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 Un dernier train pour la survie
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MessageSujet: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 0:56
Benjamin King m’avais déconseillé la voie ferroviaire. Ses propos étaient logiques. Mais je voulais me faire ma propre idée. Et puis à la gare je trouverais probablement des éléments pour mon projet. Soit le train en lui-même et il n‘aurait juste plus qu’à fermer sa gueule. Soit des éléments intéressant pour une autre tentative de mon projet. Enfin toujours est-il qu’il me fallait faire une sortie. Et que je voulais voir de mes propres yeux l’état du chemin ferroviaire. Parce que si je devais quitter la ville en vitesse le train était une bonne solution. La voie navigable aussi mais je ne sais pas piloter un paquebot ou un ferry moi. Tout au plus des notions avec une péniche ou un yacht. Le grand père a Moscou avais un yacht. Du coup ça ira. Mais Detroit est plus connu pour son port de marchandise Que par son port de plaisance. Donc il y a plus de chance de trouver des paquebots ou des gros porteurs qu’autre chose. Contrairement à King je pense que le ferroviaire est une bonne idée. Là où je le rejoints c’est sur l’idée de la route et du camion. L’essence disparaitra un camion s’arrête facilement et est facilement prenable d’assaut. Un train c’est plus délicat à stopper. Et puis j’aime son côté massif, … et destructeur que sa peut prendre. Et puis c’est con mais y a un truc que la gare doit encore avoir, c’est des distributeurs. J’ai bien envie de me faire une canette de coca ou un autre soda. Si y a des distributeurs de bouffe je suis preneuse aussi des barre énergisante ou un truc comme ça. Ca me changerait des conserves.

Pour cette sortie je n’avais pas envie de me la faire en solo. Et puis Barry n’est à nouveau pas dispo. Faut dire depuis que je lui aie filé la liste, il est à la recherche des mecs se trouvant dessus. Du coup reste de dispo Leïa. Elle n’avait pas été trop un boulet la dernière fois. Et cette fois ci on risquait plus de tomber sur du crever ou une petite balade tranquille que de tomber sur des vivant. Et puis j’avais bien aimé le délire balade entre nana. Non je déconne. Mais elle avait un tempérament de feu. Allez Zou adjuger vais chercher la brunette a la biblio.

Je prends la direction de l’édifice. Y a toujours les même glandu en sentinelle. C’est fout comme c’est ridicule comme truc ils ont l’air si rassurer par leur mur. Mais ils vont se péter les dents si y se font attaquer. Le pire c’est que Blondin le sais Et qu’il nourrit leur espoir de survie en les entrainant. Mais certains ont plus la gueule du mort en sursis que du survivant. Même la blondasse sauvageonne a l’air plus taillé pour survivre que la plupart d’entre eux et pourtant cette nana est pathétique. J’ai envie de lui offrir une corde et de lui dire va te pendre s’t’eu plais sa sera mieux. Mais je pense que je me ferai tailler en pièce si je fais ça.

Je suis venue à pied pas besoin de bécane la gare est pas si loin que ça. Enfin sa nous fera une bonne marche quand même mais vu le nombre de charognard on passera plus inaperçu à pied qu’en moto. J’arrive a porté d’une des sentinelles qui me met en joue. Ça recommence.

Hey tête d’abrutit c’est que moi. Baisse ton arme tu vas te faire mal. Va plutôt chercher Skywalker je reste devant. Comme ça t’es tranquille.

Je m’approche du mur et de celui-ci et me pose contre le mur. Il fait le caïd. C’est juste un mec qui ressemble a une caricature de prof de math de lycée. Avec sa petite panse son crane doucement dégarnit et qui tient une arme à feu.

Je m’assieds même devant lui alors qu’il essaye de se montrer le chef de nous deux. Je rigole doucement.

Dis caïd avant de te montrer vindicatif devant moi avec ta pétoire des années 30, vire le cran de sureté. Parce que dans 30senconde si t’as pas bouger ton cul pour allez chercher Leïa je te botte le cul.

Je sors une clope et me l’allume. Il me regarde cherchant a être menaçant je lui souris juste pour le narguer. Finalement il rentre dans le bâtiment. J’espère que sa sera pas trop long. Il ne pleut pas aujourd’hui mais le vent laisse présager une fraicheur certaine. Sa me rappelle l’hiver moscovite
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 2:13
J'ai presque terminé de me préparer. Kirasir va venir me chercher d'un moment à l'autre pour que je l'accompagne faire de la récupération. Sa note parlait de la gare. C'est pas super loin et je connais le chemin. Au moins pour une fois, elle va m'emmener dans un endroit où j'avais l'habitude d'aller. Même si je ne prenais pas le train très souvent, on l'a quand même utilisé quelques fois pour partir voir de la famille et je connais la direction. Je passe le dernier fourreau en bandoulière et glisse mes trois lames là où il faut : le couteau à l'arrière de ma ceinture. mon khukuri dans le dos et mon petit couteau de lancé dans ma manche gauche. Je fais un pas pour me rapprocher de ma table de chevet sur laquelle, une fois que j'ai retiré toutes mes armes, ne reste plus que ma nouvelle montre et mes lunettes de soleil. Une montre que j'ai trouvé il y a une semaine en faisant de la récup' dans un entrepôt. C'est une montre de qualité spécialement conçue pour la survie et je l'ai tout de suite adoré. J'ai du mal à garder ce genre de matos en état, mais pour le moment, celle-ci tient remarquablement bien le coup.

On toque à ma porte et je reconnais la voix du garde. Il m'indique que Kirasir est arrivée avant de repartir à son poste. Je me dépêche un peu mais évite d'oublier quoi que ce soit en me dépêchant. J'attrape mon sac à dos dans lequel j'ai fourré quelques trucs comme le paquet de clopes que j'ai trouvé et que je pourrais peut-être lui échanger et ma bouteille de soda pour la route. Vu ce qu'elle m'a fait faire la dernière fois qu'on est sorties, je préfère avoir une provision de sucre si jamais je me retrouve encore bloquée entre des survivants et des mafieux mexicains. J'enfile ma montre et mes lunettes et suis prête à partir, mes bottes de combat au pied et mon blouson sur le dos. Je passe la porte de ma chambre et verrouille la porte à clé avant de partir. Je traverse la bibliothèque, fais signe à Alair qui est en train de discuter avec des gens et me rend à l'entrée. En poussant la porte, je souris à l'européenne qui est en train de fumer, contente de la revoir.

- Salut ! Désolée de t'avoir fait attendre.

Je m'arrête à sa hauteur et reste en attente de l'ordre de départ, c'est elle qui donne les ordres. C'est comme ça qu'on a fonctionné la dernière fois et ça me convient très bien, ses ordres sont relativement honnêtes.

- Donc c'est la gare aujourd'hui ? On cherche un truc en particulier pour avoir besoin d'aller là-bas ?

Pas que je craigne particulièrement l'endroit mais à moins de chercher une pièce de moteur pour de la machinerie lourde, c'est un objectif un peu surprenant. Pas que ça me dérange de ne pas savoir si elle préfère garder ses secrets, mais dans le cas où elle soit disposée à me partager ses informations, je suis preneuse.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 10:08
Je termine ma clope lorsqu’elle arrive. Je souris. Car elle est prête. Elle fait moins nunuche ou boulet comme la dernière fois. A moins que ce ne soit justement nos actes de la dernière fois qui me donne l’impression qu’elle sera plus efficace encore. Pas la moindre idée mais moi ça me va. Au moins je sais que cette fois ci je peux lui faire confiance pour gérer mes arrière en cas de problème. Et surtout je sais que je peux lui filer des chose a faire. L’autre fois on a fait ça de façon un peu bordélique mais j’avais pas confiance non plus et elle, elle, voulait me prouver son efficacité. Aujourd’hui on sait l’une l’autre de quoi il retourne.

Je ne réponds pas à son excuse de m’avoir fait attendre. En fait c’est mieux comme ça. J’ai pu fumer tranquillement et profiter un peu de la brise fraiche. Je me relève, tapote mes fesses histoire de m’épousseter de la crasse du parvis de la bibliothèque et m’étire.

Da, la gare. Ce qu’on va y foutre bas de la récup de chose, une balade entre nana. Un massacre de charognard. Nous faire amuser quoi.

Je ramasse mon fusil a pompe. Et m’apprête a y aller. Mais le garde est revenu et j’ai envie de le faire chier. Du coup j’attrape Skywalker par la taille et la colle a moi en partant gratifiant l’autre con d’un nouveau doigt d’honneur. J’adore me foutre de sa gueule a se naze. Quand on est un peu plus loin je la relâche et éclate de rire. Le regard de ce mec, son air stupide, et dépité ça valait de l’or.
Non aujourd’hui je suis de bonne humeur et j’ai envie de m’éclater. Et rien de tel qu’une bonne partie de massacre ou de tir au crever pour se sentir bien. Mais bon elle a demandé pourquoi la gare. C’est vrai que ce n’est pas anodin. Parce que des bestioles rampantes y en a un peu partout en ville.

C’est simple on va chercher un train. J’ai envie d’un lieu a moi toi t’as la biblio avec les autre de ton groupe moi je veux mon local a moi aussi. Mais tu vois j’veux pas d’une truc qui soit prenable par une bande de pantin. Ou par une arrivée massive de cadavre ambulant. Non je veux pouvoir me tirée rapidement avec toi et écraser tout sur mon passage. Du coup j’ai pensé chopper un train et le rafistoler. Si on trouve pas je me rabattrais sur autre chose.

