Carte d'identité
| Sujet: Henry • Don't believe me just watch Jeu 26 Jan 2017 - 18:51
Dernière édition par Henry A. Black le Sam 4 Fév 2017 - 17:34, édité 9 fois | |
“ Henry Alexander Black ” Informations Générales • Prénom(s) : Henry Alexander. Théoriquement Henry junior, puisqu'il porte le même prénom que son père. • Nom : Black. Ca en impose, ça sonne agressif, de même que la stratégie de la famille en affaire. • Date de naissance : Né un dix-sept juin. • Âge : 36 ans de conneries, de débauche, d'aventures et désormais, le reste d'une vie pour survivre. • Métier / Études : Anciennement vice président de l'entreprise familiale Black Industries. Un groupe d'entreprises spécialisées dans les hautes technologies. Aussi bien pour l'armement, que l'aviation ou encore la robotique. • Statut marital : Célibataire à la morale douteuse. • Orientation sexuelle : Bisexuel. Davantage attiré par les femmes, il n'en reste pas moins charmeur envers les hommes à l'occasion. Des occasions plus rares, mais des occasions quand même. • Groupe : I'm a Lonesome Cow-Boy • Avatar : Ben Barnes • Malgré ses allures de petit con, Henry est bien plus intelligent qu’il n’y paraît. Il parle d’ailleurs trois langues en plus de son anglais natal : Le français, l’italien et l’espagnol. Des langues latines qui se ressemblent, mais qu’il maîtrise très bien. Chose qui lui servait d’ailleurs bien dans les affaires • Bien qu’il est toujours eu du personnel, Henry apprend très vite, aussi, il a rapidement su acquérir quelques compétences en bricolage, essentielles à sa survie. Il est plus doué de ses mains qu’il le pensait. • Il adore chanter, fredonner divers airs entrainant, c’est sa façon à lui de ne pas se morfondre au vu de la situation actuelle. • Le whisky est sans nul doute son péché mignon, mais aussi son plus gros vice. Il se fait violence pour ne pas vider d’un trait la flasque du précieux liquide ambré qu’il possède. Histoire de faire durer le plaisir. • Malgré le fait qu’il ressemble à n’importe quel survivant, Henry possède encore quelques gestes, air, un peu hautain et snob. Ce qui trahi vite son ancienne appartenance à un milieu politique, riche, presque aristocrate. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
Inventaire - Arme :
Un couteau de combat militaire, trouvé sur un mort, à la suite de la perte de son pistolet. - Objets utiles :
Un sac à dos militaire contenant un sac de couchage. - Objets rares :
Un paquet de cigarettes et une flasque de whisky trouvé sur un biker ainsi qu'une boîte d'allumettes. - Véhicule :
Un vélo ? Non sinon aucun, ses jambes. - Possessions personnelles :
Une chaîne en or où trône la bague de fiançailles de Maggie, ainsi que sa médaille de baptême ; Une photo, enfant, prise avec Eliza, en costume d’Halloween. Pour plus de précisions sur la manière de remplir votre inventaire, rendez-vous [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Caractère et Personnalité Le stéréotype du petit con imbu de lui même. Dédaigneux, provoquant, un sourire satisfait toujours flanqué sur le visage. Celui qui vous regarde de haut et vous juge, d’un seul regard. Celui à qui on veut tout de suite casser la tronche, sans pour autant qu’il se laisse faire. Henry se complait derrière cette apparence détestable et ses répliques sarcastiques. Il donne l’impression d’être trop sûr de lui, trop confiant, trop téméraire. Ce n’est pas qu’une apparence, c’est aussi sa façon de lutter contre la peur. Être détaché de tout, prendre des risques parfois inconsidérés. Cette adrénaline lui donne le sentiment de vivre et d’être intouchable. C’est peut-être faux, mais cette technique de connard, c’est sa technique bien à lui. Au delà de ça, Henry n’est pas quelqu’un de véritablement sang chaud. Il va plutôt réagir par la provocation, l’ironie et le sarcasme. Il peut être cynique, moqueur ou encore simplement vulgaire, mais s’énerver au point de frapper, de cogner, juste sous la colère, ce n’est pas son style. Il en est pourtant capable, il ne faut pas se fier à son gabarit moyen, mais il a d’autres techniques plus utiles. Il est ingénieux, rusé et surtout fourbe. Il sait manipuler à la perfection, retourner les esprits et convaincre les plus violents qu’ils ont un réel intérêt à l’épargner ou encore à lui faire confiance. Une confiance toute relative, mais tout de même. Cette adaptabilité lui a permis de survivre jusqu’ici. Il a su tirer son épingle du jeu et le fait de ne pas paraître toujours très menaçant un premier abord, s’avère être en réalité un atout de choix. Mais heureusement pour lui, Henry possède quelques bons côtés, notamment avec ses proches. Méfiant, observateur et toujours sur ses gardes, il n’en demeure pas moins protecteur et dévoué à ceux auxquels il tient. Il garde certes, cette facette agaçante de sa personnalité, de petit con sarcastique, mais au delà de ça, il sait se montrer plus doux, plus humain et plus attentionné. Evidemment une telle démonstration de sa personnalité est très rare car il aime bien davantage jouer à l’enfoiré qu’autre chose, mais il en est capable, c’est toujours ça. Histoire Before, I was an asshole
