Vote au top-site, sauve une licorne !
In Your Flesh
Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
Vote au top-site !
Après trois ans et demi de bons et loyaux services, In Your Flesh passe en forum semi-privé autogéré. Les tâches administratives sont réduites au minimum, les inscriptions filtrés et les validations supprimées. Nous vous proposons plusieurs zones de RP différentes, dans lesquelles les intrigues sont gérées par les membres sur la base du volontariat et où chacun peut RP librement en suivant seulement une trame commune.
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 Au nom du pére, du fils et des zombies
In Your Flesh :: Last pub before the end of the world :: Archives :: RPs

L'Arène
Isha CornwellL'Arène
Isha Cornwell
Carte d'identité
Occupation actuelle : Champion d'Arene
Messages : 5743
Points : 9450
Date d'inscription : 26/11/2016

Au nom du pére, du fils et des zombies Empty
MessageSujet: Au nom du pére, du fils et des zombies   Au nom du pére, du fils et des zombies EmptyLun 12 Déc 2016 - 13:25
Au nom du pere, du fils et des zombies
Bruce & Isha, 15 octobre 2015


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Je n’arrive plus vraiment à savoir depuis combien de temps j’ai été ramassé par le Fossoyeur et Julia. Les premiers jours ont été compliqués. Surtout qu’à priori, Bruce a déjà eu un mécano qui s’est fait la malle, alors autant dire que j’ai plus de matons sur la tronche que dans un centre pour jeunes délinquants récidiviste. L’ouverture pour me barrer, je la guète toujours.
J’ai bien tenté ma chance assez rapidement malgré tout, faut pas déconner, y’a Eulalie et Juliet qui ont peut-être besoin de moi, et ça, ça me rend fou et pas prudent.

De façon un peu prévisible, ça a foiré et ça m’a valu une petite conversation totalement irréelle avec le fossoyeur, dont le vrai nom est Bruce.  Sur le moment j’ai vraiment cru que j’allais crever, à genoux devant lui qui est reparti dans un speach sur la confiance, le respect… mais en fait, la conversation a pris une tournure inattendue. Et après un « viens Robin je vais t’expliquer les choses… » ça a plus ressembler à une soirée de famille avec dans le rôle du père déçu Bruce, de la mère qui laisse gérer le père, Julia et du gosse qui a fait une boulette, moi. Première fois de ma vie que je vie un truc pareil.

Avec Logan, quand je faisais des conneries, c’était les gros yeux, trois phrases, une punition genre corvée de ménage et on en parlait plus. Là ca a pris la soirée et ça a même tiré vers le sympa sur la fin. Bruce a commencé à parler de motos et de matchs de baseball. Perso, les motos, j’adore, le baseball, par contre, je sais que ça existe tout juste. Mon vieux n’était pas du genre à m’emmener à un match le week end et Logan était plus rugby devant la tv, et encore que pour les grands matchs.

J’ai toujours pensé que c’était un sport de naze, mais à l’entendre en parler, ça me fait regretter de ne pas avoir essayé d’au moins voir un match.

En fait, je n’irai pas jusqu’à dire que Bruce est cool, non c’est bien un taré, mais il n’est pas si connard que ça. Déjà parce qu’il ne m’a pas encore explosé la gueule. Il y a peut-être même des points sur lequel il n’a pas complètement tort dans sa façon de voir les choses. Je ne dis pas que j’adhère à ses conneries, mais c’est vrai que le monde a besoin d’un semblant d’organisation… et … en fait… je crois que je ne m’en étais pas aperçu, mais je ne supporte plus de survivre seul.  

Cela fait plusieurs soirs où il me vend du rêve avec le baseball. Il m’a aussi permis de bricoler sa mob, une Harley low rider, j’adore ce modèle, moins que ma Gisèle. D’ailleurs, il a fini par me la rendre. Et il n’y a pas une journée où je n’ai pas des pièces mécaniques qui me sont apportées et où il ne me dit pas qu’il kiffe ce que je fais. C'est plutôt cool et je sens presque à l’aise ici malgré tout.

Julia est plus en retrait que lui, je ne sais pas, je la trouve distante. J’ai bien essayé de mettre à plat cette histoire de dette, mais elle est compliquée à cerner et au final je suis toujours son débiteur. Des fois j’ai l’impression qu’elle m’évite, d’autre fois, quand ça s’échauffe un peu autour de ma gueule, ce qui arrive souvent vu que les mecs d’ici n’ont pas d’humour, elle apparait presque magiquement et sait calmer le jeu avec son fameux regard noir et ses p’tites phrases cinglantes. Elle me fait un peu penser à ma soeur, avant que la drogue et son mac ne la bousille complétement. Par contre Julia est bizarre. Pour tout le monde c’est la meuf de Bruce. Du coup, autant dire que ça s’aplatit bien devant elle. Maintenant, je n’en sais rien, je capte difficilement les gonzesses, mais y’a un truc qui cloche. Parfois elle est une vrai Harley Quin et d’autre fois, c’est plus Black Widow.  