Je la regarde et lui met une grande claque dans le dos. Aie Je me suis heurtée à un truc solide. Ah oui merde son épée. J’avais oublié Imbécile que je suis. Je me marre a ma connerie. Bas pas grave. En tout cas ça fait une petite semaine depuis la dernière fois et son visage a pas mal dégonflé. Moi mes balafre son encore là mais les fils ont commencé à lâcher deux même preuve que le doc a super bien fait son travail parce que ça aura pas mis trop longtemps. On va pouvoir se faire refaire le portrait la classe. J’avance vraiment avec désinvolture sur le chemin de la gare.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 16:28
Je souris à sa réponse, cette nana a un grain mais c'est une bonne réponse quand même. Je commence donc à la suivre jusqu'à ce que je me fasse attraper par la taille pour marcher à sa hauteur. Elle fait un doigt au garde et ça me fait quand même bien marrer même si ça ne va pas améliorer ma réputation au sein de la bibliothèque. Du coup, je fais comme elle et roule des hanches histoire de l'emmerder un peu. Mes yeux s'illuminent quand elle me parle de récupérer un train.

- Un train ? Excellent !

Je souris de toutes mes dents à son idée et c'est vrai que je la vois bien piloter ce genre d'engin. Mais elle a tout à fait raison sur l'état de la librairie. Les gens là-bas se reposent beaucoup trop sur leurs acquis et à part Barry, Doc, Papi et moi, il n'y en a pas un qui survivrait plus de deux jours à l'extérieur des murs, même le garde que j'ai nargué avec l'aide de Kirasir est un incompétent. C'est dommage, j'ai entendu dire que les Rendell étaient des sacrés survivants quand ils avaient encore le temps de sortir, mais ce sont devenus des sortes de gestionnaires plus que des combattants. J'éclate de rire quand elle essaie de me mettre une tape dans le dos et frappe mon épée, c'est vrai que c'est une bonne protection.
Je la suis en direction de la gare et dégaine mon épée lorsque deux infectés arrivent sur nous à un coin de rue. Je ne sais pas si elle a autre chose que ses armes à feu pour se battre mais je crois que Ghost a dit que si, donc elle devrait pouvoir buter le sien sans trop de soucis. Je décapite ma cible d'un coup ferme et la rejoins pour continuer à avancer.

Quand on arrive enfin à la gare, je me rends compte d'à quel point ça va être compliqué de trouver un train en état. Je me redresse un instant et regarde Kirasir qui a encore l'air d'avoir envie de jouer avec les morts. Je lui souris et pointe du doigt un wagon devant nous.

- Ce serait pas mal pour avoir un bon point de vue des environs tu crois pas ? Je te fais la courte échelle ?

Je m'apprête à me coller le dos au mur en joignant mes mains pour lui offrir un appui. En espérant qu'elle ne me laissera pas par terre, je n'ai pas vraiment envie de l'attendre là sans savoir si des morts ne peuvent pas rappliquer.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 17:23
Le chemin est relativement tranquille. On discute de connerie en tout genre. Surtout on déconne à propos de ce corniaud de garde. C’est vrai que je m’amuse comme une folle quand je viens là. C’est la seconde fois, mais j’adore me foutre d’eux. Blondin va déjà avoir une réputation de chaud lapin a force de mater mon cul dès qu’il peut mais la maintenant avec Leïa j’ai fait fort. Elle va avoir une nouvelle réputation en plus mais bon je pense que c’est le genre de nana qui en a rien à foutre ou alors qui va en rajouter histoire de les faire mousser un peu plus. Elle m’amuse. Elle rentre facilement dans mes délires stupides, y compris ceux avec un max de risque. Suis sûr que si je lui proposais une roulette russe elle le ferait. J’ai un bête sourire de conne en pensant a plein de débilité à faire. Et ses débilites partent dans des images a connotation scabreuse. Ok stop on arrête le délire là. Je me mets une paire de claque. Et on est reparties. Sur le temps que je me mets des baffes, elle zigouille un crever. Elle m’en laisse un. C’est trop d’honneur. Je la salue avec un large sourire. Un peu comme si elle m’avait offert un présent et qu’on était au 18eme siècle et que je la remerciais. Je m’approche du mordeur. Le couteau que Barry m’a filler va servir. Je glisse mes doigts dans la partie poing américain, et lui colle une baigne. L’acier de la partie bague claque contre la tempe et le fait tombé. J’adore ce truc. Un bon coup avec la lame et je le renvoie dans le royaume des morts.

Jolie mise en bouche. Niet ? Ok go on y est presque.

Les Voie et les trains sont en face de nous le bâtiment lui légèrement décalé. En regardant rapidement. Je me rends compte que King avait raison. Ca va être la merde pour trouver un truc réalisable. Mais bon on va s’amuser un peu quand même moi j’ai envie de jouer. Je m’amuse avec un autre mort évitant ses bras et ses morsures. J’ai l’impression de jouer a trappe-trappe. Sauf que la le chat a pas les yeux bander. Et est moins vif. Elle me propose un point de vue plus haut pour avoir une idée de ce qu’on pourrait voir. Et se met en position pour me faire la courte échelle. Ok j’arrive. Je plante ma lame dans la tête du mort. Il se fracasse au sol. Je cours vers elle pose mon pied dans ses main et profite de sa propulsion pour atteindre le sommet du wagon. Je me retrouve rapidement au-dessus. Et me couche sur le toit posant ma tête dans mes main je zieute vers le bas tout sourire voyant deux morts arriver vers elle. Elle peut facilement les tuer mais derrière y en a quand même plus qui arrive.

Tres jolie vue d’ici.

Elle me regarde attendant que je lui tende la main pour l’attirer à moi. Mais je veux jouer. Je lui tends la main. Mais quand elle veut s’en empare je la retire et la regarde interrogative. Et je fais mon chat de Cheshire rencontrant Alice.

Eh bien, cela dépend... de l'endroit... où vous désirez vous rendre...

J’éclate de rire. Et j’ai rien prit en plus puis je lui tends la main et la tire a moi sur le toit du Wagon Juste a tend avant qu’elle se retrouve avec les mort trop proche de ses tites fesses.
Bon regardons ça de plus près. Que nous dévoile la zone. Y a des crevés, beaucoup de crevé. Et tout les trains présents ont l’air en mauvais état. Y a encore dans la gare elle-même peut être qu’il y a des choses à prendre et d’autre train plus en état.

T’en pense quoi ?
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 17:42
Je l'aide à grimper sur le wagon et me retrouve seule tandis que les mordeurs approchent de plus en plus près. En voyant qu'elle est joueuse, j'arrête d'essayer d'attraper sa main une petite minute pour buter le mort qui est le plus proche de moi, et à porté de coups, avant de reprendre ma tentative. Elle m'aide finalement à grimper sur le wagon et je regarde l'endroit ébahie. Ça semble immense et le nombre de rôdeurs est effarant. À sa question, je me rapproche d'elle pour lui parler sans avoir à trop élever la voix.

- Ça va être chaud. T'as une idée de par où on...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, le plancher grince un bon coup avant que la parois sur laquelle nous avons posé les pieds ne s'effondre. On tombe dans un bruit sourd à l'intérieur du compartiment, putain, à chaque fois que je l'accompagne, je fini empoussiérée ! Dans un grognement, j'essaie de reprendre mes esprits pour être capable de me défendre mais rien n'arrive de mon côté. Au moins. le wagon a l'air vide. Je n'avais pas prévu que ce train serait en si mauvais état.

- Je crois qu'on devrait en chercher un qui est à l'abris de la pluie.

De toute évidence, elle pourrait m'appeler cap'tain obvious tellement ce que je dis est évident. Mais ça me semble utile de le préciser. Je m'assieds sur une table sur laquelle j'ai roulé pendant ma chute et sors ma bouteille de Montain Dew. Une gorgée bien sucrée va me relancer. Je lui tend ensuite la bouteille un peu cabossée mais pas percée.

- Tiens, cadeau.

Je souris de toutes mes dents, c'est quand même sacrément bon cette saleté même si ça ressemble au sang de Hulk. Je ne sais pas vraiment comment ressortir de ce train en revanche... Est-ce que tente de passer par où on est entrées en prenant le risque de se couper ? Ou bien on part vers l'avant ? Ou l'arrière ? Je la regarde avec un air interrogateur.

- Je te suis Kirasir, j'ai aucune idée de comment on sort de là.

Des mains s'appuient contre les vitres du véhicule mais ça ne m'intéresse pas pour le moment, le wagon est suffisamment lourd pour ne pas craindre un si petit nombre. Il faudra juste qu'on saute sur un autre train ou quelque chose du genre pour s'éloigner des morts attirés par le bruit. Je me sens un peu conne de ne pas avoir pensé à mon poids et tape la poussière dans le dos de la russe.

- Désolée, j'ai pas réfléchi...

C'était pas spécialement de ma faute mais j'aurais du y penser avant de faire la maligne sur le toit d'un train. On a encore eu du bol de pas se faire trop mal, je vais quand même avoir un beau bleu à la hanche. Quand j'ai atterris sur la table, j'ai rebondi dessus comme un sac de patate. Mais Kirasir n'a pas vraiment été plus gracieuse.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 21:29
Elle est a peine montée qu’on se vautre en bas elle rebondit sur la table alors que moi je rebondis sur un dossier de siège avant de m’écraser au sol avec elle sur le bide. Et merde s’était pas prévu de me faire un bleu aussi connement. Bon par contre j’avoue que je suis assez agréablement surprise de la pose suivante mais merde c’est pas le moment

Dit donc Skywalkers. Si tu voulais me passer dessus t’avais pas besoin de nous eclater au sol comme ça.

J’éclate de rire. Mais, ouch …, j’ai les côtes qui me font mal. Super. Je me redresse comme je peux. Ouais un protéger de la pluie. Même si c’est clairement compréhensible et visible maintenant. J’y avais pas pensé non plus. Elle me tend une boisson énergisante. AAAAAAAAAh ça sa fait du bien. Elle me demande par ou on va et comment on fait. Je referme mes jambes, En lui souriant très amusé. Elle a pas fait gaffe encore masi elle s’est pas relevée et est limite a genoux entre mes cuisse.

Bah je sais pas … T’veux vraiment partir ?? On a un public en plus sa peut être très agréable.

