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 Julia Moore — Don't trust the bitch
In Your Flesh :: Last pub before the end of the world :: Archives :: Fiches de Présentation

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MessageSujet: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 14:35

Dernière édition par Julia Moore le Mar 8 Nov 2016 - 16:33, édité 5 fois
“ Julia Moore ”

Informations Générales

Prénom(s) : Julia
Nom : Moore  
Date de naissance : 20 Juin 1986
Âge : 29 ans
Métier / Études : Violoniste
Statut marital : Veuve
Orientation sexuelle : Aromantique
Groupe : I'm a lonesome Cow-Boy
Avatar : Torrey DeVitto

Tu rêvais de devenir violoniste soliste, dommage que le monde se soit écroulé avant que tu n'en aies la chance... • Tu n'as jamais ressenti le besoin d'entretenir des relations amoureuses, ce qui laisse toujours un peu perplexe • Tu as passé ta vie a essayé de cacher ton accent texan, un peu honteuse de tes origines, peut-être ?
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Inventaire


Arme : Une machette
Objets utiles : Une tente, un briquet
Objets rares : Une couverture, une plaquette de pilules contraceptives, quelques vêtements
Véhicule : Aucun
Possessions personnelles : Une alliance, un bracelet en argent avec une breloque en forme de violon, un exemplaire de "Breakfast at Tiffany's" de Truman Capote, les cordes d'un violon.

Pour plus de précisions sur la manière de remplir votre inventaire, rendez-vous [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

Caractère et Personnalité

Quand il s'agit de savoir qui tu es, beaucoup ont un avis sur la question. Mais combien ont juste, là, c'est une autre histoire. À une époque, on te prenait pour une petite fille capricieuse et égoïste et il faut dire que tu jouais plutôt bien ce rôle.  Tu ne sais pas trop comment ni pourquoi, mais il t'a toujours manqué quelque chose. Déjà enfant, tu étais froide et fermée, tu ne parlais pas ou peu, tu ne ressentais quasiment aucune sympathie pour tes pairs. Tu t'étais forgée un mur solide pour te maintenir à distance de toute autre personne et le fait que tu venais d'une famille riche, que tu sois fille unique et que tes parents trouvaient malin de compenser leur absence dans ta vie par l'exaucement du moindre de tes désirs t'ont rendu particulièrement désagréable. Tu étais douée pour donner des ordres, exiger et manipuler, entourée de ta clique de suiveuses que tu appelais ironiquement tes amies. Mais tu n'étais qu'une enfant, à cette époque, alors c'était facile de te pardonner et d'accuser ton éducation de tes travers. Et même à l'adolescence, quand tu t'offrais sans mal aux garçons qui le souhaitaient, moyennant quelques avantages, quand tu régnais sur le lycée comme une souveraine tyrannique, les excuses étaient toutes trouvées. Tu étais cette fille narcissique, égocentrique, la petite peste du coin, mais ça n'était pas ta faute.

Mais ce qu'ils ne savaient pas, ce qu'ils ne voyaient pas, c'était le vide constant dans ton cœur. Cette indifférence froide au monde qui t'entoure, aux gens. Tu n'as jamais vraiment compris, ça ne te faisait pas tellement souffrir non plus, mais la vérité est bien là : tu ne ressentais rien. Rien que la colère, l'indifférence et le plaisir malsain à tromper les autres, à voir leur douleur, leur naïveté, la confiance qu'ils t'offraient. Tu n'étais pas du genre à arracher les ailes d'une mouche encore en vie, mais si tu pouvais faire en sorte que tes amis se blessent ou soient punis, que les ennuis déferlent, tu ne manquais jamais une occasion. Pour t'occuper, tout simplement. Parce qu'il fallait bien le remplir, ce vide.