Je n’ai plus à me soucier de ce que je vais manger, qu’on me tombe dessus par surprise pendant que je dors… je peux juste bricoler si je le veux et crocheter des portes quand les mecs sont coincés. Bref, c’est la belle vie si on oublie mes deux nounous attirés, Bill et Brutus que j’aime exaspérer dans l’espoir de les décoller à un moment ou un autre. C’est même la première fois depuis un an où j’ai l’impression de prendre du poids.

Je reste quand même méfiant et fait en sorte que mes nanny attitrés, qui me serrent le cul, ne sachent jamais vraiment comment je fais avec les moteurs ou les serrures.

Désolé mecs, c’est mon assurance vie. Trouvez-vous autre chose.

Même si j’avoue me plaire ici je ne peux pas oublier Eulalie et sa mère. Le club med Z c’est bien, mais hors de question de profiter si je ne les sais pas en sécurité, en espérant qu’elles soient encore vivantes.

A ma deuxième « tentative de fugue », j’ai, à nouveau, cru que j’allais finir avec une tête concassée. Mais Bruce m’a encore surpris. Il a juste voulu comprendre pourquoi alors qu’il pensait que j’étais bien ici. Je lui ai balancé que je devais chercher ma petite sœur de 10 ans qui était paumée dehors.

Il n’a même pas cherché à me faire la morale, à comprendre, il m’a juste dit d’y aller et de prendre les mecs que je voulais, des motos et d’aller la chercher. J’ai bien compris que j’aurais encore Bill et Brutus glués à l’arrière train pour être sûr que je rentre, mais au moins il ne m’empêche pas de continuer à essayer de sauver Eulalie et Juliet… même si je ne sais pas encore comment je vais gérer si je les retrouve. Après tout, elles pourraient venir ici le temps que je trouve un moyen de les amener à Logan. Ce n’est pas si mal que ça.

L’ambiance est moins glauque que les rumeurs qui circulent, pas de filles clouées à un mat ou de mecs torturés pour rien. Ouai y’en a qui dérouillent, mais Bruce fait les règles, si on fait pas de conneries ça tombe pas n’importe comment. Par contre il n’y aura pas de gamin pour jouer avec la petite. Mais ça sera juste le temps de la rendre à son père.

A titre perso, je trouve Bruce plus que réglo voir patient. Plutôt que de me dérouiller à chaque provoques il arrive à me faire marrer. Et si j’ai besoin d’en venir au main, bordel, lui aussi c’est pas un p’tit joueur.

Le fait que je ne passe pas mal de temps avec Bruce et Julia, ça impressionne les types du groupe, du coup, c’est limite si j’ai pas ce que je demande avant que je le demande. Je crois que jamais de ma vie je m’étais senti… aussi craint. Ça me fait marrer qu’ils s’écrasent devant un merdeux comme moi.

Par contre question nana, c’est la merde. J’ai tenté ma chance avec une bien roulée, elle avait l’air partante et c’est seulement quand j’avais ma main dans son pantalon que j’ai capté qu’elle ne l’était pas tant que ça. Quand j’ai voulu la dégager, ça a été une telle crise de panique que ça c’est fini avec elle dans mon pieu et moi par terre. Bref, je pense que je vais me la garder derrière l’oreille c’est plus sûr. Visiblement, ici, à part quand je veux me barrer, personne ne va me dire non.

Depuis que je peux sortir, j’évite mon « loft » histoire de ne pas griller l’adresse en cas de fuite. On ne sait jamais comment ça va tourner et je pense que mon humour me vaut quelques animosités. Si à un moment Bruce n’est plus, il y a de fortes chances que certains pensent à régler leur compte avec moi avant de briguer le pouvoir. Surtout ce connard de Greg, que je ne peux plus blairer et que je ne rate pas de mon côté.

Bref, j’essaye de passer régulièrement au panneau d’affichage convenu avec Logan sans éveiller les soupçons de Bill et Brutus. Ils ne m’aiment pas des masses eux non plus, et c’est très réciproque. Ma relation avec Bruce n’est claire pour personne. Même pour moi. Je suis son prisonnier ou son pote ? Dans le doute Brutus et Bill sont obligés de me supporter. Je sens bien que ça les arrangerait de dire que je me suis fait bouffer depuis que j’ai eu « une petite mise au point avec l’un de leur pote » qui cognait une des nanas. Lui, il lui faut une paille pour bouffer maintenant.

C’est vrai, aussi, que je passe mon temps à me foutre de leur gueule en espérant qu’ils me lâchent la grappe. En tout cas, ils doivent se demander pourquoi je viens toujours pisser près du panneau d’affichage et que je passe trop plombe à zieuter les nouveaux papelards en même temps que je vidange. J’ai beau leur balancer des « j’ai besoin de lecture » ou des « arrêtez de mater ma bites les tarlouzes », je sens bien que je suis observé quand je viens guetter le fameux signe de Logan.