Je me marre a nouveau, et la relâche. Je me relève. Bon en effet faut partir. Par contre ouais comment on fait ? Remonter c’est mort. Les bords sont tranchant et y a plus de prise. Avec en plus le risque de nous péter la gueule un peu plus loin. Sauter de train en train ça risque d’être pareil. Va falloir avancer vers la gare en traversant le train. Je fais coulisser la culasse du pompe cette fois on y va en mode western presque.

Allez beauté, on est parti. Tu me colle au cul et surveille mes arrières on traverse se bordel jusqu’au bout. Apres on avise pour rejoindre la gare

J’avance Lui laissant le soin de nous couvrir au cas où. La première porte passée. Rien la seconde y a deux cadavres. Je les envoie ad patres d’un coup de pompe. Et laisse le soin à Leia de les terminer si besoin. Je continue à avancer le suivant je tire a deux reprise. Et continue, direction le fond du train. On finit par arriver dans le dernier Wagon. Je regarde vers la gare. Il reste à peine cent, cent cinquante mètre. Mais les cadavres sont assez nombreux. Et on voit rien de la gare sinon l’entre du hall.

Bon reste plus ou moins une centaine de mettre va falloir courir t’es prête ? Va falloir tu fonce et sécurise le hall. je te rejoint. Go.

J’ouvre la porte et la laisse passer devant. Je tire a vue sur tout ce qui passe et l’approche.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyLun 10 Avr 2017 - 23:17
Je souris à sa remarque, même si je ne suis pas vraiment fan de ce type de public. Je préfère les foules enflammées plutôt qu'un groupe de morts-vivants qui grognent. Je me relève et attends qu'elle me rende ma bouteille pour la ranger dans le sac. C'est un gros volume et même à deux, elle nous fera la journée. Comme d'habitude, j'obéis aux ordres de la mafieuse.

- Plutôt deux fois qu'une.

Je la suis donc dans les wagons. Elle envoie du pâté avec son fusil à pompes. Assez pour déblayer le passage, je met un coup d'épée dans chaque crâne au cas où. Ils n'ont plus l'air en état de bouger mais on ne sait jamais, je préfère les savoir inoffensifs. Un mort mort, c'est mieux qu'un mort-vivant.
J'ai pas le temps de dire ouf qu'elle m'ordonne de foncer. Et merde ! Pas le temps de réfléchir, je cours dès qu'elle m'a ouvert la porte et sursaute au premier coup de pompe, je ne m'attendais pas à ce qu'elle tire avec moi devant mais bon... Je me trace un chemin à grands coups de khukuri jusqu'à voir la porte du hall. Je m'engouffre dedans et me retrouve nez à nez avec un déterré en tenue de contrôleur. J'avais du mal avec eux avant l'épidémie, mais maintenant, ce n'est plus vraiment la fonction qui me dérange. Il se prend un coup d'épée verticale et son crâne se fend en deux.

- Viens vite Kirasir !

Je ne sais pas vraiment où elle en est mais je préfère l'attendre au cas où. Je continue de repousser les morts qui arrivent des deux côtés et prie pour qu'elle ne m'abandonne pas. C'est pas le genre mais si jamais elle a eu la trouille, je suis foutue. Finalement, je vois une touffe de cheveux bleus approcher et je m'écarte de l'entrée pour ne pas me prendre un coup de fusil. Comme elle l'a dit à Barry la dernière fois, je ne suis pas blindée naturellement.
Le hall est moins bondé que l'extérieur et il n'y a que quatre rôdeurs à l'intérieur. Je verrouille rapidement toutes les autres portes avant de reporter mon attention sur les morts. Je fais un moulinet avec mon épée avant de l'abattre sur la tête du premier qui s'effondre. Mon couteau de lancer ne me serre à rien dans cette situation mais mon couteau de combat peut-être utile. Je le tire avec ma main gauche et me retrouve avec deux armes dans les mains. Ce n'est pas mon habitude mais cette fois, ça semble nécessaire. Je plante mon épée dans l'épaule d'un des morts et utilise la prise que j'ai sur lui pour le déplacer et empêcher les autres de me bouffer tandis que je plante mon couteau dans l'oeil de celui qui est à ma gauche. Il s'effondre et je continue d'éviter les autres en jouant à chat-perché avec le monstre dans lequel j'ai planté mon épée. Si seulement Kirasir pouvait m'aider, j'en aurais bien besoin mais je suis trop occupée à me défendre comme je peux pour pouvoir regarder où est ma coéquipière.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMar 11 Avr 2017 - 11:26
Allez, en avant la musique. Elle se met a cavaler quand je lui ai dit et moi a tirer droit dans le tas. Je la suis, mais moins vite et en tentant de faire le plus de dégâts possible. Lorsque je rentre dans le hall. Elle est affairée a s’occuper de quelque cadavres restant. Moi faut que je bloque cette entre sinon on sera submergée. Je referme la porte et tire devant un banc. Puis je fais tomber un vieux distributeur vide. Ok ça fera l’affaire pour le moment. Skywalker danse avec un crever le sabre planter dans son crâne. Je la laisse faire et termine ma barricade de fortune.

Je reviens a elle. Exterminant les deux ou trois qui reste elle est avec son danseur. Elle semble lui plaire vu son engouement a son égard et le borborisme de compliment qu’il lui fait.

Tu t’es trouvée un admirateur Skywalker. Je vais faire ma blondasse du toubib, et être jalouse.

J’éclate de rire et vais lui planter mon couteau dans le crane perforant sa tempe et traversant ce qui reste de son cerveau. La lueur de pseudo vie qui l’animait s’éteint ainsi que son amour pour ma partenaire.  Je me penche vers elle et lui sourit plus qu’amusée. Je ne sais pas cette journée me plait je m’amuse comme une petite folle.

Je vais faire un petit tour y a des distributeurs de snack j’espère qu’il y a encore des trucs genre mars ou autre. Je secoue le premier et la porte s’ouvre. Elle a déjà été bousillée. Merde vide. Au suivant.  J’en fais trois sans le moindre résultat. Ah si une bouteille de soda. Ca je garde. Ca peux etre super utile lorsqu'on manque de sucre. Le quatrième par contre est aussi ouvert mais il reste deux confiseries du genre. Je prends. Et vais retrouver Sky.  Je m’assied sur un banc et lui tend les confiseries.

Tien prends celle qui te plais.

J’entame l’autre. J’adore cette sortie. Me suis jamais aussi bien marrée et sentie vivante. Je souris tres fière et contente de ce début de partie
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMar 11 Avr 2017 - 15:43
Je l'entends se foutre de ma gueule mais je commence à paniquer. Finalement, elle flingue les rôdeurs hors de contrôle et me laisse me décarcasser avec Fred Astaire. J'ai envie de lui hurler dessus pour qu'elle l'oblige à me lâcher mais ça la fait marrer. Jusqu'au moment où elle m'en débarrasse enfin. Soulagée d'être encore en vie, je tombe à genoux et réprime une forte envie de vomir. Cette fois, la dentitions pourrie n'est pas passée loin de ma peau.

- Merci Kirasir.

Elle a prit son temps, mais elle m'a aidé. Je la regarde se rendre jusqu'aux distributeurs et commencer à les ouvrir pour les fouiller. Je la regarde faire en essayer de reprendre mon souffle. Finalement, elle revient mais je suis encore en état de choc après ma danse forcée et je ne me sens pas de me relever aussi vite. Je me glisse jusqu'à pouvoir utiliser le banc comme dossier et m'installe par-terre. J'attrape une des barres qu'elle me tend avec un grand sourire et l'ouvre pour commencer à mâcher les céréales et le chocolat, lâchant un "Hmmm" satisfait. Le chocolat restera toujours un truc incroyable ! Je sors la bouteille de soda de mon sac et la pose sur le banc derrière moi afin qui nous l'ayons les deux à portée de main.

Le mauvais moment commence à passer et je sens la force dans mes jambes commencer à revenir. Je penche la tête en arrière pour observer Kirasir de mon regard interrogateur et lui pose ma question après avoir jeté un oeil à la barricade qu'elle a placé devant la porte et qui semble tenir bon.

- On fait quoi maintenant ?

Je laisse ma tête reposer sur le banc, fermant les yeux un instant pour me concentrer sur ma respiration et me calmer avant que l'européenne ne m'annonce notre destination suivante. Je l'aime bien mais chaque sortie avec elle est plus intense que la précédente.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMar 11 Avr 2017 - 16:36
Je suis vautrée dans  sur le banc elle assise a mes pied. On reprend notre souffle en bouffant la barre chocolatée et en buvant le soda. Moi je suis bien, limite euphorique. J’adore ça. Elle relève la tête vers moi. Et me demande ce qu’on fait maintenant. Mais putain on profite ma grande. Ok je pense qu’elle n’est pas dans le même trip. Je me relève et me pose devant elle les jambes de part et d’autre des siennes. Je m’abaisse et m’agenouille, limite si je m’assieds sur ses cuisses. Elle a les yeux clos. J’en profite du coup. Je lui prends la tête et pose mes lèvres contre les siennes pour l’embrasser. Je la relâche et me relève après ce baiser plein de fougue et de chaleur. Je lui tend la main.

Ce qu’on fait ? On vit, putain. On vit. Et quoi de mieux que ça pour ce le prouver. Allez vient reprenons notre exploration pour un train.

Etrangement mon attitude pourrait faire penser au Joker du comics Batman. Aujourd’hui. Mais j’ai jamais vraiment kiffé les comics.