Et puis les années ont passé et après de terribles décisions prises dans le seul but de faire souffrir les autres et de t'apporter un peu de satisfaction, d'attirer l'attention, tu as fini par trouver ta voie. Par devenir une ombre de plus dans une ville surpeuplée et à t'avancer doucement vers tes rêves de grandeur, d'assouvir ton besoin d'attention et de reconnaissance. Tu es devenue meilleure pour feindre les émotions, les sourires sincères, trouver les bons mots, attirer tes victimes. Tu étais la reine de la dissimulation et du mensonge, une jeune femme charmante et douce en apparence, mais toujours tellement hautaine et froide dans les faits. L'avantage, dans tout ça, c'est que dans ce monde, tu as plus que ta place. Un loup au milieu des loups. Tu n'hésites pas, jamais, tu sais ce qu'il faut faire pour survivre et tu le fais sans sourciller. C'est ce qui t'a gardé en vie jusque là et c'est très bien. Tu es peut-être un peu la survivante idéale, même si dans le fond, tu es seule et dangereuse et que malheureusement, il y a encore des gens assez avisés pour le voir et te fuir avant qu'il ne soit trop tard. Mais voyons le bon côté des choses, ces belles petites choses qui arpentent maintenant les rues, elles ont au moins l'avantage de t'aider à assouvir tes pulsions malsaines sans vraiment blesser les autres. Du moins, pas à chaque fois.

Histoire


La nuit est tombée depuis longtemps, mais tu tournes encore en rond dans ton sac de couchage, essayant d'ignorer tant bien que mal les grognements tout autour de toi. Cette vie commence à devenir pesante pour tout le monde, y compris pour toi. Un an que cette fichue épidémie s'est répandue sur tout le pays, un an que tu passes tes nuits à chercher le sommeil plus qu'à le trouver, craignant sans arrêt que l'une de ces choses ne vienne te prendre par surprise et que tu ne puisses pas voir le soleil se lever un jour de plus.

Mais ce soir, tu entends encore le crépitement du feu que vous avez allumé un peu plus tôt, pour faire réchauffer quelques boites de conserves trouvées par-ci par-là. Et si ce son ne suffit pas à te rassurer, il t'apporte au moins un peu d'espoir. Celui que l'un de tes compagnons soit encore debout, prêt à te tenir compagnie et à t'occuper un peu pour traverser cette nuit sans te plonger dans tes idées noires. Alors, tu finis par te lever et par passer la tête hors de la tente, avisant ce garçon que tu ne connais pas très bien. Un type comme un autre, un survivant qui s'est joint à vous depuis quelques semaines. Vous n'avez jamais vraiment pris le temps de discuter, mais ça ne t'empêche pas de sortir tout à fait et de te laisser tomber près de lui sur le sol, observant les flammes un moment dans le silence.

Tu pourrais essayer de t'intéresser à lui, à n'importe qui en fait, il doit bien y avoir quelques personnes qui valent encore le détour, mais ça ne sert à rien, tu le sais très bien. Qu'est-ce que ça peut faire, maintenant ? Un jour ou l'autre, ce pauvre mec se fera dévorer ou assassiner... A moins que ce ne soit toi, qui sait ? Alors quoi ? Tu vas perdre du temps à apprendre à le connaître, à l'apprécier, peut-être à t'attacher vraiment, pour finalement être obligée de lui tirer une balle dans la tête pour abréger ses souffrances ? Non merci. Tout ça, c'est pas pour toi. Tu préfères largement l'étiquette de petite bourge frigide qu'on t'a collée. Au moins comme ça, tu ne souffres pas.

