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Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...
In Your Flesh :: Last pub before the end of the world :: Archives :: Fiches de Présentation

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MessageSujet: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 15:08

Dernière édition par Maeva Anderson le Mar 25 Sep 2018 - 14:56, édité 8 fois
Maeva Anderson13/11/1990 (26 ans ans). Etudiante en Histoire, barmaid dans un pub pour financer ses études et son logement. En couple, avec un garçon dont elle a été séparée dès le début de l'Apocalypse Bisexuelle, ayant une préférence pour les courbes viriles et les muscles saillants, appréciant l'étreinte protectrice de son amant. L'Arène ft. Cindy Mello
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Informations générales

Caractère
Maeva. Fille d'un enquêteur de police trop souvent absent, elle a grandit avec des responsabilités, des responsabilité plus importante que les filles de son âge. Elle se devait de ne pas trop dépendre de son paternel. Son père ne s'était jamais remis de la mort de son épouse et avait noyer son chagrin dans l'alcool, ayant des pensées suicidaires, bien qu'il ne voulait pas entendre le mot dépressif. Ce n'était pas dans son vocabulaire. Ainsi, la jeune femme avait l'habitude de l'assister, elle avait appris à cuisiner, s'occupait des tâches ménagères pendant son temps libre. Jeune, elle était une jeune fille timide et introvertie. Elle était la fille dont on se moquait, dont on tirait les cheveux, qu'on faisait tomber par-terre alors qu'elle avait son plateau repas dans les mains. Elle a surmontée chaque épreuve, lentement, difficilement. Son père lui a appris à devenir le chien de berger, de ne plus être l'agneau. Elle a répondu et plus personne n'a oser l'intimider. Elle était méfiante, craignant dans son adolescence que les autres venaient à elle pour la rabaisser, ce qui n'était pas le cas. La jeune américaine avait un tempérament impulsif, et un goût pour la justice, une des nombreuses chose que lui avait transmise son père. Ceux qui connaissaient son paternel disaient d'elle qu'elle avait son caractère de cochon. Pourtant, beaucoup de choses distinguaient le père de sa fille, la prunelle de ses yeux. Avec son visage doux, innocent, candide, on lui donnait le bon dieu sans confession. Elle était chaleureuse, attentionnée, douce avec les rares personnes de son entourage, un rayon de soleil, un rayon de soleil qui n'atteignait pas son père qu'elle avait déjà surpris à jouer à la roulette russe, le retrouvant inconscient dans la petite cuisine, une bière en main. Elle a le cœur sur la main, pardonnant facilement. Comme à son petit ami, si il leur arrivait de se disputer, elle le pardonnait ou venait lui demander pardon quand elle se savait en tort et qu'elle s'était laisser envahir par son côté excessif. Elle était autant capable d'entrer dan une furieuse colère que d'être d'un calme olympien. Elle était beaucoup de chose, la fille de flic, la voyou qui ne se laissait pas consumer par les bas-fonds de Détroit.
Anecdotes
~ Maeva porte des lunettes pour lire et étudier, donnant au brin de jeune fille un air studieux.      
~ La jeune américaine n'aime pas l'alcool, elle n'en boit pas et préfère se contenter de Doctor Pepper lors de soirées entre amis.
~ Elle a cassé le nez d'un garçon au collège, et depuis ce jour, aucun autre garçon ne s'en est pris à elle.
~ Elle a déjà conduit la voiture de fonction de son père alors qu'elle n'avait pas le permis, l'urgence de la situation la poussant à agir ainsi, inquiète après avoir retrouver son père inconscient sur le sol de leur cuisine.
~ Son père lui a apprit à tirer au pistolet, après lui avoir appris à se défendre par elle-même.
~ Sa passion pour l'Histoire lui a été transmis par sa mère, décidant d'en faire sa carrière, après avoir longuement hésité à suivre la voie de son père.
~ Elle avait un chien, Sumo, qu'elle a laisser à son père lorsqu'elle a aménagée avec son petit ami, ne voulant pas qu'il soit seul dans la maison, s'inquiétant beaucoup pour lui.

