucs par ci par là mais il fallait avouer qu'elle n'était franchement ni une bonne femme de maison ni très doué de ses mains. Non ses domaines de compétence étaient tout autre, chasser, traquer, tuer, créer des choses, les penser c'était dans ça qu'elle était douée. Le reste elle le laissait aux autres. Mais avec son corps qui ne semblait plus lui appartenir, l'enfant qu'elle portait qui vidait son énergie en plus de la faire ressembler à une baleine et la douleur de sa cheville et du reste de son corps elle avait due se faire une raison.
De plus elle n'était pas franchement d'humeur à se prendre une nouvelle fois la tête avec le morveux. Sérieusement, ils avaient passé presque 2 heures entière à se prendre la tête quand elle était revenue amochée de sa sortie ravitaillement. Soit disant qu'elle était maintenant trop fragile pour sortir, qu'elle était enceinte et que par conséquent elle devait faire attention, genre des fois elle se demandait si il n'allait tout bonnement finir par l'attacher quelque part pour l’empêcher de bouger. Il en était clairement capable et c'était ça le pire. Alors elle restait sage, du mieux qu'elle le pouvait même si elle n'était pas franchement facile à vivre. Elle lisait des livres, beaucoup, énormément, tellement qu'elle envoyait même Oliver lui en cherchait quand il sortait. Il pouvait bien faire ça pour elle après tout non ?

Bref elle était justement en train de lire dans les quartiers de l'ancien chef des lieux quand la douleur d'une trop longue pose se fit sentir. Elle posa alors son livre sur le bureau de ce dernier avant de s'avancer vers la fenêtre pour voir un peu en dehors. Ce qu'il y avait de bien avec cette pièces c'est que la hauteur lui permettait de voir assez loin. C'était assez plaisant d'avoir une vue sur un petit bout de la ville, même si cette dernière respirait la mort. Dire qu'elle avait voulu être architecte pour construire une ville nouvelle, pour se faire un nom dans ce monde et obtenir l’immortalité que seuls les grands de ce monde pouvaient acquérir. Mais aujourd'hui il n'était pas question d'immortalité, juste de la survie. Elle était bien loin de ce sublime appartement en plein cœur de New York avec une vue imprenable sur la ville qu'elle avait rêvé s'offrir. De ces galas, de ses vernissages où les gens faisaient étalages de leurs argents et de leurs biens en buvant du bon vin et de minuscule amuses bouches hors de prix tout en s'imaginant être les rois du monde. Ce luxe lui manquait, cette vie d’insouciance lui manquait, la femme qu'elle était et qu'elle aurait été aussi. Pourquoi le monde n'avait-il pas pu attendre qu'elle soit vieille et presque morte pour changer du tout au tout ? Pourquoi n'avait-elle pas pu avoir cette vie avec ce mari qu'elle aurait épousé juste par pur vénalité en sachant pertinemment qu'elle n'aurait jamais pu l'aimer ? Son père l'aurait sans doute détesté et elle aurait adoré ça. Dans cette vie il y aurait sans doute eux Oliver, bien entendu qu'il en aurait fait parti parce qu'elle ne se souvenait pas de ce qu'était la vie sans lui et qu'elle ne pouvait imaginer un futur sans qu'il n'y soit. Il aurait été là juste pour l'emmerder et lui rappeler à quel point elle pouvait être vivante quand elle était avec lui, à quel point elle pouvait être accro à lui. Il aurait sans doute fait foirer son mariage et les suivants parce que c'était ce qu'il faisait de mieux et aussi et surtout parce qu'elle l'aurait laissé faire. Sans doute qu'elle aurait fait de même avec lui parce que c'est ainsi que les choses avaient toujours fonctionnait. Oui sa vie rêvé n'aurait pas été tranquille, mais elle aurait été palpitante pleines de jeux et sans concession. En soit une vie parfaite pour la femme parfaite qu'elle n'était pas.