Le costume est taillé à la perfection, épousant les muscles, le corps élancé et droit. L’attitude snob, presque hautaine et pourtant le regard pétillant de malice et de fourberie. Rien à voir avec un côté superficiel qui au premier abord, peut s’imposer d’un seul regard. Tu marches, d’un pas assez rapide, d’une démarche sur de toi. Plein d’assurance. Tu t’avances en direction de la salle du gala, traversant un long couloir aux allures baroques. L’opulente richesse du lieu atteint les convives en plein visage, mais toi, tu es trop habitué pour y prêter encore attention. Ton parfum, spécialement confectionné, laisse sur ton sillage une odeur ni trop forte, ni trop légère, mais suffisamment singulière pour marquer les esprits par son côté unique. Dieu sait que tu aimes marquer les esprits et les gens. Pénétrant dans la grande salle, où la musique classique d’un orchestre baigne les convives dans une atmosphère festive, tu t’avances. Nombreux sont ceux qui s’immobilisent pour te saluer, pour échanger quelques boutades et banalités. Au passage d’un serveur, tu attrapes une coupe de champagne que tu vides d’un trait, en prenant ensuite une autre. L’alcool. Ce besoin viscéral d’alcool dans ce genre de situation bien trop ennuyante. Sauf si une de tes proies daignent passer la large porte d’entrée et venir se joindre à la danse de l’hypocrisie qui règne ici ce soir. Tu n’es pas réputé pour être un grand homme d’affaire, sérieux et travailleur. Malgré ton poste prestigieux, tu es davantage connu pour tes frasques et tes excès, et tu sais que ton père va probablement te faire une réflexion ce soir en croisant ton chemin et ton allure pourtant impeccable. Tu sais que tu vas avoir droit à la remontrance classique de ne pas faire de vagues. Mais un sourire en coin se dessinera sur ton visage. Un sourire bien trop malicieux et provoquant, pourtant tu acquiesceras. Tu feras mine d’accepter, mais tu sais que tu finiras la soirée dans l’appartement bien trop luxueux d’un de tes meilleurs amis, à consommer un peu trop de poudre blanche, de champagne, pour finir la nuit en très bonne compagnie. Tu es comme ça. Un homme d’excès, un playboy sans limites qui aime bien trop provoquer, bien trop l’insouciance d’une richesse sans limites. Pourtant tu es intelligent, bien plus que tu ne le laisses paraître, mais c’est tellement plus facile d’endormir la méfiance des uns et des autres, en passant pour l’idiot superficiel. Ainsi, ils ne s’attendront pas au retour de bâton. Ils ne s’attendront pas au moment où tu frapperas un grand coup, où tu t’imposeras, un sourire triomphant et carnassier sur le visage.
Love, I was also an asshole (but not completely ?)
L’exception dans ton monde superficiel. Dans tes excès et ta vie d’insouciance. Le visage presque aussi manipulateur que le tien. Elle dégage quelque chose, un charme hautain, une beauté provoquante. Ton regard se perd sur les courbes de son corps, épousées bien trop parfaitement par cette robe écarlate qui rehausse le blond de ses cheveux. Coup de foudre ? Tu aurais presque pu y croire, si tu n’étais pas si pragmatique. Cette jeune femme se révèlera être celle qui bouleversera ta vie et tes habitudes. Celle qui troublera ton parfait petit monde millimétré, malgré toute la frivolité le composant. Amour passionnel, fougueux, malgré le faut qu’elle se laisse désirer, qu’elle te laisse attendre, miroiter une relation qui peine à venir et pourtant. Pourtant l’intensité de la chose est au rendez vous. Tu t’abandonnes à l’aimer comme un fou. À imaginer un futur. À la demander en mariage. Jusqu’à la soirée de trop. Jusqu’à l’excès de trop qui causera votre perte. Tu t’en veux, tu regrettes, tu t’excuses, mais le mal est fait. Tu es un connard. Tu l’as toujours été et tu le seras probablement toute ta vie. Tu accuses le coup de la fin de votre histoire. Les coups de son frère, l’alcool noie ta peine et les vieilles habitudes reviennent au galop. Pourtant ton cœur demeure marqué par cette histoire, malgré toute ta fierté et ton orgueil masculin. Elle a encore sa place. Elle aura probablement toujours sa place. Maggie.
After, I'm an asshole, more than ever. Because they say, survival of the fittest.