Particularités physiques
Maeva est un brin de jeune fille, à l'allure timide et innocente, candide. Les cheveux noirs ébènes, la peau halée et un regard sombre, elle hérite du physique de sa mère, sauf ce qui est de son sourire, un sourire en coin, celui de son père. Elle est fine, mesurant environ 1,72 mètre. Son corps est immaculée, hormis de quelques grains de beauté qui constellent sa peau mat. En tout cas, c'est ce que son père croyait, ne lui ayant pas montré le tatouage qu'elle s'était fait faire au creux de ses reins, au niveau de l’aine, les initiales de son amant tatoués sur sa peau, symbole de son appartenance comme elle lui appartenait. Maeva n'avait jamais vraiment eu conscience de sa sensualité féminine, du charme qu'elle dégageait, garçon manquée sur les bords. C'est son petit ami qui lui lui a ouvert les yeux, ayant le don de la faire rougir à ses compliments.

Compétences




  • Charme ++++
  • Érudition +++
  • Endurance +++
  • Discrétion +++
  • Arme à feu ++



Inventaire


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Arme : Pistolet, Glock 22.
Objets utiles :
~ Trousse de premier soin.
~ Masque à Gaz, modèle tactique.
Objets rares :
~ Cape déchirée qui lui sert de couverture.
~ Lampe de poche.
~ Paire de jumelles.
Véhicule : Piétonne.
Possessions personnelles :
~ Badge de flic appartenant à son père
~ Carnet en cuir relié offert pour son quinzième anniversaire.
~ Veste militaire et sac à dos.
~ Diverses photos : Une avec son père, portant le maillot de l'équipe de Basket, de Détroit, une photo d'anniversaire avec sa mère et son père, main dans la main, ainsi qu'une photo de Nathan et d'elle, immortalisant un baiser délicat.


Histoire

Le 8 mai 1945, avec la capitulation allemande, un vent de liberté souffle sur les pays annexés, libérés par les soviétique. De toute part, c'est la fuite en avant vers un monde meilleur pour les familles juives. La famille Idan n'y fit pas exception, quittant le froid et la grisaille de Macédoine pour aller vivre sous le soleil d'Israël, à peine proclamé, échappant au régime communiste qui serait instaurée dans les régions d'Europe de l'Est.

Ce fut un long périple, périple qui dura deux ans, avant que la famille macédonienne puisse parcourir la terre promise et s'y installer. La petite famille pouvait recommencer de zéro, prendre un nouveau départ, loin des persécutions, n'ayant plus besoin de se cacher. C'était une renaissance pour la famille d'émigrés slaves. C'est à Tel-Aviv que la famille planta ses fondations. Elle y resta profondément implantée. Aujourd'hui encore la famille y vit. Seule Malka, la mère de Maeva quitta l’Israël. C'est comme ça que toute l'histoire commença...

Malka aimait voyager, une passion que ne partageait pas ses frères et ses sœurs. Elle partit étudier à l'université, aux Etats-Unis, s'installant dans la ville de Détroit. Ville qu'elle ne quitta plus jamais. Elle tomba amoureuse, amoureuse d'un garçon. Paul Anderson. En école de Police, recrue prometteuse, il devient l'un des plus jeunes lieutenants de la Police de Détroit. Trois ans après leur premier baiser, échangé sur la jetée, il l'épousa, fondant une famille. Elle prit son nom, et comme un bonheur n'arrive jamais seule, la jeune et belle israélienne tomba enceinte. La famille Anderson était une famille plutôt modeste, appartenant à la classe populaire américaine. C'était un couple uni et soudé, malgré tous les obstacles de la vie quotidienne auxquels ils faisaient face. Alors, savoir que la jeune femme était enceinte était une immense réjouissance pour le couple.