Cette pensée la vie sourire avant que son regard ne finisse par être absorbé par un attroupement de zombies non loin du CG au pied d'un bateau. Elle resta un moment à observer cette scène se demandant ce qui pouvait bien les attirer là avant de voir niché en haut d'une échelle la femme qui depuis quelques jours vivait avec eux. Instinctivement elle ne put s’empêcher d'avoir ce petit air déconcerté comme si elle n'était pas vraiment étonné de voir Juliet autant dans la merde. 

-Oliver...apprendras tu un jour à ranger correctement tes jouets quand tu ne t'en sers plus ?

Parce que c'était de sa faute, clairement, Juliet était sous sa responsabilité et pas la sienne. C'est pour cette raison qu'elle resta quelques minutes à l'observer tout en se demandant si elle devait oui ou non aller lui porter secours. Non ce n'était clairement pas naturel pour elle d'aller aider quelqu'un, elle n'avait pas le gène du secouriste et puis il fallait prendre en compte le fait qu'elle risquait quand même beaucoup de sortir tête baissé voir des rôdeurs avec une cheville moyennement valide et un alien rendu à 6 mois d’existence. Pourquoi avait-elle prit la peine de regarder par cette fenêtre ? Maintenant elle ne pouvait clairement pas faire semblant de n'avoir rien vu...quoi qu'elle aurait pu mentir.

Tout en revenant sur ses pas la jeune femme attrapa d'une main l'arbalète qu'elle avait laissé près du  bureau se décidant tant bien que mal à aller porter main forte à Juliet. Toute fois elle ne sembla pas vouloir se presser, sortant de la pièce armé de son arbalète. S'en suivit une rangé de marches puis une autre qui raviva la douleur de sa cheville. Il lui fallut quand même 5 bonnes minutes pour sortir du bâtiment et 5 autres pour arriver près du bateau. Ce petit bout de chemin fut quand même difficile à parcourir et elle n'était pas vraiment à l'aise avec l'idée de laisser le CG sans surveillance mais quand il fallait, il fallait.

Elle se positionna sagement à quelques mètres de la petit scénette avant de grimper sur un conteneurs. Là encore l'affaire fut difficile, elle avait du mal à avoir une bonne prise avec son ventre rebondit et sa cheville qui supporter difficilement son poids. Mais elle réussit à se hisser tant bien que mal avant de se mettre debout et d'armer son arbalète.

Une première flèche fut envoyer sifflant avant d'atteindre un des rôdeurs qui s’amassait en bas de l'échelle où se trouvait Juliet. De la où elle était elle avait même pu entendre le bruit caractéristique qu'avait fait la flèche en explosant la boite crânienne  de ce qui avait été avant une femme. Maxine arma une seconde flèche avec de se rétracter à l'idée de tirer sur un autre zombie. Maintenant que Juliet savait qu'elle était là elle allait s'amuser un peu avec la jeune femme, histoire de voir si Oliver était un si bon professeur que ça.

-Tu pense pouvoir te charger du reste ? Du moins assez rapidement pour qu'on puisse rentrer avant qu'Oliver nous prive de dessert pour le reste de la semaine ?

Elle avait dit ça d'une voix assez forte pour que Juliet l'entende quitte à ramener les autres rôdeurs près d'elle. Fallait parfois savoir prendre des risques pour s'amuser un peu non ?
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MessageSujet: Re: At night, I could hear the blood in my veins | Max   At night, I could hear the blood in my veins | Max EmptyMar 7 Juin 2016 - 10:16
Perchée sur sa carcasse de bateau, Juliet a l'air drôlement maligne. Ce n'était pas une bonne idée. Mais Oliver a assuré aux autres survivants qu'elle ne serait pas un problème alors elle s'entraîne tout les jours pour lui donner raison. Bon aujourd'hui, ce n'est pas franchement concluant. Elle est coincée sur le pont d'un ancien navire de guerre avec des zombies qui attendent sagement qu'elle redescende. Sans compter ceux qui doivent errer dans les entrailles de cet amas de taule rouillée. L'avantage qu'elle a sur les rôdeurs, c'est qu'elle est doté d'une intelligence propre aux vivants. Enfin, même si en ce moment elle multiplie les décisions de merde. Elle se risque à se pencher un peu, regardant les zombies qui affluent, toujours plus nombreux. Ok, là elle est vraiment dans la mouise. Mais alors, vraiment. Hurler ne servirait à rien sinon en attirer davantage. Et puis, elle n'a pas envie qu'on vienne l'aider. Elle veut pouvoir se tirer de ce mauvais pas toute seule. Il est largement temps qu'elle arrive à se débrouiller par elle même.