Et puis, soyons honnête, tu n'as jamais été quelqu'un de très amical de toute façon. Tu avais des amis, bien sûr, qui n'en a pas ? Mais tu n'as jamais ressenti ce petit plus, cette petite étincelle qui donne un peu de sel à la vie. Le grand amour, les papillons dans le ventre, pour toi, ça n'a jamais été autre chose que des mots, des concepts abstraits que tu pouvais lire dans les bouquins ou voir dans les films, mais qui ne t'ont jamais touché personnellement. Est-ce qu'il y a quelque chose qui cloche chez toi ? Sûrement. Quand on te prend trop la tête et qu'on cherche à savoir d'où ça vient, tu accuses toujours tes parents. C'est de leur faute, c'est sûr. Entre un père occupé à faire tourner une usine de montage General Motors et une mère passionnée par les soirées mondaines, autant dire que tu n'as jamais vraiment eu l'attention que tu estimais mériter. Pourtant, tu ne manquais de rien, pas comme maintenant. Mais les cadeaux, l'argent, tout ça n'avait pas tellement d'intérêt pour toi, tout ce que tu voulais, c'était que quelqu'un s'intéresse à toi, que quelqu'un te parle, te prenne dans ses bras. Alors à défaut d'une famille aimante, tu t'es entourée d'une cour à l'école. Des filles qui rêvaient de te ressembler, des garçons qui rêvaient de te faire chavirer. Sans succès... Tu apparaissais déjà froide, trop bien pour eux.

Par réflexe, tu cherches l'alliance qui est restée si longtemps à ton doigt, mais que tu as fini par retirer quelques semaines plus tôt. Parce que quand on la remarquait enfin, inéluctablement, les questions commençaient à fuser et quand tu acceptais enfin de répondre, on te prenait en pitié. Il n'y a pas de quoi, pourtant. C'est vrai, tu as été mariée, mais c'était dans une autre vie, dans un autre monde. Un homme bien, sans doute, ce cher Joe. Il travaillait pour ton père. Un petit ouvrier de rien, de quinze ans ton aîné. Pas le grand amour, une fois encore, tu n'es même pas certaine de l'avoir déjà aimé. Ce qui te plaisait chez lui, c'était seulement qu'il t'aimait et que ton père détestait ça. Combien de fois t'a-t-il menacé de t'envoyer en pension si tu continuais d'entretenir cette relation ? Combien de fois t'a-t-il menacé d'aller porter plainte ? Au moins, il faisait enfin attention à toi et il n'était pas le seul. Deux hommes pour la première fois de ta vie, c'était tellement bien. Et quand les menaces de ton père se sont finalement transformés en actes, tu as fait la chose la plus stupide de toute ta vie : tu as pris la fuite, tu t'es sauvé avec Joe et sans que tu ne le réalises vraiment, vous vous êtes retrouvés mariés alors que tu n'avais même ps dix-huit ans. Et puis très vite, tu t'es rendue compte que tu ne voulais pas plus de cette vie que tu ne voulais de l'ancienne et une fois encore, tu as disparu, sans prendre la peine de prévenir ton cher mari, sans prendre la peine de retirer ton alliance. Le divorce n'a jamais été prononcé, il a bien essayé de te retrouver, il a réussi parfois, mais tu savais y faire avec lui, tu savais comment endormir sa méfiance le temps d'une nuit ou de plusieurs, pour filer à l'anglaise un beau matin et recommencer plus tard, quand il retrouvait encore ta trace.

Et même lui, il a fini par laisser tomber. Tu ne sais pas vraiment ce qu'il est devenu ensuite, quand tu as finalement posé tes valises à New-York et que tu ne l'as plus jamais revu. Jusqu'à ce matin de Mai, si peu de temps avant que le monde ne s'effondre, quand ton téléphone a sonné et qu'à l'autre du bout du fil, un médecin bienveillant t'a annoncée avec toute la compassion du monde que ton mari venait de succomber à une crise cardiaque, quelque part dans un hôpital de Seattle. Peut-être que cette nouvelle t'a un peu attristé, tu n'en es même pas certaine. Maintenant, tu es seulement contente pour lui, au moins, il est mort avant de voir tout ça, il n'a pas eu à vivre cette horreur et c'est vraiment une chance.