Tout semblait leur réussir et il n'y avait rien de plus beau que cette vision pour le couple heureux, cet éclat dans leurs yeux apportés par la naissance de la jeune Maeva, la prunelles de leurs yeux, dont le regard était aussi sombre que celui de sa mère. La naissance de la jeune enfant apporta une étincelle dans le cœur et dans la vie de ses parents, comme si sa naissance avait donné un nouveau sens à leurs vies, à leurs sacrifices. C'est sa mère qui s'occupa principalement d'elle, son père travaillant beaucoup, faisant des heures supplémentaires afin d'offrir un peu de dignité à la famille, afin d'offrir un petit confort à la mère et à sa fille. Elle avait un lien très proche avec sa mère. C'était sa mère qui s'occupait de la petite Maeva, pendant que son père travaillait, tentant de résoudre des affaires de meurtre. Elle lui inculqua ses valeurs, ses principes moraux, en bonne croyante qu'elle était, comme le respect, l'altruisme ou l'humilité. Le soir, après l'avoir bordé dans son lit, elle lui lisait des histoires et des récits, jusqu'à ce que ses paupières se ferment et que l'enfant dorme à poings fermés. Sa mère lui transmit sa passion pour l'histoire. La jeune fille s'y intéressait beaucoup et lisait aussi énormément de livres, sur différentes époques, sur différentes civilisations. Son enfance fut heureuse, même dans les bas-fonds de Détroit. Elle ne manquait de rien, profitant de chaque instant avec son père qui l'emmenait avec elle voir des matchs de basket, l’entraînant même au base-ball. Parfois, une disputé éclatait entre les deux parents, la jeune enfant ignorant d'abord les sujets de dispute, dont l'un revenait plus fréquemment, à savoir l'acharnement au travail de son père qui en sacrifiait sa vie de famille.

Jusqu'au terrible jour où sa mère perdit la vie. Un simple accident de voiture. Maeva était avec sa nourrice quand son père rentra à la maison, c'était la première fois qu'il rentrait le premier, un bouquet à la main pour se faire pardonner la dispute de la veille. La petite lui avait dit que maman était partie, avait pris la voiture. Son père s'agenouilla devant la petite, lui promettant qu'il ramènerait sa maman, posant un baiser sur son front avant de donner un pourboire à la baby-sitter pour qu'elle s'occupe de Maeva jusqu'à son retour. Il remonta aussitôt dans la voiture de police, quittant l'Allée. Il ne reverrait jamais son épouse, la fille ne reverrait jamais sa mère. Dans sa radio il entendit la mention d'un accident de voiture, les détails lui retournant le cerveau. Le modèle, la plaque d'immatriculation. Il était arrivé trop tard. Quand il arriva sur les lieux de l'accident, les pompiers avaient sortis le corps de la voiture en lambeaux. Son regard se posa sur le bouquet, dans la voiture. Son père se sentait responsable de l'accident de la mère, sans cette dispute, rien ne serait jamais arrivé et ils auraient pu continuer à être heureux. Il ne lui restait que sa fille, fille qui se jeta dans ses bras à son retour, quand il eu la force de lui annoncer que sa maman ne reviendrait pas, cherchant les mots pour que cela passe le mieux. Sa mère lui manquait, terriblement. Son père bascula dans l'alcool et les paris. Il n'avait pas l'alcool mauvais, mais se mettait des mines pour faire ce qu'il n'avait pas la force de faire lui-même, en oubliant parfois sa fille, la seule chose qui lui restait. Il ne fit jamais vraiment son deuil. Maeva, elle, continua à avancer, acceptant de vivre avec la douleur, la douleur du manque maternel. Elle était là pour son père, se préoccupant de lui. Il était la chose à laquelle elle se rattachait et faisait tout pour l'aider à redevenir heureux. Mais le visage de son père n'arborait jamais un sourire. L'anniversaire de la jeune fille n'avait plus la même saveur, parfois son père l'oubliait, et elle ne lui en voulait pas, ne lui en tenait pas rigueur car elle même n'avait plus l'envie de fêter son anniversaire. Rien n'était plus comme avant. Elle avait des responsabilités. Avoir un père dans cet état n'aidait pas beaucoup et si elle ne faisait rien, rien ne se faisait. Alors elle préparait à manger, s’improvisant bien piètre cuisinière, elle faisait le ménage, dans son temps libre.