Et puis, un jour, je dirais le 30 septembre, j’ai enfin le message qui me permet de respirer :

"J & E rentrées. RAS. L"

Les deux, vivantes en sécurité avec Logan. Je n’ose toucher au mot, y’a deux couillons qui auraient trop vite fait de me le prendre et je préfère ne pas mêler Logan à ma nouvelle vie. Avec la politique expansionniste de Bruce, autant laisser la famille carter là où elle veut être.

Je suis soulagé mais je ressens aussi un grand vide. Voilà, je n’ai plus de raison de venir ici, plus de raison valable de penser à Logan ou à sa famille.  J’ai beau être vraiment content de les imaginer tous ensemble, je me sens aussi … triste ? De quoi ? De pas en être ? Je ne suis pas et je n’ai jamais été de la famille de Logan, et puis, maintenant je ne suis plus vraiment tout seul.

Quoique, il ne faut pas se leurrer, Bruce est comme les autres. A la première merde, il me lâchera s’il ne me crève pas lui-même le jour où il en aura marre de ma tronche.

Le train-train a donc continué sans les aller retours au panneau d’affichage. J’ai juste dit à Bruce que j’avais arrêté de chercher ma sœur, ça lui a suffi, il n’a pas posé de question. Lad essus il est clean. Si je ne veux pas parler, il me laisse tranquille et c’est lui qui meuble la conversation. Pour le coup il a toujours un truc à dire, pas comme Julia.

Le jour où il a essayé de me tirer les vers du nez pour savoir si on m’avait « fait du mal » après pas mal de coup de flippe quand essaye de me prendre par les épaules  mais surtout après que j’ai dérouillé un mec qui m’avait un peu trop collé. Je l’ai juste envoyé chier. Il s’est contenté de me dire qu’il respectait mais que le jour où je voudrais en parler, il serait là.

J’ai eu du mal à ne pas lui rire au nez, on m’a tellement balancé ce genre de phrase quand j’étais gosse. Sauf que lui il a vraiment l’air sincère surtout quand il m’a promis qu’un jour il arrangerait ça. Comme si on pouvait faire quoique ce soit sur ce qui s’est passé ou sur le fait que je n’arrive pas à maitriser mes nerfs.
Depuis quelques temps, je graille presque tous les jours avec Bruce quand il n’est pas occupé avec Julia ou avec ses excursions. Dès qu’il revient  ou nous créchons, il passe toujours me voir dans ce qui nous sert de garage avec des comics, des conneries ou pas mal d’anecdotes qui me font marrer. C’est con, mais j’aime bien l’écouter parler, surtout quand il me refait la vie des Marvel.
Bruce veut m’apprendre à jouer au Base Ball, ça me dirait carrément. Il parle de me trouver une batte comme lui, ça ne me déplait pas comme idée même si j’essaye de mettre de la retenu dans mes réactions pour ne pas avoir l’air d’un gosse de 5 ans devant un cadeau de noël.

En fait, même s’il y a plein de trucs qui ne me plaisent pas ici, c’est chez moi maintenant avec eux. Et franchement, même si on ne peut pas dire que je me sois fait des potes pour la vie vu la tronche souriante de Brutus, Bill et Greg… ça me fait chier que tout le monde reste à zoner dehors. Y’aurait p’être moins de merde et de violence si on avait un toit, un endroit à nous, un moyen d’y arriver sans imposer la méthode forte à ceux qui galèrent déjà tout seul… et j’ai déjà ma p’tite idée sur la question.

Il y a une cathédrale, un bâtiment gotique qui pourrait être assez grand pour tout le monde, avec des grilles et un jardin intérieur… j’ai entendu un mec en parler comme d’un refuge mais imprenable car il était scellé.  Je préfère ne pas en parler à Bruce avant de voir si c’est réalisable. Au lieu d’aller « faire des courses » aujourd’hui, je compte plutôt explorer aujourd’hui.

Avant de partir, je ne trouve pas ma veste, enfin, celle de Logan. Ça me fait un peu chier car j’y tiens à cette putain de veste. Même si penser à la famille Carter me fait un peu mal au bide, y‘a pas que des mauvais souvenirs. A force de chercher je tombe sur une préposée aux tâches domestiques. Elle me l’a embarquée pour un lavage. Même si c’est cool de pouvoir porter des fringues qui ne sont pas raides de crasses, je vis mal ce genre « d’intrusion ». Heureusement que mes trucs vraiment perso, je ne m’en sépare jamais. La nana en profite pour me filer un nouveau cadeau de Bruce.