Je reprends mon chemin en chantant la Katiusha à tue-tête. Je pousse une porte qui donne sur le bureau des préposer au ticket et tire explosant la tête d’un  mort qui se relève pour venir me dire bonjour. Je regarde un peu els bureau. Ya des billets verts qui traine. Dommage sa a plus court sauf pour allumer un feu. Je prends des clés bizarres. C’est les clés des trains et des locos. Bon ben si on en trouve un fermer on pourra toujours entrer sans forcer le truc. Je reviens dans le hall et vais vers les coffre ou les visiteurs peuvent stocker des bagages. Sur le trousseau de clé étrange y doit bien y avoir celle pour forcer les coffres.  J’ouvre les coffres. Pour me retrouver bredouille certains ont déjà été forcés au pied de biche. D’autre sont ouvert. Vide, depuis bien avant le fléau. Dans d’autre se trouve des objets à la con. Inutile. Manquerait plus que je tombe sur un avec un dildo et ma journée sera faites.

Tu trouves quelque chose Leïa ? un truc intéressant. Avant qu’on fille voir les quai ?

Je fais pas plus gaffe a ça je l'entend pas loin de moi mais j’entends aussi un rampant. son bruit de succion lorsqu'il rampe vers moi avec son corps putréfier et immonde est suffisamment caractéristique. Je prend mon colt et tir dessus sans vraiment regarder. Mais la réponse et clair le bruit d'explosion d'une masse grasse et spongieuse est suffisamment explicite pour m'indiquer que ma cible est terminée
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMar 11 Avr 2017 - 17:35
Alors que je suis en train de faire mes exercices de respiration, je la sens qui bouge de place et elle vient rapidement m'embrasser sur les lèvres. Je profite de cet instant privilégié et savoure le moment avant de la sentir s'éloigner à nouveau. Je commence à comprendre pourquoi Barry l'appelle "succube", elle vient, prend ce qu'elle veut et s'envole. Je la suis du regard pendant qu'elle m'explique ce qu'on fait et un sourire s'affiche sur mon visage.

Je me redresse et commence à fouiller l'endroit. Mais rien d'intéressant à l'horizon. De toute manière, je ne m'attends pas à trouver beaucoup de chose qui me soit utile. J'ai tout ce qu'il me faut actuellement et ce que je peux désirer, j'ai plus de chances de le trouver dans un magasin de sport ou une boutique de déstockage militaire. Je fouille quand même les bureaux les uns après les autres en faisant voler les tiroirs derrière moi après vérification de leur contenu.

En fouillant un bureau, mon pied tape quelque chose en dessous et je recule instantanément pour regarder ce que c'est. J'ai en réalité tapé dans un corps. Cette pauvre personne est morte depuis tellement longtemps que son cadavre a eu le temps de se décomposer, ne laissant qu'un tas d'os enroulés dans du tissu. Aucune idée de comment il est mort, ni de pourquoi il ne s'est pas transformé. De toute manière, c'est pas mon problème. En revanche, je remarque un reflet de son côté droit. Afin de libérer l'objet de ma convoitise, je tire le mort par la chemise. Les derniers ligaments réduits à l'état de poussière cèdent et toute l'ossature s'effondre dans un bruit assez ridicule. Je me penche et attrape ce que j'ai vu précédemment pour l'observer au creux de ma main. Il s'agit d'une clope à moitié consumée et un briquet en métal. Je balance la moitié de cigarette et observe ma trouvaille.

- Oui ! J'ai trouvé un briquet militaire !

C'est le même genre que ceux qu'ils donnent à l'armée, carré et en métal. Une détonation me fait sursauter mais Kirasir n'est pas du genre discrète. Je retourne vers elle pour lui montrer ma découverte, prête à continuer vers notre objectif.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMar 11 Avr 2017 - 18:01
Bon y a rien d’intéressant ici.

Je regarde son briquet. Et souris sympa le zippo. Ça pourra lui être utile. Moi, j’ai embarqué des billets de banque. Sa sert à rien mais j’ai envie de faire l’imbécile ce soir. Si le Barry est là j’ai bien envie de lui en coller dans la calebar pour le pousser au strip. Apres les billets servent plus à rien, c’est vraiment pour le délire.

Allez on est repartie. Cette fois le grand jeu va commencer. Les quais sont justes derrière la porte métallique devant laquelle je me trouve. Je colle mon oreille dessus pour écouter de l’autre côté. Je grimace. Je m’en doutais c’est remplit de mort la derrière. Ca va chier. Je la regarde ici plus besoin d’arme. Je viderai mon chargeur pour rien les morts qui tomberont seront aussi vite remplacer par els autre. Non la va falloir faire dans le feutré. Et moi le feutré. J’en suis la reine. Tu parles je hais ça. Sauf lors des tiger kidnapping.. Sauf que la ça a rien a voir. Et avec le bordel qu’on a fit jusqu’ici les rampants ont commencé à bouger vers nous. Va falloir faire vite pour trouver un train valide.

Bon chérie voilà mon idée. Sa sert a rien de se faire chier a les butter sinon on est encore la dans 40 ans. La seule idée valide que j’ai c’est de courir et de faire le moins de bruit possible ou d’en faire en balançant des trucs à l’opposer de là ou on va. On va se faire les quai un par un tu zieute les train de droite moi celui de gauche. Ensuite on traverse par le toi jusqu’à la vois suivante et on recommence.

Je lui laisse imprimer mes propos. En gros on matte le nombre de crever dedans et les Wagons les moins détruit. Jusqu’à trouver un valide avec le moins de morts et le moins de truc détruit. On prendra celui-là.

T’es prêtes ? Parce que là, la moindre connerie on est morte toutes les deux. Quand je t’ai dit qu’on allait vivre, va falloir le prouver maintenant. Moi perso j’ai pas l’intention de rester le cul au sol a attendre que la faucheuse s’occupe de mon cas

J’attends qu’elle me fasse signe qu’elle est prête. Une fois ok je lui souris l’attrape par le col l’embrasse a nouveau, puis ouvre la porte et balance une brique au loin contre un élément métallique. Les morts se retourne et prenne la direction du bruit

Va pas crever chérie

j’en profite pour passer. Et commence mon exploration. Sa me ferai mal qu’elle se fasse becqueter. Le premier train les Wagon sont en piteux état et la loco à l’air d’être à l’extérieur. Ça pue grave pour pouvoir l’utiliser celui-là et quand je voie le nombre de main putride qui sse fracasse contre les vitres c’est clairement pas le bon plan. Je regarde après elle voir ou elle en est et pour me dire si le sien est bon ou pas. Sinon je me prepare a lui faire la courte échelle pour passer par-dessus sur le quai suivant.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMer 12 Avr 2017 - 4:38
Je récupère mon briquet assez contente de moi et l'écoute me présenter son plan. Je note qu'elle m'a appelé "chérie", ça me donne l'impression d'être un peu sa poupée mais bon... Je suis attentive à la mise en garde et fais signe de la tête lorsqu'elle termine. Un "ok" sort de ma bouche avant qu'elle ne m'attrape pour m'embrasser à nouveau. Je me laisse plus aller que tout à l'heure, un peu moins surprise, et tente même de passer ma main dans ses cheveux, mais elle se retire avant que je n'ais eu le temps de l’agripper.

Je lui souris quand elle me dit de ne pas crever et lui lance un rapide "Toi non plus" avant de commencer à avancer en direction du wagon qu'elle m'a indiqué. J'applique les techniques que Barry m'a appris pour être discrète et il faut reconnaître qu'à défaut d'être totalement au point dans le corps à corps à l'arme blanche, contrairement au couteau de lancer que j'ai très vite maîtrisé, je ne fais aucun bruit. Je passe derrière les rôdeurs et les seuls sons qui m'échappent sont les froissements de mes vêtements, mais ce n'est pas assez pour stimuler les appareils auditifs pourris des monstres.

Je regarde à l'intérieur par une des fenêtres crasseuses. Il y a un paquet de morts là-dedans, et un gros trou dans le plafond. Aucune idée de ce qui a pu se passer mais certains morts ont l'air définitivement hors d'état de nuire, une majorité se tient cependant debout. Je reviens discrètement vers Kirasir, traversant l'aire de chargement des passagers et lui souris en posant mon pied entre ses mains. Elle me hisse rapidement sur le toit, il faut dire que je suis quand même un poids plume et je m'allonge sur le toit du train pour lui tendre là main. Je l'aide à monter puis me relève à côté d'elle. Contrairement à tout à l'heure, les wagons ont été à l'abris de la pluie et le toit ne semble pas s'enfoncer comme précédemment. Au moins, l'état général du matériel est un peu meilleur.

Je lui lance un petit sourire en me rendant compte du ridicule de ma position. Pour tester le sol, j'ai écarté les jambes, fléchit les genoux et aligné mes bras comme des ailes afin d'être prête à atterrir en dessous en cas de problème. Mais pour le coup, j'ai juste l'air de faire l'oiseau. Je me redresse et me tiens les mains dans le dos en la regardant, souriante.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMer 12 Avr 2017 - 11:15
J’atteins le toit du train grâce à son aide. Le sol sous nos pieds semble solide. Mais je ne peux m’empêcher de ricaner en la voyant joué à faire l’oiseau. Je prends un peu d’élan et bondit sur le train d’à côté. Je manque de perdre mon équilibre mais ça va je me rattrape sans me vautrée au sol comme une grosse merde. Le toit ou je suis a l’air stable mais j’aime pas le bruit qu’il fait. Je lui fait signe de venir vte parce que à mon avis on va pas pouvoir restée dessus très longtemps ni commencer à faire des folies sur ce toit. Je lui tend la main pour l’attraper Par contre pas le temps de nous faire l’accolade. Le bruit de se toit ne me plais pas. Je regarde en bas prends mon couteau et me laisse tomber sur un mordeur. Le bruit de son corps cassant sous l’impact avec mon poids est juste glauque. Mais devenu tellement commun. La lame se plante dans son crane éteignant sa vie de parasite. Il n’y a pas trop de puant sur ce quai. Je me retourne vers elle et lui tend les bras. Pour qu’elle descende. Une fois au sol je lui souris. On est rapidement devenue complice. Elle est autant barrée dans sa tête que moi. Enfin pas autant mais faudrait pas grand-chose pour que ça le devienne.