A l'école, au collège, personne ne la comprenait, elle n'avait jamais eu véritablement d'amis. Elle ne s'était jamais intégrée, sa méfiance envers les autres cachant sa timidité. Ce n'est qu'au lycée qu'elle s'intégra au sein d'une bande. Et puis un jour, un nouveau arriva dans la classe, la rentrée ayant eu lieu quatre mois plus tôt. Tous les regards se tournèrent vers le garçon qui s'installa à une place libre au fond. Il semblait plutôt solitaire, et personne n'allait vers lui. Elle se sentait attristée de le voir ainsi, embrumé d'un voile de mystère. C'est elle qui fit le premier pas, lui tendant la main, pour qu'il rejoigne la petite bande hétéroclite. Elle était celui dont elle était le plus proche, connaissant bien la solitude. Elle sentait que c'était de son devoir de le faire. Il s'ouvrait peu à peu, à eux, à elle. Elle s'inquiétait pour lui, après tout c'était ça un ami, une personne pour laquelle on ressentait de l'empathie, une personne qu'on voulait protéger. Elle réussit ses examens, comme Nathan et les autres du groupe. C'était même grâce à Nathan qu'elle avait eu la moyenne en mathématique et en science, préférant la littérature et l'histoire. Le reste avait toujours été abstrait pour elle. Elle se souviendrait toujours du dernier jour, un jour qui n'était pas vraiment le dernier, davantage le commencement d'une nouvelle ère. Arthur, le chef de la petite bande offrit au dernier arrivé un téléphone, ayant tous mis de côté pour ce cadeau, avec leur numéro. La brune lui avait doucement murmuré à l'oreille avant de l'embrasser sur la joue, rougissant avant de se séparer des autres. Ô elle ressentait un béguin pour le jeune garçon, ce garçon si mystérieux, qui dégageait tant de choses. Seulement, elle n'osait pas lui dire, craignant que ce ne soit pas réciproque, qu'il la considère plus comme une amie, et qu'il soit amoureux d'une autre fille, une idée qui la rendait jalouse, qui lui pinçait le cœur.  

Bien sûr, elle le revit, pendant les vacances, il arrivait que le groupe se retrouve, errant dans les rues ou squattant dans un bar pour jouer au billard ou au flipper, son jeu préféré.

Vint le temps de l'université, où chacun suivit son propre chemin, sans que le groupe ne se sépare réellement. Maeva, suivait des cours d'histoire et d'histoire de l'art dans une université de Détroit, songeant à devenir historienne, ou archéologue, même si Détroit n'était pas célèbre pour ses chantiers de fouilles. Tout se passait bien, elle avait de bons résultats, frôlant la tête de promotion. Et tout bascula un jour, elle étudiait quand elle reçut un message de Nathan. Il n'allait pas bien, et cela lui faisait mal, rien que de lire les quelques lignes rédigés à la hâte par son ami. Tous se retrouvèrent dans un bar, bar qu'elle connaissait bien. Son cœur se fendit. Elle ne l'avait jamais vu verser de larmes auparavant. Comme elle, il avait toujours essayer de se montrer fort devant les autres. Maeva cherchait à le réconforter, imaginant sa tristesse. Elle avait perdue sa mère elle aussi, elle savait ce qu'il pouvait ressentir, mais elle ne pouvait ressentir la culpabilité qui semblait ronger son meilleur ami. Elle assistait à ça, le voyant boire, verre après verre, se sentant mal en le voyant suivre le même parcours que son propre père. Il avait fini ivre, ne tenant à peine debout. Le petit studio de Maeva était non loin, alors c'est chez elle qu'il passerait la nuit. Les deux garçons l'aidèrent à le porter alors que Maeva dessinait la voie, jetant des regards inquiets vers le garçon qui faisait palpiter son cœur. Intérieurement, elle était contente qu'il trouve refuge chez elle, seuls, tous deux ensemble, sans les autres. Peut-être pourrait t'elle lui dire ce qu'elle ne parvenait pas à faire en présence des autres. Elle l'allongea sur son lit, avant que les autres ne les laissent, ne tardant pas à s'allonger près de lui, son regard plongé dans le sien. Elle fut touchée par ses mots, maladroits certes, mais il avait pris l'initiative, lui faisant comprendre que c'était réciproque. Ce n'était pas ce qu'elle avait imaginée, ayant imaginer des circonstances meilleures, alors qu'il venait de perdre sa mère.