Je manque d’exploser de rire en voyant la veste qu’il m’a trouvée. On dirait la sienne ! C’est classe. Mon euphorie s’arrête quand je pense à Logan. J’ai un peu l’impression de le trahir avec cette veste… mais très vite je chasse cette idée. Qui a trahi qui à la base ? Et puis ce n’est qu’une veste. Lui doit être avec sa fille et sa nouvelle chérie sans penser une seule seconde à moi.

C’est donc avec une veste en cuir vraiment classe que je pars en exploration avec mes deux Nanny.
InvitéInvité
Anonymous
Carte d'identité

Au nom du pére, du fils et des zombies Empty
MessageSujet: Re: Au nom du pére, du fils et des zombies   Au nom du pére, du fils et des zombies EmptySam 24 Déc 2016 - 3:22
Fiche de Suivi : Robin

A] Phase d'observation

Jour 1
Avec Julia, j'avais décider de partir piller les quartiers riches ! Franchement on a pas trouvé grand chose en fait... Mis à part un jeune homme avec une tête qui me dégoûte déjà ! Mais bon Julia semblait avoir déceler en lui un potentiel énorme alors je lui ai laissé le bénéfice du doute... On verra bien même si moi ce mec je ne le sens pas du tout ! Heureusement que j'ai confiance en Julia... On a prit sa moto en otage et il a finit par nous suivre...

JOUR 2
Il a prit la fuite ! Je le savais ! Soit c'est un lâche, soit c'est un traître ! Dans les deux cas il ne mérite pas mon attention ! Pourquoi Julia a ordonné aux sbires de le poursuive? Elle aurait du le laisser seul, sans sa bécane et le laisser crever sur le bord d'une route ! Je lui laisse encore une chance... Après ça... m'en occuperait moi du gamin !

JOUR 3
Bon okay... Il a fait des merveilles sur mes bécanes ! Il ne les a pas piégé c'est déjà ça ! Il ne font plus de bruits assourdissant et on économise en carburant. A part ça? Quand nos motos seront remis a neuf, il servira à quoi?


JOUR 7
Et voilà ! Il a retenté de s'échapper !  Il avait l'air enfin d'y prendre goût mais non.. Il a tenté de se barrer avec de la nourriture et des armes en plus ! Cette fois je n'en peut plus ! Il aura des gardes au cul tout les jours !

JOUR 9
Finalement il a peut-être du potentiel le gamin... Il ne semble plus vouloir se barrer en tout cas... Il passe son temps dans le garage. C'est étrange à dire mais il a l'air épanoui en fait. Julia avait peut-être raison même si le doute est encore là... Bon il aura quand même le droit à une bonne ration de bouffe ce soir !

JOUR 13
Ahaha ! La gueule que Greg' a fait quand Robin l'a devancé durant une course improvisée de moto ! Il manie la bécane comme personne ! D'ailleurs personne ne peut toucher à la sienne désormais ! Il l'a bien mérité ! Même si je suis sûr qu'il me la prêtera si je lui demande... Gentillement !

JOUR 16
Robin est encore au garage... Il ne s'arrête pas ! Un vrai mordu de la mécanique. Ce jour là j'ai décidé de lui rendre une petite visite. Je ne sais pas ce qu'il m'a prit mais j'ai commencé à lui poser des questions... Encore... Encore... Et finalement je pense être resté des heures auprès de lui ! On s'est bien marré c'est vrai... Finalement peut-être que je l'aime un peu ce Robin ! Il m'a confié avoir comme objectif de vouloir retrouver sa soeur... Il a une moto... Il a mes hommes... A lui de s'en servir....

JOUR 17
Je lui ai proposé un Road Trip à deux dans les rues de Détroit. Il a aussitôt accepté et nous avons pris le chemins des plus belles routes désertiques. On s'est posé dans un bar à l'abandon et on a jouer aux fléchettes sur une vielle cible... Bon il était plus nul aux fléchettes qu'a la mécanique. Alors je lui ai donne des conseils et il a finit par m'en donner aussi.. Comme par exemple : Apprendre à crocheter les serrures !

JOUR 20
Encore un jour passé avec Robin ! Il a une ressource de connaissance incroyable. Aujourd'hui je lui réservé une surprise : Une partie de baseball ! Pendant la partie de fléchette il m'avait parlé de ce sport et qu'il aurait aimé savoir y jouer... Ou même d'aller voir un match. Alors avec quelques sbires et Julia, on s'est improvisé un terrain et on a fait une partie ! Il progresse vite le petit ...

JOUR 21
Robin s'est fait harcelé par un groupe de sbires, jaloux de ce rapprochement. Il n'a pas baissé la tête.. Il les as affronté du regard ! J'aime cet esprit dominant ! Il n'ont pas eu le temps de le frapper... Je leur ai interdit de le faire. De toute façon il est meilleur que n'importe lequel de mes sbires !

