Protectrice - Directe - Têtue- Franche - Blagueuse - Déterminé - Arrogante - Courageuse - Na pas froid aux yeux - Jalouse- Charmeuse  - Observatrice - Orgueilleuse - Sensible - Artistique - créative - Méfiante - Rancunière - Dure envers soi-même

Harley était ce genre de fille totalement sociale, connue pour son sourire rayonnant, son caractère enjôleur et totalement apaisant. Elle était ce genre de fille ou le sourire était installé en permanence et là ou le bonheur semblait l’habiter à chaque seconde de la journée. Mais tout ça à changer. Cette jeune Harley n’a pas disparu, mais elle se fait, disons plus rare, affectée par toutes ces tueries qu’elle a dû accomplir pour sa propre vie ou celle de ceux qui lui était chers. Elle n’est pas devenue quelqu’un d’autre, elle a seulement évolué. Elle est devenue plus forte, mais son désire de sauvé des gens à prit une grande importance dans sa vie et elle doit apprendre que dans cette nouvelle vie, mourir est devenue habituel.

Parce que notre vie n’était pas la plus parfaite, mais souvent quand on est plongé dans nos habitudes, dans notre petit train- trains habituelles, nous ne voyons pas à quel point nous sommes bien... Une maison chaleureuse, des parents aiment malgré le divorce difficile et ces moments qui nous semblent si normaux, mais qu’aujourd’hui, je ferai tout pour revivre ces souvenirs significatifs. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Est-ce que tu te rappelles de notre dernier voyage en famille, le soleil de l’Espagne qui nous tapait sur la tête alors qu’on se disait que c’était sûrement la dernière fois qu’on voyait maman et papa réuni... La musique, nos cours de danses à l’œuvre alors que nos parents se mettaient à rire et dansée avec nous. Souvient toi de ces soirées films le vendredi soir alors que la maison familiale empestait la pizza et toute cette nourriture qui venait que de temps à autre. On finissait toujours en pyjama se disputant, se poussant pour avoir le coin du sofa et même si on savait que trop bien qu’on finirait de toute façon coucher sur l’épaule de l’autre... Qu’est-ce que je ferais pour revenir en arrière et profiter qu’un instant de ces moments marquants.

Sofia... Aujourd’hui  j’ai vu quelque chose qui m’a fait penser à toi... Sur la route, j’ai cru que j’y n’arriverais pas... Que je finirais moi aussi avec ce foutu
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]  parasite qui ta attaquer il y a de ça... déjà peut être trois mois... Je suis tombé sur une voiture ou j’ai vu deux sœurs mortes dans les bras d’une et de l’autre. Je sais que je n’ais pas toujours été la meilleure grande sœur, mais même si je te laissais croire que ton manège de venir me rejoindre en pleine nuit m’énervait, en fait, il me faisait totalement plaisir. Tu étais comme ma jumelle, ma petite sœur adorée qui me faisaient s’y sourire. Tu étais ce petit soleil qui me comprenait et qui était si enrichissant. Tu étais celle qui me donnait tant de force autrefois, mais réalisé qu’en fait aujourd’hui tu n’as plus de ce monde, ça me fait autant de mal... Sofia, je t’aime petite sœur... prends soin de maman et papa à présent.


Après quelques mois j’ai enfin retrouvé notre maison familiale et de voir cet endroit dans un tel état m'a pincé le cœur. Est-ce que tu te rappelles de la grange que maman avait rénovée? Ça nous avait pris un été entier et voilà  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]qu’elle est totalement... abandonnée. La peinture est écaillée, les vitres sont brisées et je crois qu’un feu est né à l’intérieur; il y a déjà un moment. Sasha et Pearl n’y sont plus et je crois même que le cheval de maman a été dévoré... La maison a été dévalisée, tout est de travers, mais j’ai réussi à récupérer des photos de nous. Je sais que ce n’est peut-être pas la meilleure des choses, mais je n’y arriverais pas sans ça. Si tu savais à quel point j’ai dû tuer pour survivre...

Arrivé à Détroit, j’avais décidé de prendre un chemin différent. Je sais que les autres avec qui je faisais le chemin ne pouvaient pas comprendre mon désir de revenir à l’écurie de ma famille. Puis, je peux les comprendre, car en fait... ils ne souhaitaient qu’un endroit sécuritaire pour leur propre vie. J’ai donc pris le chemin seul emmitouflé dans le manteau trouvé quelques semaines plus tôt. J’étais si propre de mon but et même si je savais que j’allais ressentir ce pincement au cœur, je devais y aller. Peut-être pas pour longtemps, mais vous savez, quand vous vous raccrochez à des souvenirs c’est impossible de passé à côté.

J’aurais cru que le chemin aurait été... plus difficile, mais en fait, je retrouvais une sorte de force perdue, comme si j’allais retrouver la partie d’humanité qui me manquait depuis ce foutu drame. Mais au lieu de retrouver cette sorte de bonheur que nous cherchons tous, j’ai découvert qu’une sorte de tristesse. Malgré le mal que notre demeure avait vécu depuis ces six mois, je revoyais tous ces souvenirs qui me hanteront à jamais. Tous ces photos n’ont pas bougé, tout c’est petit détail tel que les portes de chambres fermé, le rideau à peine tiré dans le salon et dans la cuisine était encore présent comme si c’était encore hier qu’on y vivait. Quoique la poussière a pris possession ainsi que les survivants qui ont passé depuis le déclenchement de cette apocalypse. J'ai monté à l’étage souhaitant peut-être te voir surgir dans le cadre de la porte et me tirer à l’intérieur de ta chambre pour parler de garçon ou... autre... Mais rien. Ta chambre est encore là, à peine identique que quand on est partie voir notre père... Sauf que je l’ai retrouvé ton Monsieur Teddy. Ton ourson en peluche était encore au sommet de ton étagère beaucoup trop haute pour moi et j’ai passé à deux doigts de me fracasser le crâne au sol en l’attrapant. Puis notre piano... J’ai glissé mes doigts le long des touches comme j’avais tant l’habitude de le faire. Le son en ait sortit et le bruit des pas de notre chien me manquait à ce moment. Un nouveau pincement au cœur m’a pris.

Après trois jours enfuis dans mes souvenirs, j'ai réussir à sortir de la maison des Santos vide et sans vie définitivement. Prenant la fameuse XPR Winchester à notre père je me dirigeai vers l’hôpital de Détroit. Peut-être que je pourrais apporter mon aide malgré toute cette douleur qui m’habite.


Harley à rejoint l'hôpital il y a de ça 2 mois et demi.