- Moi aussi, je voulais te le dire depuis un moment mais j'osais pas...Je t'aime Nathan.

Elle posa doucement ses lèvres contre les siennes, rapprochant son corps du sien. C'était son premier baiser, se délectant des lèvres du jeune homme. Elle resta un moment à le regarder, avant de poser sa tête sur son torse et de s'endormir contre lui. Elle passa la meilleure nuit de sa vie. Au réveil, en ouvrant les yeux, elle sentit le corps de son ami dans son dos, ses bras entourant sa taille. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Elle n'avait pas rêvé ce qu'il s'était passé la veille. Elle posa un baiser sur le front du garçon endormi avant de se changer, ayant dormi avec ses vêtements. Ils ne tardèrent pas à devenir un couple, les choses s'étant faite de manière simple. Ils emménagèrent même ensemble, trouvant un petit appartement dans le centre-ville de Détroit. Elle était heureuse, elle se sentait vivante avec son petit-ami. Elle aimait la façon qu'il avait de la regarder, de la toucher, appréciant ses baisers, sur sa peau, le long de sa nuque. Une relation passionnelle. Elle appréciait ses mots, l'entendre dire qu'il était prêt à tout pour elle, rougissant à ses compliments, ses doux mots qu'il lui destinait. Elle était tactile, aimant le sentir contre lui, sentir ses bras enserrer sa taille, sentir son parfum, se sentant rassuré à es côtés. Elle aimait lui envoyer des messages avec d'innombrable cœurs les uns derrière les autres, même si son petit-ami n'avait pas besoin de ça pour calculer à quel point elle l'aimait. Le soir, elle se plaisait à s'allonger sur ses genoux, le laissant caresser ses cheveux tout en regardant des films et de séries à la télévision sur le canapé, après un repas sur le pouce. Elle avait été très touchée qu'il se fasse tatouer son prénom, trouvant que le geste démontrait tout son amour pour elle. Elle avait fait de même, tatouant ses initiales sur l'aine, pour que lui seul puisse voir, pour être sienne.