JOUR 25
Après avoir discuté avec Julia, on a prit la décision de grader Robin ! Il n'est plus un simple "employé" à mes yeux... Il a l'âme d'un leadeur ! Il a prit la nouvelle comme si on lui offrait un cadeau d'anniversaire ! Désormais Robin sera responsable des raids d'approvisionnement. Sa capacité d'infiltration est un plus. A lui de prouver qu'il le mérite..

JOUR 29
Notre groupe grandit de jour en jour... Notre refuge est devenu beaucoup trop étroit pour rassembler tout le monde. Il nous faut partir en éclairage pour tenter de trouver un autre lieu. Julia prendra un groupe avec elle et je ferais pareil de mon côté. Mais ce n'est pas tout... Isha fera aussi partit de l'exploration. Je vais lui confier une partie des mes hommes aussi. J'espère qu'ils apprendront vite à ces cotés même si ils pensent qu'ils sont avec Isha pour le surveiller..
L'Arène
Isha CornwellL'Arène
Isha Cornwell
Carte d'identité
Occupation actuelle : Champion d'Arene
Messages : 5743
Points : 9450
Date d'inscription : 26/11/2016

Au nom du pére, du fils et des zombies Empty
MessageSujet: Re: Au nom du pére, du fils et des zombies   Au nom du pére, du fils et des zombies EmptySam 24 Déc 2016 - 12:00
La route n’est pas si longue, mais je préfère faire des détours pour éviter qu’on rameute trop de moisis vers nous. La fin de la route se passe à pieds à la plus grande joie de Bill et Brutus qui râlent et ont l’air nerveux. Il faut dire que l’on croise quelques moisies qu’il faut débrancher pour de bon en route. Pas de quoi rebrousser chemin.

Je préférerais circuler via les toits mais Brutus et Bill ont l’air du genre culs lourds. Et j’ai pas envie de perdre trois plombes à les aider à grimper pour si ça se trouve devoir les faire redescendre à la première ruelle a enjamber.

Je stress que ma visite puisse être un plan foireux. En effet, le hic c’est que j’ai un vieux doute. J’ai bien entendu des mecs parler de la cathédrale, mais j’avais j’ai fait gaffe, à l’époque, qu’il y en avait plusieurs dans le coin. A vrai dire, je n’allais déjà pas à la messe avant…

J’hésite avec la St Paul ou la Most Lessed Sacrement. Y’en a une qui pourrait être notre sanctuaire. L’autre… p’tain bonne question, peut être que ca le fera aussi.

De toute façon, il faut bien tenter un truc. L’hiver arrive et si je peux rendre l’appareil pour la bouffe et la lessive en trouvant un endroit où crécher, ça pourrait faire pas mal la différence. Bref, direction st Paul.

Je reste assez admiratif devant le bâtiment, même pour un mec qui ne crois pas en Dieu, je reconnais que ça en jette. Par contre, il faudra p’être prévoir une barricade si on s’installe là, car ce ne sont pas les quelques marches du parvis qui suffiront à nous protéger si une horde débarque.

Brutus et Bill tiquent quand je m’arrête devant l’édifice. Bruce leur a demandé de me laisser du lâche sur la laisse, mais je ne suis pas sûr que j’ai le choix s’ils disent que l’on fait demi-tour.

Ils commencent à ricaner devant la porte qui a visiblement été clouée. A première vue, impossible d’entrée via le rez de chaussée sans un bélier. Moi je trouve ça encourageant. Pendant qu’ils foutent de ma gueule, je commence mon ascension via les sculptures et les fioritures dont est parées la façade. Dès qu’ils s’aperçoivent que je suis en train de grimper, ils se la ramène moins. Je n’ai peut-être pas fait l’Everest ou je ne sais quelle montagne connue, mais des murs pour piquer des trucs, vue mon expérience, je pense que je pourrais entrer dans le livre des records. Et avec le travail de sculpteur des types qui ont construit ce machin, c’est presque un parcours de santé.

Arrivé en haut, je ne peux résister à leur balancer une belle vanne sur leur mère et leur faire un doigt avant d’attacher la corde et leur jeter presque dans la tronche.

Je n’ai aucune envie d’attendre ces deux connards que j’entends pester en bas. Je me désintéresse d’eux et de leurs menaces à deux balles pour que je redescende afin de rentrer pour aller chouiner auprès de Bruce que je ne suis pas obéissant.

Je casse le plus silencieusement possible un vitrail pour rentrer à l’étage du bâtiment. Ça s’ouvre sur un balcon filant en bois qui semble faire le tour de l’édifice et qui domine la nef. Je ne suis pas sûr mais je crois que ça s’appelle une coursive. Il aurait peut-être fallu que j’aille plus longtemps à l’école moi.