Tu fredonnes une chanson plein d’engouement, pleine d’énergie et de positivité, alors que pourtant, rien ne s’approche ne serait-ce qu’un peu, de la vie que tu pensais mener à ce moment là. À cet âge là. Tout s’est effondré. Tout est tombé en miette sur le sol, poussière d’une société, d’un monde, que tu as toujours connu. Désormais, tu es seul. Seul avec toi même car ton dernier compagnon vient de mourir, dévoré, quelques jours plus tôt. Lorsque tu fermes les yeux, tu revois encore son visage, son désespoir, ses cris. Tu as beau faire le fanfaron, le bellâtre que rien n’atteint, tu as du mal à effacer ce genre de vision de ton esprit. Bien sur tu t’adaptes, tu oublis, tu fais abstraction. Tu es malin, rusé, fourbe. Mais tu n’en reste pas moins humain, dans une situation qui échappe totalement à ton contrôle. Ce type n’était rien pour toi en soi, un compagnon, rencontré un petit mois plus tôt, sur la route. Un brave type, ancien électricien, d’une quarantaine d’année, qui n’avait qu’une idée en tête, retrouver sa famille. Voilà pourquoi vous vous rendiez, comme but ultime, dans une petite ville à quelques miles de votre position. Tu avais trouvé un but, quelque chose à faire. Quelque chose de certain à atteindre. Mine de rien, c’était assez galvanisant. Winston, de son prénom, avait cette détermination impressionnante qui lui collait à la peau. Il ne pouvait pas abandonner. Tu ne pouvais pas abandonner, parce qu’il était là. Jamais tu n’aurais pensé pouvoir te lier à un type comme ça, même brièvement. L’apprécier, l’estimer, même. Oui car pour toi, tout a commencé après une soirée bien trop arrosé. C’est juste après ça que tu t’es retrouvé au milieu de la panique générale. Au milieu de la société qui sombrait complètement, totalement. Tu es rentré chez toi en trombe attrapant une arme dans l’armurerie de ton père, un sac de voyage, d’une marque de luxe, et quelques affaires. Tu ne sais même pas comment tu as pu être capable d’un tel réflexe, mais faut croire que tu es bien plus malin que tu le laisses paraître. La chose que tu as cherché à faire, quitter ce pays, t’envoler dans le jet privé familial, en direction d’une des îles que possède ta famille. Un endroit sauf, un endroit saint. Un endroit où tu pourrais vivre sans te poser de questions. Mais tu n’as jamais pu atteindre l’aéroport pour t’envoler vers tout ça. Seul déjà à ce moment là, dans un élan de panique, un conducteur a heurté ta voiture, tuant sur le coup ton chauffeur. Un violent choc à la tête pour toi, de nombreux éclats de verre, pourtant tu as fini par te réveiller, alors qu’autour de toi, les premiers cris se faisaient entendre. Ton cœur, battait bien trop fort, bien trop vite. Tu as eu peur, pour la première fois de ta vie, une putain de peur presque paralysante. Tu t’es senti perdre pieds, bien plus violement que les drogues que tu as pu absorber durant ta vie. Bien plus violement que les ravages des alcools fort que tu as consommé. Mais dans ces moments là, il faut croire que l’être humain a un formidable instinct de survie. Tu as été capable de choses que tu n’aurais jamais cru possible. Capable de tuer, d’un coup de pistolet. Capable d’abandonner, égoïstement. Capable de courir, de grimper, d’escalader. Tu étais déjà sportif, une bonne endurance bien que trop d’excès, chose qui t’a particulièrement été utile et qui l’est encore aujourd’hui.
En bref tu as survécu, jusque là. Tu as perdu des proches, tu as perdu des amis, de la famille, certains que tu as retrouvé, pour les voir mourir sous tes yeux. C’est eux que tu vois encore, lorsque tu tentes de t’endormir, de te reposer. Tu ne dors que d’un œil, de toute façon. Le visage marqué, la barbe bien plus fournie, les cheveux bien plus longs. La silhouette moins épaisse qu’à une période, athlétique, mais plus maigre. Tu ne vis plus, tu survies. Mais petit à petit, tu as chassé les démons, tu t’es endurcis. Tu te concentres sur cette attitude désinvolte et provoquante qui t’allais et te vas encore si bien. Voilà pourquoi tu chantonnes. Voilà pourquoi tu tues avec facilité. Tu gardes les remords pour plus tard, tu gardes les questionnements étiques pour une autre vie. Parce que ce n’est pas, ou plus, important. Tu es devenu un autre homme, en un sens. Plus dur, moins insouciant, mais qui cache encore bon nombre de ses intentions, de son petit jeu, derrière un sourire de petit con. C’est tellement plus facile de paraître plus faible, plus inoffensif, lorsqu’en vérité, tu peux poignarder dans le dos, le plus facilement du monde.
Derrière l'écran [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | • Pseudo : Wiise • Âge : 23 y.o • Comment as-tu connu le forum ? : Alors en fait j'ai été ramené de force par Eliza, Maggie et Sienna • Comment trouves tu le forum ? : Il a l'air super sympa ! • Code règlement : |
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