A sa grande surprise, une flèche fuse et atteint sa cible. Dans les environs, Juliet connaît une seule personne capable d'une telle chose. Maxine. La femme enceinte, amie chère à Oliver. Elle entends le son de sa voix avant de la voir, juchée sur une gros conteneur. Elle ferme les yeux et pousse un soupir. Elle est soulagée, même en cloque Max est une bien meilleure combattante qu'elle. Elle est effrayée aussi, si Oli l'apprends il ne va pas se contenter de la priver de dessert. Non, il risque aussi de la bouffer toute crue ou de la foutre à la porte. Juliet prends une seconde à réfléchir à la solution la moins pire. Finir en ragoût serait vraiment chouette. Mais elle reprends ses esprits, ce n'est pas le moment de tergiverser. Surtout que certains rôdeurs changent de cap pour s'intéresser à Max.

« Est-ce que j'ai vraiment le choix ? »

Elle ignore si Max l'a entendue mais sa question n'appelle aucune réponse. Elle n'a pas le choix, elle doit se débarrasser des rôdeurs pour ensuite aller aider Max à descendre du conteneur et rentrer saines et sauves au Coast Guard. Alors, elle s'éloigne du rebord du bateau et retourne tout ce qui lui tombe sous la main. Elle trouve une bouée de sauvetage et une planche qui devait autrefois être un banc pour les marins. Ça fera l'affaire. Juliet commence par lâcher la bouée sur ses assaillants, en espérant que celle ci en emprisonne au moins un. La bouée retombe mollement et s'accroche au cou d'un rôdeur qui, dans une autre vie, fut un adolescent. Loupé. Elle imagine déjà le rire de Max alors elle évite de regarder dans sa direction. Puis elle lâche la planche de bois. Celle ci est plus lourde que la bouée et s'écrase sur le crâne de deux des rôdeurs restants. Bon, il n'en reste plus qu'un, ça devrait le faire.

Juliet se décide donc à descendre de son perchoir. A mi chemin, d'une main elle se maintient à l'échelle, de la seconde elle empoigne son fidèle piolet. D'un geste circulaire, elle tente d'atteindre le zombie restant tout en se tenant hors de sa portée. Ce n'est pas franchement concluant alors tant pis, elle va descendre. Elle lâche l'échelle et retombe péniblement sur le plancher des vaches. Le zombie s'approche et elle lui balance un bon coup de piolet en plein dans la tempe. Puis, elle enjambe les corps, récupérant les flèches de Max par la même occasion.

Juliet se précipite vers la future maman, bien décidée à l'aider maintenant qu'elle s'est mise dans la merde pour elle. Elle ramasse un caillou suffisamment gros, arme le lance pierre, vise le crâne d'un zombie et... Raté. Le caillou cogne contre les parois métalliques du conteneur dans un bruit horrible. Les rôdeurs se retournent presque tous en même temps et elle se retrouve bien comme une conne, face à cette horde. Elle fait un pas en arrière, ses doigts serrant le manche du lance pierre. Elles sont deux, ils commencent à être beaucoup.