Allez on continue

Je reprends l’exploration. Mon train ne semble pas trop rempli. Si on reprend celui-ci le nettoyage sera rapide. Je prends un morceau de plâtre blanc au sol et fait une grosse croix blanche sur ce train ci. Comme ça si on doit cavaler pour revenir vers un train on aura pas besoin de chercher a nouveau mais juste de prendre celui-ci.

J’arrive au bout du quai et m’apprête à faire le tour pour rejoindre le quai suivant. Il doit nous en rester trois ou quatre. Par contre les rangs des crever sont nettement plus important par là. Le nouveau quai est encore relativement dégagé. Il nous faut juste esquiver les puants a quelque reprise. Par contre le train de mon côté n’est absolument pas utilisable. Certaine vitre sont cassée Et dans d’autre Wagon les mort sont agglutiné en masse.

Je m’apprête a nouveau pour la faire passer par-dessus. Meme combat que pour l’autre. Mais le nouveau quai les morts sont nettement plus nombreux. Une fois sur le plancher des vache je ramasse une barre de fer et la fracasse sur le crane d’un mordeur. Mon train a l’air pas trop mal. J’avance peu a peu vers le font du quai. Eclatant quelque tête de plus. Il commence a être chiant, mais surtout très nombreux. Je sais pas si on va pas devoir faire demi tour. Je me retourne vers Leia.

Bon on tente quand même le prochain quai. Je pense que c’est l’avant dernier. Par contre vu le nombre de charognard ça va devenir compliquer.

J’ai chuchoté exprès parce qu’ils sont franchement de plus en plus nombreux. Pendant qu’elle réfléchit a sa réponse je bousille encore un mort mais mon tuyau casse et mon crever finit par continue son avancer sur moi. Je lui mets un coup dans l’articulation du genou qui craque et le fait tomber. Mais il s’agrippe à ma jambe. Fais chier en v’la trois autre en plus je ne vais pas pouvoir les esquiver avec celui la accrocher a moi. J’attrape mon fusil et place trois coups de crosse dans la tête de mon nouveau fan. Par contre j’ai mal évalué la distance avec les trois autre. Ils sont sur moi un peu trop vite je me dégage d’un facilement mais le poids des deux autre me fait tomber. J’arrive a maintenir leur mâchoire hors de portée de moi mais par contre si elle m’aide pas je vais pas tenir longtemps.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMer 12 Avr 2017 - 18:53
Je la suis sur le train suivant et m'arrête, un peu affolée par le nombre de rôdeur dans la gare, nom de dieu, on n'a pas intérêt à faire du bruit. Elle se laisse tomber sur un rôdeur et je fais une grimace en entendant le bruit dégueulasse que fait le rôdeur écrasé par sa chute. Je la rejoins rapidement, utilisant sa main tendue comme appui pour me réceptionner.

Je file checker mon train, qui est rempli de rôdeurs. Pas de bol, peut-être le prochain. Je la rejoins à nouveau sur le toit suivant et réitère l'opération pour descendre. Le train qui m'est assigné n'est pas en super bon état. Complètement vide certes, mais le chassie est complètement pourri et s'il n'y avait aucun passager dedans, c'est probablement qu'il était en maintenance et loin de repartir il y a un an déjà. Je sais que même à l'abris, si la rouille s'est installée, un véhicule peut être réduit à néant en train peu de temps, et c'est ce qui est en train d'arriver au morceau sensé soutenir l'intégralité du poids du train. Inutile donc. Je rejoins Kirasir et passe de l'autre côté du train pour arriver dans l'ère de jeu suivante qui ressemble à une putain de zombie-walk.

Je commence à avancer mais je vois ma coéquipière en situation critique et reviens vite vers elle. Elle est allongée sous deux morts qui essaient de la becter. Je dégaine mon khukuri et tranche une des deux têtes rapidement après avoir mis un coup de pied dans la gueule de celui qui est tombé à l'écart. Il n'en reste plus qu'un sur elle et je l'attrape par les épaules pour le dégager avec de planter la lame de mon épée dans son dos, coupant la colonne vertébrale du monstre en deux et anéantissant par la même occasion toutes ses chances de bouger. Je lui tends la main et l'aide à se relever en lui souriant.

- Je suis la seule ici qui ait le droit de te mordre.

Je lui fais un clin d'oeil et file discrètement me mettre à couvert histoire de ne pas alerter les morts qui ont entendu du bruit. Tant qu'ils ne nous voient pas, ils ne seront pas tant agressifs. Avec le mouvement de foule, une voie se dégage en j'en profite pour rejoindre rapidement ma destination en passant dans le dos des morts. Je grimpe avec bien du mal sur le train et saute sur celui d'à côté pour la rejoindre et l'aider à monter sur le sien. On arrive à la fin des quais et il y a de moins en moins de morts. Mais aussi de moins en moins de trains.

Sans lui donner de préavis, je la prends un coup dans mes bras. J'ai bien cru qu'elle allait crever et j'aime pas trop cette idée. Je m'écarte finalement pour la regarder. Le toit sur lequel on est à l'air solide et je me permet de prendre une position normale sans craindre de traverser à nouveau une foutue paroi.

- Et maintenant ?
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMer 12 Avr 2017 - 21:42
Ils commencent à peser lourdement sur moi. Ce qui a le méchant effet de me couper la respiration. Ce n’est vraiment pas l’idéal quand on doit forcer pour retenir des mâchoires pareilles loin de soi.
Mais je suis soulagée de voir Skywalker rejoindre le combat. Décapitant au passage l’un de mes assaillants avant d’attraper le second. Je la laisse s’en occuper pendant que je me relève et reprends mon souffle.
Je souris a sa remarque. La seule qui a le droit de me mordre. Ouais à voir Riley a eu son petit droit aussi. Mais c’est clair que toi … Allez on reprend l’exploration. C’est vraiment la foule merde. J’ai l’impression d’être une pop star pour adolescent pré pubère, et de me retrouver acculée face a la horde de mes fans qui se trouve entre moi et ma voiture. Sauf que dans le cas présent, on est sur le toit d’un train et les dit fans sont des pantins morbide en manque de chair fraiche. Tiens faudra que j’essaye un truc un jour filer de la met-amphétamine a un mort pour voir l’état.

Ce qu’on fait ? On continue. Celui-là à l’air pas mal on dirait. De ce que j’en vois il n’a pas l’air trop déglingué d’extérieur. Reste à voir s’il y a du monde à l’intérieur.

Je redescends et je prends la tangente vers le train désigné. Lorsqu’on arrive à côté Je prends les clés que j’ai piquées dans le bureau, et ouvre le train. Ca permet enfin de ne pas faire de bruit. Je la fait passer la première. Par contre je ne sais pas d’où vient le bruit sur le quai. Masi y a un ramdam monstrueux. Qui rameute toute la horde sur nous. Y aurait eu quelqu’un qui nous en voudrait sa aurait été pareil. Je la pousse a l’intérieur et referme la porte derrière nous. Les cadavre rapplique a une vitesse de fou et s’agglutine de part et d’autre du train. J’aurais jamais assez de munition sa sert a rien. Et sortir … Par où ? si on ouvre les fenêtre on est morte. Et le toit, y a pas de passage par ici. Réfléchit Lyuba, Réfléchit.

La loco vite on va démarrer cette merde et forcer le passage comme ça.

Je lui attrape la tete te pose mon front contre le sien.

Si on s’en tire. Je t’offre une nuit d’amour comme jamais.

J’ai balance ça comme ça. Même si elle a déjà eu doit la première fois qu’on est parti en vadrouille. Je fonce a travers le Wagon. Il est vide. Je passe dans le suivant idem vide. Suivant deux mort je coure vers la loco explose le premier d’un coup de hache. Ma hache je l’avais oubliée tout ce temps. Pourtant elle était dans mon dos. Je lui laisse le suivant. J’ouvre Wagon 1ere classe. Je traverse y a juste un mort il a déjà été fracassé probablement par d’autre visiteur a un autre moment. Dernière porte mais je ne trouve pas la clé. J’essaye plusieurs et finit par trouver la bonne. La loco. Plus qu’à la faire fonctionner celle-là. Prier la sainte patrie et les couilles des tsars que je me rappelle détournement du train de marchandise entre Toronto et Montréal. J’avais dû jouer les pilotes. Une vaste blague. J’avais eut une semaine d’explication. J’espère que je vais trouver la méthode. Je vérifie qu’elle est derrière moi. Je lui souris puis recommence et tente de me rappeler. Apres vingt bonnes minutes de tentative infructueuse la loco démarre.

Yessssss

Je l’attrape et lui roule un patin monstrueux. Pour le coup c’est limite du miracle parce que je n’ai pas la moindre idée de comment je viens de faire. Je reprends les reines et lance la loco sur la voie. Les morts font barrage. Je sais pas si le monstre de fer va pouvoir faire le poids face à la masse il a pas vraiment de vitesse.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyMer 12 Avr 2017 - 22:41
J'hoche la tête de haut en bas et la suis jusqu'à la porte du wagon. Elle cherche la clé et je décapite un rôdeur qui s'approchait un peu trop près. J'entends un bruit bizarre et lève la tête. Un rôdeur se balance, emprisonné dans un harnais de sécurité. Son collège chargé de l'assurer devait être un sacré bâtard pour ne même pas faire redescendre son ami avant de jouer la fille de l'air. Le rôdeur râle depuis son point de vue et je me rends compte que c'est probablement la première fois qu'il s'agit comme ça. Son harnais a beau être cool, la corde qui le retient est sur le point de claquer. Je le vois tomber et s'écraser sur un kiosque à journaux dans un bruit défiant toute normalité, surtout comparé à nous qui nous efforçons de ne pas faire un bruit depuis tout à l'heure.

