Avant l'apocalyspe[/i]
Birth>
Aube est née le 25 Mai 2003 dans le Salt Lake Regional Medical Center à 18h
Mais l'accouchement eu de graves complications, la mère n'était pas prête à accoucher d'un bébé, les médecins durent pratiquer une césarienne qui échoua à cause de leur incompétence.
Sa mère qui se prénommait Allison mourut dans la nuit laissant son Mari et sa fille seule au monde.
Les premières années de sa vie furent dures et éprouvantes même pour une petite fille
Son père en deuil commença à boire de plus en plus en arrivant même à se droguer dépensant ce qui restait de leur argent.
Il pensait même sa fille était la responsable de la mort de sa femme
L'Impensable se produit, il frappa sa fille.
De ce fait les services sociaux lui révoquèrent sa garde et la placèrent dans un pensionnat au frais de l'Etat.
Sa vie commença à se calmer après ça mais, ce n'était finit
Elle eu énormément de mal à s'intégrer.
Elle rendit visite à son père tous les trois mois.
Mais son état ne s'améliora pas.
L'ApocalyspeCommencement du cauchemarQu'est ce qu'à bien pu encore faire mon père pour m’appeler et me dire de venir le voir et que c'est une urgence.
Espérons pour lui qu'il avait un bonne raison, car j'ai dû supporter ces stupides accompagnateurs qui ne voient pas plus loin que leur nez pendant tout le voyage.
Mon père habite dans une grande tour dans le centre de Seattle.
Cette ville est si différente de Salt c'est comme si on voyageait du passé jusqu'au futur, tout est plus grand, beau, luisant, dynamique.
Je me diriges à grands pas vers la porte d'entrée du building.
Quand on y pense je ne sais même pas comment mon alcoolique de père à pu s'offrir un appartement comme celui-ci.Etant que je le retrouve souvent pratiquement ivre mort et affalé sur la canapé quand je lui rends visite.
Je sonne,
personne ne réponds bizarre
Sur la route, la radio à annoncé que quelque coupure de courant touchait le pays sans raison, mais selon eux ce n'est pas si grave.
Plus qu'une seule chose à faire....
Dayle m'a montré un jour comment faire.
Celui là je me demande comment il a fait pour savoir crocheter des portes à notre age mais bon je ne vais pas m'en plaindre.
Je sors, le plume "Waterman" que mon père m'a offert il y a 1 ans,
sûrement un de ses seul moment de lucidité.
J'insère la pointe dans la serrure et tourne minutieusement de droite à gauche en espérant la débloquer.
Un déclic se fait entendre.
Parfait.
Je me demande comment un immeuble pour gens fortunés à pu autant négliger la sécurité au niveau de leur porte.
J'entends des pas derrière et une voix grave retentis :
-Hé p'tite tu fais quoi là !
Je m'empresse de refermer la porte.
Il est sur son pas.
Je le,fixe il me fixe.
Ses habits sont sales et complètement usée.
Son front est perlé de goutte.
J’aperçois une morsure sur avant-bras.
Un chien errant cela ne m'étonnerait pas.
Je lui tourne le dos et m'élance vers la cage d'escalier.
Je monte quatre à quatre les deux étages qui me sépare de l'appartement de mon père
Arrivé sur son palier, je toque à sa porte
Rien aucun bruit.
Je prends le doubles des ses clés à l'arrière de mon short et déverrouille la porte.
Je rentre, tout est calme ce qui est étrange.
-Papa ! C'est moi je suis venue te voir.J'avance jusque dans le salon mais, une odeur putride m'assaille.
-P'pa qu'est ce que tu as encore fais ça empeste ici !Je vais jusqu'a la chambre de mon père tourne doucement la poignet de sa porte.
Je vois mon père sur le dos dans son lit.
Cela pue vraiment à l'intérieur, des mouches volettent un peu partout.
Je m'approche du lit abandonnant toute prudence.
Je le retourne avec peine.
Sauf que c'est un regard vide, laiteux, MORT qui m’accueille.
Je me rapproche de lui, met ma main sur son front.
Il n'y qu'un mot pour décrire ce que je ressentis le FROID.
Son visage se rapproche du mien.
Sauf qu'il a toujours la bouche ouverte, ses dents son noirâtre et jaune.
Je me dégage vivement de lui.
-Papa qu'est ce que tu as encore pris !Il lâcha un râle et tomba à terre.
Soudain il rampa, comme si son seul objectif était de m'attraper.