« Pour qu'il nous prive de dessert, on va devoir commencer par rentrer en un seul morceau. »

Et puis, depuis quand ils ont du dessert ?
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MessageSujet: Re: At night, I could hear the blood in my veins | Max   At night, I could hear the blood in my veins | Max EmptyLun 4 Juil 2016 - 20:48
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At night, I could hear the blood in my veins

« Certaines règles sont faites pour être transgressées.»


feat Juliet



Maxine était debout surplombant le port grâce au conteneur sur lequel elle était perchée depuis un moment.  Cet endroit stratégique lui permettait de voir distinctement Juliet se débrouiller avec les zombies qui étaient encore agglutinés en bas de l'échelle.  Quand à ceux qui arrivaient vers Maxine, elle n'en fit pas trop état, elle était bien trop en hauteur pour que cela devienne dangereux. Au pire elle resterait coincé...au mieux, chacun finirait avec une bonne vieille flèche dans la tête.

Alors elle portait toute son attention sur la jeune femme et sur ses techniques de survis. En fait, elle devait se l'avouer, la scène était plutôt distrayante surtout quand Juliet trouva l'arme ultime contre les zombies, une bouée de sauvetage. Fallait avouer que celle là elle ne l'avait pas vu venir. Juliet lâcha cette dernière qui alla se poser mollement sur le cou d'un zombie. Non mais sérieusement elle s'attendait vraiment à tuer ou emprisonner un zombie comme ça ? Genre en Looney Tunes. Sans vraiment s'en rendre compte Maxine leva les yeux au ciel légèrement dépité. Comment avait-elle fait pour survivre jusqu'à maintenant ?

Néanmoins Juliet retenta l'expérience mais cette fois ci avec quelque chose de plus lourd. L'action occasionna plus de dégâts, beaucoup plus, en effet elle réussit à mettre au tapis deux zombies. Cette fois-ci Maxine pencha la tête sur le côté. Pour le coup il fallait avouer que c'était plutôt bien jouer. Une fois fait Juliet entreprit de descendre de son échelle tout en essayant de mettre à terre le dernier zombie autour d'elle. Intérieurement Maxine lança les paris comme si tout ça n'était qu'un jeu, ne se souciant qu'à moitié de ce qui pourrait arriver à la jeune femme. Serte elle était venue pour l'aider mais il ne fallait pas trop lui en demander non plus elle n'était pas vraiment douée dans l'art d'aider les autres. Autrement dit, elle avait un peu de mal à canaliser son attention sur le mode « Aide » plus de  5 minutes à la fois. Heureusement Juliet réussit à se débarrasser du zombie avant de courir dans la direction de la sociopathe. Une fois ensembles elles pourraient envisager de faire le long et périlleux chemin du retour.

Mais Maxine n'eut pas vraiment le temps de mettre en marche la deuxième phase du plan que Juliet pourtant pleine de bonne volonté fit foirer la fin du premier. En effet cette dernière lança un caillou vers un zombie qui rata sa cible pour cogner contre la parois du conteneur. Le bruit fut assez fort et raisonna assez longtemps pour attirer vers eux une horde de 8 zombies. Instinctivement Maxine ferma les yeux sentant ce petit vent si particulier qu'avait les emmerdes.

-Dépêche toi de grimper !

Joignant la geste à la parole Maxine pointa son arbalète vers le zombie que Juliet avait raté avant de lui décocher une flèche en pleine tête. La cible était proche, pour le coup elle n'avait pas beaucoup de mérite. Elle arma une nouvelle fois son arme avant d'empaler le deuxième non mort qui séparait encore les deux jeune femmes. Une fois fait,elle lâcha son arbalète avant de se mettre à genoux au bord du conteneur et de tendre la main vers Juliet pour l'aider à monter. Avec son ventre imposant l'affaire ne fut pas facile et elle dut forcer sur la main restait sur le conteneur pour faire levier et éviter qu'elle n'écrase trop l'enfant.  

-Tu monte et tu ne touche plus à rien !

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MessageSujet: Re: At night, I could hear the blood in my veins | Max   At night, I could hear the blood in my veins | Max Empty

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