L’odeur ne me rassure pas, l’endroit n’a pas peut être pas été si bien barricadé que ça. A vue d’œil je ne vois pas grand-chose. Mais il y a du mouvement prêt de l’autel en dessous. Au moins deux moisis. Bien, si je reste à l’étage et que je ne fais pas trop de bruit, je peux les flécher discrètement et rapidement de ma position. Ensuite je n’aurais plus qu’à descendre tranquillement faire une inspection de lieu.

Je mets ma frontale, je prends mon arc et commence à avancer en espérant trouver un bon angle. Le bois grince sous mes pieds et fait réagir quelques moisis. Hum… mauvais ça. Je me penche et touche le plancher, il est moite et poreux, des miettes de bois restent même collées à mes doigts. J’ai une suée en comprenant que je suis sur un truc qui menace de s’effondrer à tout moment.

Je me redresse le plus doucement possible, prêt à faire marche arrière.

« Bordel Robin, ne nous ressème plus jamais comme ça ou je te jure que je te crève… !! »

Les zombies réagissent presque en même temps que moi à l’arrivée colérique de Bill qui enjambe rapidement la fenêtre pour me rejoindre d’un bon pas colérique.

« Putain n’avance p… »

Un gros craquement, je sens le sol se dérober sous mes pieds dans une odeur de bois humide et de pourriture. J’ai le réflexe de m’accrocher à ce que je peux et qui semble tenir bon : une corniche de pierre. Bill a eu moins de chance que moi vus ses braillements en dessus. Presque tout le balcon s’est effondré. Seul un petit décrochement de pierre de quelques centimètres, qui devait soutenir le bois, a tenu bon. Ce rebord est étroit et lisse. Je n’ai pas de prise pour mes jambes et visiblement y’a des morts qui arrivent de partout dans la nef. A croire qu’ils s’étaient planqués en attendant que l’on descende.

Pour le coup je ne peux que compter sur mes bras pour ne pas aller rejoindre Bill et ses nouveaux meilleurs potes à leur repas de fête.

Bon ok, la cathédrale, super mauvais plan.

Je ne tiendrais pas des plombes. Heureusement que j’ai super nany numéro deux pas loin qui est resté sur le pas du vitrail et qui pourrait m’envoyer une corde, un truc, n’importe quoi pour m’éviter la chute. Malheureusement il a l’air d’avoir deux de tension et d’être un peu choqué par ce qui vient de se passer.

« Brutus c’est quand tu veux !! »

Je le vois regarder vers le sol ou Bill a arrêté de gueuler, j’ai pas besoin de baisser les yeux, vu l’écho des grognements c’est évident que ça grouille sous mes pieds. Et puis, après peut être une micro seconde d’hésitation, et un rictus mauvais, il se barre…

Bordel !!! Bon ok la vanne sur sa mère était p’être de trop, mais sur ce coup là je le maudits sur 60 générations.

Une main s’accroche à ma jambe et manque de me faire lâcher prise. Je fais un effort surhumain pour foutre des coups de pieds à l'aveuglette et essayer de me remonter au mieux hors d’atteinte des mâchoires dégueulasses qui ne claquent pas loin de mes jambes. Mais pour le coup, c’est mal embrigadé.

Si j’arrête de bouger mes pieds, je vais finir par me faire agripper, c’est sûr, ou mordre. Si je continues de les bouger dans tous les sens, je n’arriverais jamais a me hisser plus pire, je vais finir par glisser.

Pendant une fraction de seconde je regarde la fenêtre avec l’espoir de voir débarquer Logan, avant de me souvenir que je suis tout seul et que personne ne viendra jamais à ma rescousse. C'est la seul personne au monde qui a jamais pris la peine de venir me sauver quand ça craignait pour mon cul.

Je manque de gueuler son nom quand je me fait clairement agrippé et tiré vers le sol, vers les grognements peu ragoutants de ces trucs qui vont me bouffer vif. Mes doigts glissent trop, je vais finir comme Bill…
InvitéInvité
Anonymous
Carte d'identité

Au nom du pére, du fils et des zombies Empty
MessageSujet: Re: Au nom du pére, du fils et des zombies   Au nom du pére, du fils et des zombies EmptyMer 4 Jan 2017 - 2:12
Le camp était devenu trop petit pour le groupe. Bruce n’aurait jamais pensé que tant de personnes auraient rejoint sa quête. Certains pour se sentir protéger, d’autres par vengeance … Ils n’avaient pas tous la même raison d’être là mais ils défendaient tous la même cause : celle du fossoyeur ! Il a donc rassemblé Julia et Isha afin de chercher un endroit où loger ce beau petit monde. Julia étaient partit avec quelques sbires de son coin et de l’autre côté Isha avait pour mission d’allez visiter une grande cathédrale. Il avait emmener avec lui Bill et Brutus avec lui : ses deux sbires préférés ! Depuis qu’Isha était le chouchou du patron, ils avaient toujours eu une dent contre lui. Ils étaient partit à l’aube à bord de leur bolides respectifs. Ils devaient communiquer un rapport au patron toute les heures sur l’avancé de leur projet : après tout, ils n’étaient pas en vacances. Bruce était quant à lui resté aux camps, se devant de surveiller les habitants de son groupe. Il était assis sur son fauteuil, attendant donc des nouvelles de Julia ou d’Isha. Les minutes défilaient, Julia faisait correctement son travail, elle donnait les détails précisément.