Sa main droite agrippa une de mes nikes
-Papa qu'est ce qu'il t'arrive arrête !Je lui donne un coup de pied dans le front mais, il ne réagit pas.
Je sortis en courant de la chambre.
Sa tête passa dans l’entrebâillement et je crois qu'à cet instant mon instinct de survie pris le dessus il était évident qu'il veut me faire du mal alors j'écrase la porte sur sa tête
Ses épaules s’affaissèrent et dans un dernier râle il partit
Un sentiment froid, sombre s'empara de moi, m'empêchant de respirer.
Je jette un regards à mon défunt père.
Et je vomis ce que je pense être mon petit-déjeuner et déjeuner
Je pense qu'on peut faire une croix sur la propreté
Je souris seul....
J'ai tué mon père !
Des larmes commencèrent à perler sur mes joues
Quelque heures plus tard
10/08/2014 17h45
Je crois que j'ai tellement pleuré que je ne peux plus.
Je me leva en m'appuyais sur le mur à ma gauche.
Et d'un pas chancelant je vais jusque dans la salle de bain.
Je me vois, j'ai les joue rouges, du sang tâche mes habits et perle mon front le...sang....de mon père.
Il faut que j'arrête de penser à lui.
Il faut que je prévienne quelqu'un mais si j'appelle la police il me suspecteront de son meurtre.
Que faire ?
Peut être que la meilleure solution et de cacher et de partir mais ou et comment car je n'arrive même pas à le regarder sans pleurer c'était peut être un connar* finit mais son sang coule dans le mien.
Sur le toit ? Non il y a sûrement des caméras qui surveille les couloirs.
Dans la baignoire !
Avec de l'eau comme ça cela déguisera sa mort.
Mais avant il faut que je mange.
Mais, la seul que je sais cuisiner ce sont des pauvres pâtes alors je ne vais pas aller loin.
Deux jours plus tard 12/08/2014 7h
Je crois que vers 18h j'ai arrêté de penser me suis affaler sur le canapé et je me suis endormie cela m'a fit un bien fou du pur bonheur.
Je n'ai rien fais hier aussi si on considère que essayé d'enlever cette sale odeur et penser à comment se débarrasser du cadavre de son père n'est pas une occupation en soi.
Je me sens prête à toucher au cadavre.
Je le pris par les aisselles et le traîna jusque dans la baignoire chose faite je fis couler l'eau et alla voir s'il y avait du sang, il y en avait énormément encore une fois le sentiment d'hier revint m'assaillir j'essaye de le repousser en vain.
Quelque minutes plus tardJe pu enfin me relever, je vois l'eau passer par la porte de la salle de bain.
-Merde merde merde ! Quelle conne je suis !
J'accours jusqu’à la baignoire manque de m'affaler par terre et je coupa l'arrivée de l'eau.
Le corps flottait
-Génial de mieux en mieux
Je marche jusqu'au placard qui lui sert à ranger les serpillières et compagnie.
6 heures plus tardJ'ai enfin terminer ma besogne je me suis transformé en femme de ménage ou quoi !
J'ai si mal au dos et au bras.
Je m'affale sur le canapé que je connais si bien et allume la télé.
Demain je serais enfin de retour à Salt loin de toute cette folie.
Je commence à zapper de chaîne en chaîne et tombe sur Fox News.
Les présentateur on un air grave, que c'est il passé ? Un attentat.
Le présentateur homme prit la parole.
- Mesdames et Messieurs voici l'état actuel de ce mal étrange qui touche une grande partie de notre nation.
Selon les autorités c'est un Virus qui plonge dans le coma toute personne ayant été en contact physique avec les infectés pour finalement le réveiller dans une période de 1 minutes à 6 heures à partir de ce moment il n'ont plus qu'un seul objectif mordre
comme si on leur enlevais leur humanité.
Alicia Marshall experte sur les questions sanitaires va vous expliquez pourquoi les malades développent ces symptômes.
-Tout d'abord, merci de me laisser la parole.
Nous pensons que ce virus est une souche de la rage ne touchant que les humains, comme là si brillamment Mr Stiles, c'est maladie rend fou les patients !
Les symptômes sont sûrement une apparition d'un très forte fièvre et une paralysie des muscles
Mais ne vous inquiétez tout est sous contrôle
Ma bouche se décrocha pratiquement, mon étonnement est si grand, comment un virus peut faire ça ! Peut être que c'est à cause de ça que papa à essayer de m'attaquer...
Bon pour retourner à Salt c'est mort.