Si tu avais su que le monde finirait comme ça... Si tu avais su qu'un jour ou l'autre, tu te retrouverais seule au monde, à devoir affronter les Hommes et les Morts pour t'en sortir, à devoir marcher pendant des jours sans réussir à te remplir le ventre, à devoir porter des semaines les mêmes vêtements, à rêver d'une douche, même froide... Peut-être que tu aurais pris un peu plus de temps pour apprécier tout ce que tu avais alors, là-bas au Texas, quand tout était encore simple et qu'en un claquement de doigt, tes désirs devenaient des ordres. Mais tu ne le savais pas, tu ne l'as pas vu venir, pas plus que les autres et maintenant, il faut bien faire avec.

Réalisant tout à coup que tu es assise là depuis plusieurs minutes et que tu n'as toujours rien dit, tu tournes finalement les yeux vers ton compagnon d'infortune, hésitant une seconde avant de lâcher :

« Je tuerai pour écouter un peu de musique. »

Tu ne sais même pas trop pourquoi tu viens de dire ça, mais c'est la vérité. La musique... Ça a toujours été ta grande passion. Une manière comme une autre de t'échapper du monde, quelque chose qui te permettait de ressentir vraiment. Ton truc à toi, c'était le classique. Grâce à la fortune de tes parents, tu as eu la chance de tenir un violon entre tes mains très tôt dans ta vie et tu ne l'as plus jamais lâché. Enfin... Jusqu'à ce que tu sois obligée de le remplacer par une arme, du moins. Et tu étais même plutôt douée, assez pour finir au Philharmonique de New-York, en tout cas. Seulement second violon, mais c'était quand même ta petite fierté dans la vie. Et le son du violon te manque, le silence de la salle, brisé tout à coup par les notes de musique... Et puis, de quoi tu pourrais parler d'autre ? Tu te fiches totalement de son nom, de son historie, autant qu'il devrait se soucier de la tienne. Il relève quand même les yeux vers toi, un peu surpris par une telle déclaration. Tu affrontes son regard une seconde, puis détourne simplement les yeux, les reposant sur les flammes. Parler est devenu tellement compliqué.

« Quel genre de musique ? »

Tiens, il s'est décidé à répondre, finalement ? Tu souris, légèrement, à peine. Tu pourrais lui en parler pendant des heures, mais ça n'est pas vraiment ton genre, alors tu te contentes simplement d'un mot, la réponse la plus simple et la plus claire possible : « Classique. » Ça semble le faire rire, mais ça t'est égal, tu n'es déjà plus là. Tu as fermé les yeux et tu te revois sur la scène, faire face à la salle pleine, lors de ton dernier concert. Le silence complet, la foule à peine éclairée et tout à coup, la lumière qui se fait sur la scène et les notes qui montent crescendo. Ton dernier grand frisson. Ou ton premier, peut-être. Vous avez à peine eu le temps de finir l'ouverture que la musique des instruments s'est retrouvée noyée sous les hurlements des spectateurs. Un chant beaucoup moins harmonieux, impressionnant, effrayant, se répercutant sur les murs de la salle conçue pour tirer le meilleur parti d'une œuvre musicale. Un chef d’œuvre unique en son genre. Elles étaient là, ces créatures, ces choses. Tu ne sais même pas comment les nommer, ça dépasse totalement l'imaginable. Des armées entières de morts pourrissants, ne rêvant que d'une chose : se nourrir de ta chair. Toi qui rêvait d'attention, tu es servie maintenant !

Tu ne savais pas quoi faire, personne ne savait, alors tu as pris la fuite de nouveau, pour la première fois depuis des années. Et tu as suivi le mouvement, rejoignant des groupes, encore et encore, regardant tes compagnons se faire décimer les uns après les autres, autant par la faute de ces choses que par celle des quelques personnes encore bien vivantes. Tout ça pour te retrouver ici. Détroit... Bien loin de ton Texas natal, seule au monde, à parler de musique autour d'un feu de camp avec un total inconnu. C'est ça ta vie, maintenant. C'est ça la vie de tout le monde.

Derrière l'écran

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Comment trouves tu le forum ? : Très beau !
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 14:42
Bienvenue Julia Very Happy
Bon courage pour ta fiche !