"Robin.. Bill... Votre rapport... Robin... Ton rapport putain? ... C'est pas vrai fait chier..."

Il en sortit sa carte de la ville et reperé l'endroit où Isha aurait du se trouver. Les appels aux talkie ne fonctionnaient toujours pas. En realité il ne savait pas qu'a ce moment même, ses hommes étaient dans une sacrée merde ! Il prit les premiers sbires présent sur son chemin et ensemble ils partirent en direction de la cathédrale. L'avantage de ce lieu était tout de même la certaine proximité du camp. Mais même si le trajet était court en terme de kilomètres, pour Bruce par contre c'était beaucoup plus long. Et si il était arrivé malheur à Isha? Bruce n'aurait pu s'en prendre qu'a lui même étant donné les incapable que Bruce lui avait refilé ! Bref, le voilà arrivé casiment sur les lieux avant sa bande de sbires. Il ne tarda pas à comprendre l'ampleur du merdier dans laquelle ses hommes s'étaient fourrés ! Les rôdeurs étaient très nombreux ! Il fallait se disperser et trouver le moyen d'aller vers eux. Le premier sbire commençait pas les attirer avec le bruit de sa moto. Le second tirait en rafale pour en tuer quelques un. Le chemin était libéré à présent, du moins jusqu à la prochaine horde une fois arrivé sur le lieu. Bordel mais qui est cette personne qui pendouille au dessus d'un groupe de zombie, prêt a se faire bouffer? Mais c'est Isha ! Bien sur que c'est Isha !

"Tiens bon Robin on est là ! Ne lâche surtout pas okay !!?"

Des coups de feux se font à présent entendre. Les rôdeurs tombent un par un ! Bruce en profite pour quitter sa moto et frapper à coup de batte dans la tête des rôdeurs ! Il se rapprochait de plus en plus d'Isha, voyant que celui-ni n'allait pas tarder à lâcher ! Heureusement, il arrivait à temps et profitait qu'Isha lachait prise pour l'attraper en vol avant de le reposer par terre quelques secondes après...

"Ça va Robin tu n'a rien? Et les autres ? Et ton talkie? Putain Rohin ne me refait plus jamais peur comme ça t'as compris? La prochaine fois je viens avec toi de toute fa-ATTENTIIION"

Il poussa Isha sur le côté pour éviter qu'il ne se fasse mordre et fracasse de nouveau le crane du rôdeur ! Il regardait ensuite autour de lui pour vérifier que tout était en règle avant de regarder de nouveau en direction du jeune homme. Par reflexe, il frotta les vêtements du jeune pour retirer la poussière sur lui. Un vrai papa poule...

"Pourquoi t'es seul? Ou sont les autres? Je trouve ça inacceptable que personne n'était là quand tu avais besoin d'eux ! On reparlera de tout ça au camp ! Je suis extrêmement déçu !"

Dit-il en prenant sa voix de  chef.. Malgré tout, il finiit par lui t'appoter l'épaule gentillement, comme pour le rassurer. Il haussa ensuite les épaules et lui sourit en coin.

"Ah allez c'est pas grave va ! Dis moi ce qu'il est de ton rapport ici et on oublie tout..."
L'Arène
Isha CornwellL'Arène
Isha Cornwell
Carte d'identité
Occupation actuelle : Champion d'Arene
Messages : 5743
Points : 9450
Date d'inscription : 26/11/2016

Au nom du pére, du fils et des zombies Empty
MessageSujet: Re: Au nom du pére, du fils et des zombies   Au nom du pére, du fils et des zombies EmptyJeu 5 Jan 2017 - 18:18
Je sens que je vais lâcher quand j’entends un boucan pire qu’un feu d’artifice. Visiblement ça ne fait pas renoncer celui qui m’a agrippé.

Je sens que c’est foutu quand un nouveau vacarme et une voix qui est devenue familière.

« Tiens bon Robin on est là ! Ne lâche surtout pas okay !!? »

Il est drôle lui, genre c’est moi qui décide et pas le moisi qui est en train de me tirer dessus. Putain j’ai une crampe en prime.

Je ne suis pas sûr de bien comprendre ce qui se passe, ni comment le fossoyeur est arrivé dans l’église, peut-être suis-je déjà mordu et en plein délire de transformation ?

Merde, moi qui aurait voulu voir des p’tits lapins roses en hallucinations ou des jolies filles à poils, plutôt que Bruce Cameron.