Je commence à paniquer en voyant tous les rôdeurs se tourner instantanément vers nous et Kirasir me pousse sans vergogne à l'intérieur du train. Je me ressaisi et regarde les morts s'agglutiner contre les vitres. On va mourir, ça me semble évident. Il n'y a aucun échappatoire, à moins de passer par le toit, je commence à me demander s'il y a des trappes d'accès comme dans les films quand la russe se rend compte qu'elle n'a plus à faire dans la discrétion. Mieux vaut la suivre. Son plan me semble complètement fou mais je souris à sa promesse.

- Je m'en souviendrai.

Je passe derrière elle et trucide le rôdeur qu'elle m'a laissé. Pas que ce soit un plaisir de le faire mais c'est pas à elle de se taper tout le boulot. J'ai du mal à m'arrêter en arrivant dans la locomotive, poussée par mon élan. Mais j'y arrive quand même et la regarde. J'ai de sérieux doutes sur nos capacités à faire avancer ce tas de ferraille. Le train est nettoyé et j'ai pris soin de fermer les portes derrière nous, j'ai même barricadé le dernier wagon pour ne pas être emmerdées au cas où il y aurait plus de morts qu'on ne le pense dans les derniers wagons qui n'ont pas été visités. Au bout de quelques minutes, je m'assied dans un coin, évitant de parler pour ne pas l'empêcher de réfléchir, j'ai bien envie d'aller la tripoter un peu juste pour faire chier mais si on ne démarre pas, ce sera ma dernière fois, je sais me tenir quand il le faut.

Je me relève quand les mécanismes laissent passer des sons encourageant et souris de toutes mes dents en lui faisant signe d'approcher. Je lui rend son baiser au centuple, trop heureuse d'être saine et sauve. Mais il vient le moment où je dois la lâcher pour qu'elle reprenne les commandes. Je me place derrière elle et observe la foule de mort-vivants qui ne demandent qu'à nous bouffer. Estimant qu'elle a désormais plus besoin de courage que de concentration, je me colle à elle dans son dos et glisse une main sous son T-shirt, laissant libre court à mon envie. Tandis que je passe mon autre main entre ses jambes, la tripotant allègrement à travers son jean, je lui parle à l'oreille.

- Continue comme ça et je ne serai pas la seule à me rappeler de ce soir.

Mes lèvres laissent transparaître un sourire carnassier alors que je la vois redoubler d'efforts pour lancer la machinerie lourde. J'ai aucun idée de comment ça marche mais elle a réussi à le faire démarrer, donc ça devrait bien se passer pour le reste. Le rôle de catalyseur de motivation me convient bien mais je me tiens prête au cas où elle aurait besoin d'aide.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyJeu 13 Avr 2017 - 0:26
Mon baiser elle me al rendu au centuple et j’en suis ravie. J’adore cette nana. Même si je suis plus folle dans ma tête, faut avouer qu’elle est du même genre que moi. A la différence que je suis une ex de la bratva.
Bon allez concentration voyons a quoi sert ces manettes, boutons et … Je lève les yeux vers elle. Sa main ayant attrapé mon sein je ne peux réprimer un frisson. J’ai pas le temps d’ouvrir ma gueule que l’autre se glisse entre mes cuisses sous mon jeans.

Tu m’aide pas la princesse

Elle se prépare a se retiré mais je colle mon dos a elle.

J’ai pas dit que ça me déplaisais par contre

Je lui lance un petit sourire narquois et provoquant. Je laisse échapper un petit gémissement de bonheur en sentant ses paumes me caresser. Je rouvre les yeux et appuie sur la pédale d’accélération. Le train démarre et commence à avancer. Les bruits d’écrasement, de presse de corps, d’éclatement de chair, sont immondes et surtout explicite. Sa me file un léger haut le cœur. J’ai l’habitude des truc dégueulasse mais là. C’est franchement moche.

Le train prend un peu de vitesse et les corps sont éjectés de part et d’autre de la voie. Les autres sont simplement broyer sous la loco. On avance franchement et on vient a quitter la gare. Je me détends et lui attrape la nuque pour l’approcher de moi quand un sale bruit me fait paniquer. Y a un truc qui a merde derrière. Je me relève rapidement échappant à son étreinte. Je me penche dehors pour observer l’arrière. Un wagon a déraillé probablement à cause de la masse de corps explosé sur la voie.
Je me retourne vers elle cette fois je panique vraiment. Je vais voir de l’autre cote de la loco. Les wagons déraillent les uns après les autre on va se tuer comme ça faut qu’on saute. On n’a pas le choix. J’ouvre une des portes et la prends dans mes bras. Je saute dans le vide. Mon corps heurte le sol a bonne vitesse on roule le long de la pente assez rapidement. On n’allait pas vite pour un train mais là c’est quand même impressionnant. Heureusement pour nous on est amortie par de multiple buisson branche et truc du genre même de vielles poubelles. Par contre ma tête shoote contre un truc et je perds conscience dos au sol la belle dans mes bars.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyJeu 13 Avr 2017 - 6:37
Je m'amuse bien et le fait qu'on soit de toute manière sur des rails me rassure. Elle commence elle aussi à se détendre quand un truc la fait stresser. Je regarde Kirasir se lever et observer quelque chose derrière nous. Je fais un pas en arrière pour lui laisser la place de bouger à sa guise, ne voyant pas vraiment ce qui peut nous mettre en danger en cet instant. Je vois de la peur dans son regard, de la vraie peur. Ça me terrorise, qu'est-ce qui peut lui foutre la trouille comme ça si ce n'est l'approche d'une mort imminente et inévitable. Je la regarde ouvrir la porte et quand elle me prend dans ses bras, je fais la même chose et enroule mes bras autour d'elle avant de la suivre dans son mouvement.

Tout défile à vitesse grand V et je vois si tôt la lumière du soleil puis la terre et ainsi de suite jusqu'à ce qu'on s'arrête contre une poubelle. On a dévalé toute la pente de la voie ferrée jusqu'à un petit quartier que je ne reconnais pas. Grosse Pointe, c'était pas vraiment mon délire avec l'épidémie. Je regarde Kirasir mais elle a l'air inconsciente.

- Merde. Merde. Merde...

Un grognement se fait entendre et je me redresse au dessus de ma coéquipière, prête à la défendre. Deux infectés avancent vers nous à ma gauche et ma droite. J'élance mon bras de la gauche vers la droite et la tête du zombie qui arrivait du bois tombe. J'utilise mon élan, levant le pied à la droite de Kirasir étendue pour l'ancrer derrière moi comme me l'a appris Alair et je tranche la tête de l'autre zombie. Dieu que cette arme est efficace ! Les têtes ont roulé un peu plus loin mais j'entends encore les mâchoires claquer.

- Kirasir debout !

J'essaie de la secouer, je lui met deux gifles mais rien n'y fait. Je n'ose pas l'embrasser de peur de l'étouffer ni lui faire du bouche à bouche, je n'ai aucune synchronisation souffle/mains et je suis la seule qui a fait exploser le mannequin à la formation de premiers secours. Elle ne répond pas, je jette un regard dans la rue mais il y a seulement un mort qui marche vers nous d'un pas traînant. Je repère une maison dont la porte est ouverte et attrape Kirasir. Je ne l'avais pas remarqué car je suis droitière, mais en la portant, mon poignet gauche m'élance terriblement. Je résiste à la douleur, c'est probablement juste une foulure, au pire une entorse mais ce n'est pas cassé ou je ne bougerais plus la main.

Portant ma camarade dans mes bras devant moi, j'avance à pas rapide vers la maison ouverte. Le monstre s'approche dangereusement de nous et je m'arrête pour lui envoyer un gros kick dans le genou. Il tombe au sol et tend ses mains vers moi alors que je nous éloigne. Je rentre en trombe dans la maison de toute évidence vide, les rôdeurs ne restant jamais à l'intérieur si la porte est ouverte, attirés par les bruits de l'extérieur même lointains, et j'allonge Kirasir sur le canapé du salon. J'ai une bouteille d'eau dans mon sac, je me penche pour la sortir et sens mon dos craquer. Mon couteau attaché parallèlement à ma ceinture à du faire bouger une de mes vertèbres du bas du dos pendant ma chute. Ça ne fait pas du bien mais j'ai l'habitude, ma colonne est une fête foraine.

Je sors tout ce que j'ai emmené avec moi qui puisse m'être utile, ma trousse de secours même si je n'ai aucune idée de quoi faire avec, l'eau, le soda, mes clopes, tout...
Je file ensuite refermer la porte d'entrée et je fais le tour du rez-de-chaussée histoire d'être quand même sûre qu'il n'y a personne d'autre. C'est clean et je reviens vite devant Kirasir. Je suis en train d'écouter sa respiration, elle est tranquille et je crois qu'elle est juste assommée. J'entends des pas dans l'escalier derrière moi et me retourne instantanément en me redressant, prête à un affrontement avec un humain puisqu'un mordeur se serait probablement étendu de tout son long pour descendre l'escalier sur le ventre. C'est un type avec une petite bedaine, la quarantaine bien frappée qui me regarde avec effroi. Il jette un regard à ma compagne et ses multiples tatouages ainsi que sa coupe de cheveux bleus qui me plaisent tant ne semblent pas plus le rassurer que moi avec mon épée en main, habillée quasiment toute en noir et les cheveux tressés en arrière pour ne pas me gêner en situation de crise. Il n'a même pas levé son arme. Je le regarde de haut en bas avant de le fixer dans les yeux en levant ma main non armée et blessée devant moi en signe de calme.

- Détendez-vous, je ne vous ferai pas de mal mais rangez votre arme.

Le type fait un mouvement brusque pour se mettre à couvert entre les deux encadrements de porte. Je pourrais le buter avec le fusil de Kirasir mais il est sous elle, je n'ai pas fais gaffe en la déposant sur le divan.

- À L'AIIIIIIDE !