Autant profiter de l'appartement le temps que cette folie s'arrête.
4 jours plus tardsLes sirènes commencent à retentir de plus en plus souvent.
Les messages de prévention continue de pulluler sur toutes les chaînes
"Restez calme, restez dans vos maisons, préparez des provisions, n'ouvrez à personne"
Je pense avoir compris...
Des hélicoptères survolent Seattle de temps à autre
Tous essayent de comprendre quand tout ce bordel à commencer certain prétendent que c'est à cause des émeutes de la semaine dernière.
Les plus rationnels à cause de l'opération de notre chère armée en Afghanistan.
Des adeptes des Illuminaty : que le gouvernement est impliqué dedans et qu'ils veulent réduire la population mondiale pour sauver la planète...
Que des conner*** selon moi
Ce qui est étrange c'est que tout est calme.
Rien aucun bruit
Quand j'y pense je n'ai jamais vu le concierge.
Les gens sont vraiment si discrets ici ?
18/08/201419hJe me décide enfin à rentrer dans ma chambre rien n'a changé depuis mes 8 ans.
Mes poupées sont toutes alignées soigneusement au mur.
Mon faux lit à baldaquin rose est toujours là.
Bon dieux que je déteste ce lit et cette couleur maintenant.
Tous mes livres sont alignés dans l'étagère.
Beaucoup de Stephen King que je ramenais ici, car je n'avais assez de place au pensionnat.
Un sentiment pesant m'assaille
Je revois mon père me gifler des dizaines de fois sur le mur gauche.
Car j'avais posé des questions sur maman et que j'avais refusé de manger tant qu'il ne répondrais pas.
Ce fut sûrement la pire nuit de toute ma petite existence
Il m'enferma dans ma chambre pendant deux longs jours.
Mais je réussis à contacter la police en forçant la poignet de la porte pendant qu'il dormait.
Finalement pas question de dormir dedans.
Je pris un des thrillers de Stephen, et je retournis sur le canapé.
2 heures plus tardLe sommeil commença tel une ombre commença à me happer.
Mon esprit sombra dans un sommeil sans rêves.
5 heures plus tardUne odeur âcre me réveilla en sursaut, cela sentait le brûlé.
Je tire les rideaux qui n'avait pas été ouvert depuis une bonne semaine et je vis des rideau de flammes au loin.
Je m'empressa d'allumer la télé et de me "connecter" à la chaîne locale.
Une présentatrice qui a la cinquantaine informa ses téléspectateur que un départ de feu à été signalé il y a moins de 2 heures dans le quartier industriel.
-C'est pas possible ! criais-je
La situation soit disant contrôlée commence vraiment à dégénérer.
Il faut partir.
Je courus jusqu'à à la cuisine pris un couteau de cuisine courus jusqu'à la chambre de papa, je récupère son sac et son matériel de camping qu'il stockait.Il adorait passer ses Weekend seul dans la nature.
Résultat des courses :
Un sac, un sac de couchages, une thermos, quelque barres de céréales
La tente est impossible à transporter trop encombrantes et je ne sais même pas la monter.
La télé qui continuait à débiter son flot d'informations lâcha une phrase qui retins mon attention
"L'Etat vient d'annoncer que les infectés se trouve dans un état de mort cérébral quand ils se réaniment et qu'ils sont insensible à la douleur"
-Décidément c'est.....euh...Charcuteurs on vraiment décidés de pourrir la vie à tout le monde
Je pris le sac , le mis sur mes épaules.
Il est tellement lourd
Je sens que mes petites épaules vont en souffrir, mais bon je préfère ça que de partir sans rien.
J'ouvris la porte d'entrée.
Toutes les lumières du couloir sont éteintes.Sauf une qui clignotent tout au fond juste à côté de l'ascenseur
Je ne vais pas m'y risquer.
Je descends la cage d'escalier
Au troisième étages, les tapisseries était arraché.
Du sang perlait tout autour.
Cette étrange sentiment. Mélange de peur et de nausée revint à la charge,
je m'empresse de quitter cette étage de malheur.
Au rez de chaussée, deux corps se tiennent dans les bras à côté de l'accueil.
Tout ces morts, toute cette violence.
Comment ai-je fais pour ne rien entendre ?
Je pousse la porte.
Dehors l'ai est humide et chaud
Des voitures sont placé un peu partout,
Les sirène hurlent
Des infectés mordre les gens à leur portée.
J'aperçois un bouche placé sur le côté.
Il faut que je quitte toute cette folie,cet odeur putride me rends malade.