Je sursaute en entendant clairement des coups de feu, plutôt catégorie film d’action avec budget pétards illimités. Le hic c’est que ce petit mouvement de muscle nerveux et juste ce qui manquait à l’apesanteur pour reprendre ses droits. Je me sens tomber sans même avoir de droit de flashback et me refaire toute ma putain de vie de merde.

Au lieu de m’exploser au sol, je suis rattrapé par… le fossoyeur lui-même ? Je suis surpris. Pour le moment je l’ai surtout vu faire sauter le caisson de gens plutôt que d’en sauver.

Je suis un peu hagard quand il me repose à terre, j’ai même pas eu le réflexe de me débattre alors que ce mec me touchait. Je regarde les lieux… sans bien imprimé ce que je vois. Y’a des cadavres empilés au sol, des trous partout, des morceaux de papiers des carnets de chants volent un peu partout, je crois qu’ils ont explosé le meuble où ils étaient rangés. Les piliers ressemblent à du gruyère et y’a deux vitraux qui ne sont plus là. Même la statue du Christ s’est pris une balle. Visiblement les types qui sont là ne doivent pas être trop porté sur la religion vu leur sourire de bourrins satisfaits.

Bruce récupère mon attention en me parlant presque paternellement.

« Ça va Robin tu n'as rien? Et les autres ? Et ton talkie?»


Un Talkie ? Les mecs avaient un Talkie ?

Toujours dans une espèce de flou artistique je baisse les yeux vers les restes de Bill… y’a bien un truc écrabouillé avec plein de composants électroniques… Je n’ai pas le temps de sortir du brouillard de ma tête pour formuler une phrase que Bruce enchaine.

« Putain Robin ne me refait plus jamais peur comme ça t'as compris ? La prochaine fois je viens avec toi de toute fa-ATTENTIIION »


Je me sens poussé et aperçois juste la batte du fossoyeur s’écraser sur le crâne d’un zombie en même temps que je me vautre. C’est affreux d’être aussi, sans contrôle, ca me évoque la période de ma vie que je ne veux surtout pas me souvenir. Bruce me redresse et m’époussète, ce n’était pas le moment, je me recule vivement, les sens en alerte. La main sur mon couteau. Il n’a pas l’air de se formaliser de ma réaction et enchaine avec nonchalance

« Pourquoi t'es seul? Ou sont les autres ? Je trouve ça inacceptable que personne n'était là quand tu avais besoin d'eux ! On reparlera de tout ça au camp ! Je suis extrêmement déçu ! Ah allez c'est pas grave va ! Dis-moi ce qu'il est de ton rapport ici et on oublie tout... »


Et il me re-tapote l’épaule. Ce qui m’oblige à me reculer. Je vais lui répondre un truc cinglant quand une statue de saint dont je ne saurais dire le nom, amputé d’une jambe, d’une tête et avec un trou dans le ventre à la suite des tirs en rafale, s’effondre dans un grand fracas poussiéreux.

Je tousse pas mal avant de percuter un truc ? Les mecs, à l’entrée de l’église, ils ont l’air d’être aussi surpris de moi de l’attitude de Bruce. Merde, pourvu qu’il ne soit pas gay et qu’il en ait as après mon cul.

« Bah, je dirais que Bill et par là, du moins quelques morceaux, quand à Brutus… »


De pensée à lui une saine colère m’extirpe entièrement de l’espèce d’état de choc que ce sauvetage musclé, et pas très catholique, a généré.

« Si c’est pas cet enfoiré qui vous a dit de venir, j’aimerais bien savoir, moi aussi, où il est. Alors heu… pour le rapport…»

Merde je dois l’appeler comment devant ses hommes. Je peux Bruce comme au camps? Dans le doute j'élude.

« En bref, je ne savais même pas que t’était au courant de cette explo, je voulais juste, disons, faire une surprise si c’était bon, et pas décevoir si c’était de la merde…. »

Un autre bruit sourd. Les mecs sont obligés de se pousser, la porte principale vient de céder, ils n’ont pas dû l’ouvrir avec délicatesse.

« … franchement… je sais pas quoi dire, merci de m’avoir sauver les miches, mais, disons, qu’actuellement, a part t'indiquer que le bois est moisi, que la deco intérieure vient d’être refaite et que je suspecte des problèmes d’isolation, j’ai pas vraiment eu le temps de faire le tour du propriétaire… Toi et tes hommes avez réglè les problèmes immédiats de mauvaises fréquentation, reste que je ne suis pas encore convaincu que ca soit place to be ici»
Contenu sponsorisé
Carte d'identité

Au nom du pére, du fils et des zombies Empty
MessageSujet: Re: Au nom du pére, du fils et des zombies   Au nom du pére, du fils et des zombies Empty

 Au nom du pére, du fils et des zombies
In Your Flesh :: Last pub before the end of the world :: Archives :: RPs

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

Vous allez poster avec

Outils de modération