Ce connard va rameuter tous les morts du quartier. Je dois le faire taire. Je lâche mon épée dans un bruit métallique et sors mon couteau de lancer que je lance dans la jambe qui dépasse. J'ai bien visé et atteins sa cheville, le tendon d'achilles claque comme un coup de fouet, sectionné net et le couteau planté dans l'arrière de la cheville. Il tombe à genou dos à moi et je me précipite. Sortant le couteau dans mon dos. De ma main blessée, j'attrape une poignée de ses cheveux et lui tire la tête en arrière. Il s'apprête à crier à nouveau et je vois sa gorge se dilater. Sous l'impulsion, je lui tranche la gorge d'un coup sec avant de prendre de nouveaux risques inutiles. Cette sortie est déjà un échec total et pour la première fois de ma vie, j'ai tué un homme qui ne m'avait rien fait sinon paniquer au mauvais endroit au mauvais moment. Mais c'est ce genre de moment de panique qui m'ont amenée à me faire séquestrer pendant plusieurs jours par trois connards. Alors qu'il se vide de son sang à mes pieds, je plante mon couteau dans sa tempe pour éviter de me retrouver avec un connard ressuscité.

Avec tout ça, je n'ai pas eu le temps de vérifier les blessures de Kirasir. Je me précipite sur elle pour observe sa tête sous tous les angles. Il y a une grosse bosse qui est en train de se former mais rien d'alarmant, je ne pense pas qu'elle ait de traumatisme. Et je l'entends marmonner des trucs incompréhensibles avant de se rendormir. Je l'installe plus confortablement et m'apprête à attendre le temps qu'il faudra pour qu'elle se réveille. J'ai vu des gens rester assommés pendant des heures après un coup du genre. Je lui en dois vraiment une, elle a beau faire la guerrière sans coeur, elle m'a quand même protégé au point de risquer sa vie. Pour m'occuper, je commence par fouiller le type mort. Son portefeuille indique que c'est un homme de quarante cinq ans du nom de Terry Williams du Tennessee. Il a le permis depuis un bail et ouvrant la seconde poche, je tombe sur une insigne de police. Oh merde ! J'ai buté un flic ! C'est vraiment bizarre qu'il ait réagit comme ça... Peut-être qu'il était poursuivi, si c'est le cas, je ne devrais pas avoir de problèmes, ayant aidé le poursuivant. Mais j'en doute, il a plus l'air du genre à avoir élu domicile là pour quelques jours et il pue, pas juste la mort, la transpi aussi. Il a rien d'autre sur lui qui puisse m'être utile, une paire de lunettes... ah ben d'accord ! C'est pour ça qu'il n'osait pas tirer, doit pas rester grand chose comme balle dans son flingue. Je récupère l'arme et la glisse à ma ceinture avant de monter les marches pour redescendre une minute plus tard, le sac de l'ex-survivant entre les mains. Je m'assieds à la table de la cuisine et le vide sur le plan de travail. Que de la merde ! Je veux dire, il y a un appareil photo qui n'a pas l'air bien utile et qui est déchargé. Un pull super laid et tâché qui plus est. Un album photo et quelques babioles sans importance. Au final, son gun est la seule chose intéressante du lot. Je ne connais pas ce genre de pistolet mais maintenant, je crois que c'est le miens, celui que j'ai mérité pour avoir protégé Kirasir à la suite de notre atterrissage.

Je casse une chaise en la maintenant avec mon pied et en tirant avec ma main pour en faire du petit bois. Je place les morceaux en forme de cône dans la cheminée et à l'aide de ma pierre de survie, je lance un feu. Au moins, elle n'aura pas trop froid. Je balance l'album photo dans la cheminée pour bien lancer mon feu, il ne rappellera plus de souvenirs à personne de toute façon. Je m'installe dans un fauteuil à côté de Kirasir et lui tiens la main en attendant qu'elle reprenne ses esprits. Une heure plus tard, je sens sa poigne se raffermir et je me redresse.
[Pour le gun, je te laisse le choix de m'en attribuer un Razz Choisi bien Wink Je vais passer l'achat à la boutique pour une arme à feu de poing, j'espère que m'a réponse te plaît Very Happy]
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyJeu 13 Avr 2017 - 16:47
Quelque part entre le rêve ou le flashback dans l’inconscience de Lyuba
Banlieue est de Moscou une nuit d’été 20

Putain cette bagnole est vraiment une véritable merde. J’ai le dos en charpie. Je me redresse dans mon siège et regarde mes coéquipiers. Natalya est au volant. Elle dort. Vassily à l’arrière observe le parking sa musique dans les oreilles. Comment il peut écouter ça. Il fait chaud. Je suis en sueur. Je sors faut que je prenne l’air. Le problème de la Russie c’est que les hivers sont franchement rude mais les été quand il fait chaud sont horrible.

Ma montre m’annonce qu’on a dépassé le délai de pratiquement une heure. Ils ne viendront pas on s’est fait enculer. Je prends mon téléphone et compose le numéro.

LYUBA - Grand père on s’est  fait avoir. Ils ne sont toujours pas là. Je ne sais pas qui t’as filé les infos ou qui a pris ce rendez-vous mais y a personne et ça fera une heure bientôt.

Aie, le silence du tsar n’est pas bon. Il reprend la parole mais ce qu’il m’annonce est court bref et surtout me laisse sans voix. Il n’a donné qu’un nom. Et ce nom résonne dans ma tête. Je n’ai pas le temps de lui demander des explications qu’il a déjà raccrocher. Ce nom, Alexander Kreskin. Son propre fils. Mon père si on en croit les registre du FSB. Le ton de la voix du tsar ne laissait pas de doute. Je devais lui ramener. Qu’est ce qui avait bien pu traverser l’esprit du prince. Je M’allume une clope et marche un peu sur l’aire d’autoroute ou on était garé pour attendre l’arrivée des camions. J’entend une portière qui claque puis une seconde. Natalya est réveillée. Vassily s’approche.
VASSILY - Qu’est ce qui se passe Kirasir ?

Je ne dis rien me contentant de tirer de grandes bouffée sur ma clope avant de les recrachée longuement.

NATALYA - Lyuba, ma chérie ? Qu’est ce qui se passe.

Nat depuis un moment nous sommes ensemble. Au grand damne de mon grand-père et de nous-même qui avons gagné nos yeux au niveau du bassin. Tatouage guère glorieux. Mais j’en ait rien à foutre. Je l’aime bien.
Elle s’était approchée et avait posé sa main sur mon épaule. L’homosexualité dans notre milieu est pas vraiment bien vue. Masi j’avais fait taire les quelque détracteur à mon égard. Ce qui avait été sujet a débat. Quand vous pendez un de vos détracteurs mais un chef de groupe. Sa laisse des traces au sein de l’organisation. Mais quand vous le faites avec quatre c’est plus chiant. Alexander Kreskin m’avait appelé le chien fou. Prétextant que j’étais incontrôlable. C’est vrai qu’entre le prince et le tsar la relation était tendue. Et moi la dedans je n’arrangeais pas grand-chose. Mais là ce qui allait se passer risquait de mettre à mal l’organisation

Je me retourne vers mes deux équipiers gratifiant Nat d’un petit sourire. Je pense que lorsque se sera finit j’aurais besoin de me réfugier dans ses bras. Ou de me péter les neurones. Car je sens que la suite de cette soirée va être très très désagréable.

LYUBA - On rentre. Ils ne viendront pas. Par contre avant de revenir on a un autre truc a faire
NATALYA - D’accord chef. Ou va-t-on.
LYUBA - Faut qu’on ramène Le prince au tsar.

Mes deux équipiers se regardent. Mais ce n’est pas une interrogation que je peux lire dans leur yeux plus comme une appréhension de l’avenir proche qui se dessine devant nous. Je grimpe dans la voiture et ferme les yeux. J’ai besoin de faire le vide. Je sais qu’ils savent ou on doit allez.

-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+-+

J’ai mal au crane, mal partout ma cheville me fait mal au même titre que mon poignet. J’ai l’impression d’être revenu comme a la soirée ou j’ai rencontré miss Purple. Mais au moins le sol est plus confortable que cette fois-là. J’entre ouvre les yeux. Une faible lueur de flamme éclaire la pièce. Je suis dans une sorte de salon. Qu’est ce qui c’est passé ?

Natalya ?

Ma main est dans celle d’une autre femme. Merde c’est qui celle-la ? Je me redresse d’un bon et attrape mon flingue. Qu’est-ce que je fous avec un colt python moi ? J’ai toujours eut un désert eagle. Je suis ou la ? Bordel de merde ce n’est pas Moscou ici. Et je suis ou. Ou sont Natalya et Vassily ?

Kto ty? Gde ya? Chto ty delayesh' so mnoy?  Vy rabotayete dlya moyego ottsa?  Vy FSB?  (Qui es-tu ? Où est-ce que je suis ? Qu’est-ce que tu m’as fait ? Tu travailles pour mon père ? t’es du FSB ? )

Mon timbre de voix est franchement russe je parle vite. Mon accent moscovite est des plus présents. Qui qu’elle soit elle me tenait la main et ne m’a pas désarmée. Soit elle est conne soit c’est une allier contre mon père. Et mes hommes ou sont-ils ? oui ça a mère il nous attendais. Masi quand j’ai perdu connaissance ils restaient du monde. Je grimace j’ai franchement mal au crane. Elle porte un Beretta 9mm a la ceinture. Ce n’est pas vraiment le type d’arme des officier du FSB il serait plus du genre Baikal. C’est plus du genre américain pour porter ça. Eventuellement européen.

Rah j’ai la tête qui vrille. Je ferme les yeux et porte mes mains a mes temps. Sa frappe a tout vas dans mon crane. Je grimace et ma cheville me fait soufrir. Je retombe assise sur le divan.

HRP a écrit:
Je t'ai choisi un berreta 9mm y parait que c'est le plus logique pour un flic américain. Sinon y avait le glock 9mm ou 8mm
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyJeu 13 Avr 2017 - 19:07
Finalement Kirasir se réveille et marmonne un truc à propos d'une Natalya. Aucune idée de qui est cette nana. On dirait qu'elle a des flashbacks. Merde ! Elle s'est relevée d'un coup et pointe son flingue dans ma direction. C'est pas une petite arme et je l'ai vu arracher la tête d'un type avec juste une balle. Je ne bouge pas, levant juste doucement les mains au dessus de ma tête pour ne pas être menaçante.