Je descends petit à petit les barreaux la peur de tomber sur un infecté me bloque la poitrine.
En périphérie de la ville
Je jette un dernier regard à la cité d'émeraude.
Et m'élance vers l'inconnue quittant tout ce chaos et sûrement une mort assurée.
Rien que d'y penser cela me fait froid dans le dos.
12 Octobre 2014 19h23Cher journal
Je t'ai trouvé dans une école primaire désaffectée, tu semblais appartenir à un petit enfant qui n'a jamais eu le temps de t'utiliser.
J'écris en espérant que quelqu'un lise un jour ma descente en enfer.
Je me sens si seul, la plupart des gens que j'ai rencontrés sont totalement désœuvrées ou ont des têtes d'enterrement *FRISSONS* ils se dirigent tous au NORD je ne sais pas ce qu'ils attendent de la terre glacé qui nous sers de voisin mais bon...
Moi je n'ai pus aucun but appart survivre.
Aucun itinéraire rien
Jusque là je m'en suis sortis en restant dans les petits villages et en fouillant les maisons.
Mais ils commencent à faire froid.
Et tout ce que je trouve pour l'instant ce n'est que des terres désolées, brûlées, meurtri par notre passage.
La seul direction que je prends est l'Est.
Qu'est ce que je donnerais pour un vrai repas, de l'eau propre , de l'électricité et un livre.
Il y a moins d'un mois j'ai trouvé une maison avec des panneaux solaires.
La télé fonctionnait ! J'ai remarqué qu'il n'y avait pratiquement plus qu'une chaîne encore active.
Washington a arrêté de transmettre.
Reste-il un semblant d'ordre j'en doute.
Je suis dans la ferme de ce qu'il reste d'un fermier.
Je pourrais rester là mais j'ai peur que quelqu'un ne me trouve et ait des mauvaises intentions.
Alors j'ai peur.J'ai tout le temps peur.
Peur de me réveiller en sursaut et d'avoir un Charcuteur pas loin de moi.
Peur de me blessé.
Peur d'avoir faim.
Et toute sorte de truc comme ça.
Je pense que la peur est le sentiment que je connais le mieux maintenant
C'est cette envie irrépressible de prendre ses jambes à son cou de ne pas se retourner ou avoir envie de se terrer pour les restant de ses jours
Alors je survis ne pensant que à ça...
Je suppose qu'on est revenue au temps de nos illustres ancêtres les Homo Erectus et compagnie qui n'avait qu'une seule occupation dans leur petite vie SURVIVRE
Mais la seule bonne nouvelle de la journée comme a pu en douter mon futur lecteur c'est que je suis toujours en vie GENIAL Survive or DIE24 Décembre 2014Chers journal
cela fait déjà quelques mois que je n'ai pas écris.
Trop de choses à faire sûrement entre éviter les autres et trouver à manger c'est beaucoup d'occupation tout ça !
Mais je me surprends des fois à dire "Bonjour" à certains arbres que je rencontre suis-je entrain de devenir folle au point de parler aux arbres
Si cela continue comme ça je vais même leur parler de la pluie et du beau temps.
Je crois dans le mois de novembre, les militaires ont voulue incendiés les grandes villes. Sûrement pour éliminer c'est mort. Je ne sais pas si c'est une réussite et je ne vais pas pour autant vérifier.
Je crois que je suis dans le Wisconsin, difficile de situer.
Le sommeil commence à me happer, je pense que je vais arrêter d'écrire..
Espérons que je ne me fasse pas manger pendant mon sommeil.
C'était Aube.7 Février 2016 Je crois que cela fait plus d'un an que je n'ai pas écris, je n'ai sûrement pas d'excuses sauf une....
Vers Avril j'ai trouvé une épicerie remplit de conserves.
Depuis plus le temps d'écrire selon moi, éviter les Charcuteurs, les gens, et tout plein de bonnes choses.
Je suis dans le Michigan.
Je pense arrêter de vouloir écrire sur ce stupide bloc notes.
Je suis si fatiguée, j'ai froid, je suis si seul.
Je ne sais plus pourquoi vivre.
Aurevoir. Aube regarda le bloc-notes le rangea dans son sac,puis elle leva les yeux au ciel, il fait nuit, le vent souffle dans ses oreilles.
Que faire?
Survivre ou mettre fin à ce cauchemar.[Merci d'avoir lu ce Background l'inspiration à la fin n'y était plus j'ai décidés de moins détailler car sinon cela aurait durer trop longtemps]