Je ne sais pas ce qui fait le plus mal? Un violon ou une batte dans la tête? Razz MDRR

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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 14:59

Dernière édition par Santana J. Carpenter le Lun 7 Nov 2016 - 15:12, édité 1 fois
Bienvenue par ici Julia ! Coeur

J'aime déjà le nom de ton personnage et son avatar Hihi

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un membre du staff Brill

Et te laisse pas impressionner par la signature de Bruce never
Bon courage pour ta fiche ! Cute
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Logan CarterPapa Ours
Logan Carter
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Date d'inscription : 16/01/2016

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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 15:04
Bienvenue sur le forum ! Cute Je te souhaite bon courage pour ta fiche, comme le dit Santa, n'hésite pas si tu as des questions Very Happy J'espère que tu te plairas parmi nous Brill
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 15:08
Bienvenue sur le forum Coeur Jolie avatar!
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 17:57
Coucou Julia! Bienvenue parmis nous 8D
Vu que tu es violoniste ça fait un petit point en commun avec Mathilde (elle a pratiqué le violon pendant un temps, du à ses parents dans le domaine de la musique), penses à lui faire coucou Bob
Et amuses-toi bien 8D
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 20:08
Merci tout le monde !

Je n'y manquerais pas, Mathilde Brill Et je n'ai même pas peur de Bruce Hmpf !
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyLun 7 Nov 2016 - 22:13
Haaaan Sad mais faut pas écouter Santana voyons ! Il faut avoir peur !! A moins qu'on se marie Hihi
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyMar 8 Nov 2016 - 3:38
OH mon Dieu! Tu écris au "tu"! Je t'aime, je t'adore même! Brill
J'adore ça bigeye2 Bon courage pour terminer ta fiche! Je repasserai quand ça sera terminé en espérant que Logan ne passe pas avant D: XD
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyMar 8 Nov 2016 - 20:13
Bienvenue sur le forum!
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyMar 8 Nov 2016 - 21:24
Bienvenue sur le forum... Euh... Fais attention à toi... Euh... J'adore le violon.

(William est Texan Wink )
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyMar 8 Nov 2016 - 21:50
Bienvenue mademoiselle I love you Bear
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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  EmptyMer 9 Nov 2016 - 2:28
Alors! J'ai lu ta fiche et j'ai rien à redire. Elle est très bien. Je te valide donc de ce pas Brill


Félicitations, tu es validé(e)

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Bienvenue du côté obscure de la Force, mon jeune ami !
Maintenant que tu as passé la dure épreuve de la fiche, tu vas pouvoir enfin t'amuser parmi nous. Enfin... Après avoir fait encore quelques petites choses indispensables que voici :


  • Tout d'abord, il faut que tu ailles recenser ton avatar dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et ton métier dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], afin de rester quelqu'un d'unique !

  • Afin qu'il soit plus facile pour les autres joueurs de te proposer des liens ou des rps et de rester à jour sur ceux que tu as déjà, pense à créer ton [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ! Il y a un code mis à ta disposition si tu en as besoin, mais la présentation de ce sujet est entièrement libre alors amuse-toi !

  • Tu peux aussi créer un scénario si tu en as besoin, dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais sache bien que tu n'as pas le droit d'en proposer plus de deux en même temps, alors choisis bien Hihi

  • Enfin, comme tu peux le voir, nous avons un système de points sur le forum et tout ce que tu dois savoir à ce sujet se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], prends donc le temps de lire tout ça au moins une fois pour être sûr de ne rien oublier !

  • Et surtout n'oublie pas que peu importe que tu sois là depuis un jour ou un an, tu peux contacter le staff à n'importe quel moment si tu as besoin d'aide pour quoi que ce soit concernant le forum. Alors n'hésite surtout pas !

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MessageSujet: Re: Julia Moore — Don't trust the bitch    Julia Moore — Don't trust the bitch  Empty

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