- Chérie, c'est moi. Leïa. Je pige rien à ce que tu racontes.

Pourquoi elle parle en russe ? Elle n'a pas l'air de me reconnaître. Elle doit être sonnée à cause de notre chute. Je la vois se rasseoir et me rapproche d'elle, adoptant une attitude douce est posée.

- Kirasir, on est tombées du train. Tu m'as protégée et je t'ai emmenée ici. T'as comaté pendant une bonne heure. Tu te sens comment ?

Pas bien de toute évidence. Mais à quel point ? Putain, si elle a perdu la mémoire, je suis vraiment mal. Elle a l'air prête à me rouler dessus avec un buldozer s'il le faut. Mais je préfère éviter de crever. Je sais qu'elle est bien plus rapide que moi avec ses armes à feu et ce serait de la connerie d'essayer de la désarmer alors qu'elle ne me reconnait pas. Peut-être que ça la rassurera si elle me sent désarmée. Je lui tends la flingue que j'ai ramassé plus tôt en souriant.

- J'ai trouvé ça sur ce type. - Je pointe le cadavre du doigt - Il criait au point de réveiller les morts. Tu sais ce que c'est ? Il y a des balles dedans ?

Même pas foutue de faire sortir le chargeur du manche, mais je n'ai pas osé toucher à l'arme de peur de tirer accidentellement un coup de feu qui aurait attiré tout le voisinage vers une Kirasir endormie profondément.
Je suis vraiment soulagée de la voir se réveiller. La pauvre est restée inconsciente pendant beaucoup trop longtemps à mon goût. Je me suis mise à genoux quand elle se réveillait et j'y suis toujours, agenouillée au pied du canapé en essayant de réconforter ma coéquipière le temps qu'elle retrouve ses esprits. Lui mettre une seconde arme dans les mains n'est peut-être pas la bonne chose à faire mais j'ai confiance, et au pire, elle me butera et tout ça sera fini pour moi. Je me penche vers elle sans jeter le moindre regard au canon du colt.

- Tu as un endroit sûr où je peux t'emmener ? T'as besoin de repos.

Même s'il faut que je la porte sur trois kilomètres, le fait qu'elle se soit réveillée m'a donné assez d'énergie pour soulever des montagnes. Au moins, je dormirai bien cette nuit après toutes ces émotions.
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyJeu 13 Avr 2017 - 20:46
Elle me parle en anglais. Mais je comprends. Depuis quand je comprends l’anglais moi ? Sa voie résonne dans mon crane comme si j’étais sous la cloche d’une église. Elle connait mon surnom, Kirasir, m’appelle chérie. On est proche ? Mais merde qui sait ? Elle dit se nommé Leïa. Je ne connais personne avec un nom pareil. Elle parle de train, de chute, je ne comprends rien. On est ou là ?

Je tente de me relever mais ma cheville m’envoie une décharge de douleur qui me fait tomber a genoux. Je me tape dans le fauteuil tant bien que mal  te la voilà qui s’approche de moi lentement, doucement, Dans une précaution extrême. Presque bienveillante a mon égard. Elle semble inquiète sincèrement. Putain que c’est-il passé. Je ne me rappel de rien. Alors que je tente de reprendre le fils des choses elle me tend une arme le fameux beretta. Je le prends rapidement. Et range le colt. Je vérifie l’arme il est chargé le chargeur est plein. De ce que je comprends elle a tué quelqu’un qui criait et qui avait cette arme. Elle n’est donc pas une flic. FSB peut être. Mais j’en doute vu la façon qu’elle a de ce comporter avec moi et le fait de me parler anglais.  

Je me laisse tomber contre le dossier. Mon dos me fait souffrir aussi. C’est atroce. Je ferme les yeux et tente de me rappeler. Les derniers souvenirs que j’ai c’est l’intervention dans le restaurant de mon père. Et même là c’est confus. Je me rappel être entrée avec Nat et Vassily. Y avait du monde. Des civils, des notable, mais aussi les hommes du prince : Georgy, Sonja, Vladimir, Anatoly. J’en passe. Qu’est e qui c’est passé. Je fronce les sourcils. La suite est floue je ne me rappel pas. Si il avait accepté de me suivre le plus calmement du monde. Le genre de chose à laquelle on ne s’était absolument pas attendu. Mais alors ou suis-je la maintenant ?

Je ré-ouvre les yeux. Le feu crépite et baigne la pièce d’une lumière chaude et apaisante. J’ai toujours adoré le feu. Masi y a quelque chose qui cloche Elle me regarde toujours avec ce regard mi implorant mi inquiète. Cette fille tien a moi d’une façon ou d’une autre. Et je sais franchement pas qui elle est. Je tente de parler en lui donnant des mots anglais mais c’est incompréhensible. Même moi je pige pas mon anglais, et avec mon accent c’est pathétique.

Da, u menya yest' kvartira. my dolzhny pereyti k sleduyushchemu adresu Suzdal'skiy pr. Blok 15x1 (Oui, j'ai une appartement. il faut qu'on aille à l'adresse suivante Suzdal'skiy pr. Bloc 15x1)

Je me relève m’appuyant sur ma jambe valide. Mais une fois bien droite ma cheville me revois une douleur elle est surement foulée, et sérieusement en plus vu la douleur. Masi mon dos me fait mal aussi si bien que je m’écroule par terre inconsciente à nouveau.

HRP a écrit:
FIN du RP pour moi suite plus tard pour la recherche de mémoire. Merci a toi pour ce super partenariat. Leia peut trouver dans les poche de Lyuba un prospectus de l’hôtel ou elle a établis son campement avec sur le plan du prospectus publicitaire d’autre zone. Si Leïa se rends a ces endroit elle trouvera des indications morbides adressée a Riley pour un rencard. Voir le RP « visite nocturne avec Riley premier post pour plus d’indication quand à l’état de la bâtisse et le reste
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MessageSujet: Re: Un dernier train pour la survie   Un dernier train pour la survie EmptyJeu 13 Avr 2017 - 21:20
Elle a l'air perdue, mais au moins, j'ai la chance de ne pas reconnaître la terreur comme dans la locomotive. Son expression me glace le sang rien que d'y penser, une vraie peur. La preuve que danser la polka deux fois dans un bar n'aide en rien à comprendre le russe, je me sens toujours autant étrangère quand elle reprend la parole. Elle a parlé de bloc, mais ça peut vouloir dire tellement de choses. Je remarque un truc qui sort de sa poche, comme un bout de papier.
Je la regarde dans les yeux et me penche en avant pour tendre la main vers l'objet en question. Je le tire d'un geste vif et l'ouvre devant moi, lui laissant la possibilité de voir de quoi il s'agit.

C'est un dépliant pour un hôtel dans le centre-ville. L'endroit est entouré sur le plan et il y a d'autres endroits. Je la regarde en souriant, je connais l'endroit, c'est dans la salle de réception de cet hôtel qu'ils avaient organisé mon bal de finissants de mon premier cycle. Ça ne s'était pas super bien passé d'ailleurs...

- Je sais où c'est.

Elle a pas l'air d'y comprendre grand chose non-plus mais je pense que ça doit être sa planque, ou au moins un endroit important pour elle. Ayant à nouveau un objectif, mes sens se remettent en alerte et je prends appuis sur mes genoux pour me relever vers l'arrière. Je ne lui reprend pas mon arme, elle me la rendra quand elle se souviendra de qui je suis, j'espère qu'elle s'en souviendra.

Je réfléchis à un moyen de rejoindre l'hôtel. Ma moto serait bien utile en ce moment mais je suis venue à pied, enfin en train mais de toute façon sinon, la moto serait restée à la gare ce qui ne nous avancerait pas plus.

- Ok ma belle, reste-là et reprends tes esprits. Je vais trouver un moyen de rejoindre ta planque.

Je lui souris de toutes mes dents, la situation est quand même nulle, une heure après m'avoir promis une nuit d'enfer, elle ne se souvient même plus de moi.

- Et je ne comprends toujours rien à ce que tu dis, je suis américaine.

Je ne suis même pas sûre qu'elle me comprenne mais bon... Les traumatismes peuvent être bizarres des fois. Mais j'ai une idée, j'ai sorti un trousseau de clés du sac du type tout à l'heure mais je ne m'y suis pas intéressée, n'en voyant pas l'utilité. Mais je me rappelle qu'il y avait une clé de voiture. Je récupère le trousseau et passe la porte d'entrée. Il y a un déterré dans la rue qui s'approche de moi mais il se prend un grand coup d'épée dans la gueule et tombe à côté du chemin. Je saisi la clé et presse sur le bouton de déverrouillage. Un "bip bip" toujours aussi significatif retenti à quelques mètres de moi et j'ouvre la portière d'une berline Wolkswagen. Il y a un tas de babioles à l'arrière et une bouteille de scotch à moitié bue. Je vire toutes les conneries de la banquette arrière au cas où Kirasir préférerait s'allonger et referme la portière. Je rengaine mon arme et reviens dans la maison. Je souris à Kirasir en montrant la clé de la voiture. Il faudra attendre d'avoir démarré pour connaître le niveau d'essence mais ça devrait être bon, il avait l'air prêt à repartir.

- Notre carrosse est avancé.

Je garde la clé, mon premier réflexe aurait été de la lui lancer mais je me repose beaucoup sur elle, la croyant plus résistante qu'elle ne l'est et c'est parce qu'elle a voulu me protéger qu'elle est dans cette confusion. De toute manière, je sais conduire même si j'ai toujours trouvé les voitures bien trop lourdes et lentes.

[quote=HRP]C'est super ! Du coup, j'ouvrirai le nouveau RP dans Detroit lundi Smile À bientôt et bon weekend ![/quote]
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