La séparation fut douloureuse pour la jeune femme quand Nathan fut envoyer de l'autre côté de la frontière, sur un chantier. Il lui manquait. Heureusement, Skype fonctionnait encore, les deux tourtereaux communiquant par écran interposés, la jeune femme s'amusant à lui détailler ce que serait leur retrouvaille. Puis ce fut les prémices de l'Apocalypse. Il n'y avait parfois plus de réseau, et elle s'inquiétait, sans nouvelle de son petit-ami, coincé de l'autre côté de la frontière. A ce moment, elle ne voyait pas de signe de fin du monde, jusqu'au jour où elle rentra de l'université. Dans la rue, un homme était étendu au sol, ne bougeant à peine. La jeune femme crût à un sans-domicile et se pencha pour déposer une pièce dans le gobelet de l'homme. Un cri de peur s'échappa de ses lèvres alors qu'une poigne se saisissait de sa cheville, elle se débattit, essayant de fuir l'étreinte de l'homme qui essaya de la mordre. Elle réussit à se dégager, lui donnant un coup de pied au visage. Elle fuya jusqu'à son appartement, fermant la porte à clef avant de s'effondrer au sol, paniquée, le regard fugace. Elle ne comprenait pas ce qu'il s'était passé. Ses doigts se refermèrent sur son téléphone, et pianota le numéro de Nathan. Elle tenta plusieurs fois, en vain, le jeune homme ne répondant pas, tombant à chaque fois sur ce maudit répondeur. Elle essaya d'appeler son père mais c'était la même chose, entendant la voix de son père ruminer contre l'appareil téléphonique. Elle était toute seule, avait peur et était recroquevillée sur elle-même. Sauf qu'elle ne pouvait pas rester là, elle prit tout son courage pour quitter son appartement, fermant derrière elle. Elle évita de longer les murs, de peur d'être happé, méfiante au point d'être paranoïaque. Elle se dirigeait vers son ancienne maison, retrouvant les bas-fonds de Détroit, loin de se douter qu'on la suivait dans l'ombre. La porte fermée, elle décida de passer par la fenêtre, s'imaginant retrouver son paternel une bouteille à la main. Mais aucune trace de lui, ni de Sumo. Elle alla dans sa chambre, ouvrant le coffre de son père. Le pistolet de son père y était encore, s'en saisissant, mettant le cran de sécurité et prenant la boîte de munitions qui l'accompagnait. Elle entendit des bruits dans la maison, venant de la cuisine. Elle s'y dirigea, découvrant des jeunes encapuchonnés qui commençaient à se servir. Elle ressortit l'arme qu'elle pointa vers eux, leur demandant de partir, violant une propriété privé, ce qui était loin d'affecter les hommes, dont des sourires malsains ornaient les lèvre. Certains avaient des battes, d'autres des haches. Celui qui avait la plus grande gueule s'avança vers elle, la dernière chose qu'il fit, la balle se logeant dans son front. Les autres le regardèrent tomber ahuris, mais ne détalèrent pas. elle fut projetée contre le mur et tomba au sol, lâchant son arme alors que les hommes se rassemblaient autour du corps frêle de la jeune fille. Elle rampait vers l'arme et les tiroirs dont le contenu était éparpillé au sol, malgré les coups de pieds sans les reins. Ils voulaient lui faire du mal. Tout se passa très vite. Sa main glissa sur une fourchette et l'homme la releva, la plaquant dos au mur, approchant son visage du sien, détournant son attention une seconde d'elle, suffisant pour planter la fourchette dans son œil, entendant ses hurlements de douleur et de rage. Elle retomba au sol et glissa jusqu'à son arme, se tournant sur le dos, tirant pas réflexe vers les agresseurs qui se précipitaient vers elle. Elle appuya sur la détente jusqu'à ce qu'il ne reste plus aucune balle dans le chargeur, les douilles au sol. Elle avait abattu de sang-froid ces gens, pour se défendre.  Elle resta plantée là, paralysée par la peur, avant de se rendre compte qu'elle n'était pas en sécurité ici, pas dans les bas-fonds de Détroit. Elle n'avait aucune idée d'où son père pouvait se trouver.

Le temps avait passé, Maeva avait erré, emportant quelques souvenirs dans sa route, de quoi survivre et se défendre. Les choses empiraient, ce qu'elle pensait être des malades de la rage était bien pire qu'elle ne le pensait. Il y avait eu les bombardements, ravageant la ville de Détroit. Elle avait ressenti de la colère. Cela n'avait fait qu'encore empirer les choses. Elle avait vu des marcheurs totalement brûlés, recouverts de cendres. Des gens en vie avant les bombardements, qui comme elle survivait. Elle avait vu un cadavre brûlé de femme enserrant son enfant dans les bras, imaginant la douleur, la mère essayant de protéger l'enfant, momifié, ressemblant aux êtres qui avaient connu un sort similaire des siècles plus tôt à Pompéi. Elle était longtemps restée seule, se rattachant à l'idée que son petit ami avait survécu, qu'il allait revenir et la serrer fort dans ses bras. Elle avait besoin de cette étreinte, de se laisser aller, se battant chaque jour pour que cette vision se réalise...

Elle avait beaucoup erré. Seule le plus souvent, parfois au sein de groupe. Elle se montrait méfiante envers les autres, ressentant de la difficulté à donner sa confiance, craignant de recevoir un coup de poignard dans le dos. Elle était attentive, à ce qui se disait, espérant tomber sur quelqu'un qui viendrait de l'autre côté de la frontière, espérant qu'une dite personne ai pu croiser son petit ami. Elle avait essayer de quitter Détroit, de passer la frontière. Elle n'avait pas été loin. Elle aurait dû comprendre le danger. C'est ce que tout le monde avait tenté de faire quand l'épidémie avait commencer, de passer la frontière, de s'abriter, d'aller trouver refuge chez des proches, en famille. Beaucoup avait eu cette même idée. Et comme les hôpitaux, la frontière pullulait d'infectés. Chacun avait sa façon de les appeler. Parfois des meutes rassemblées, quelques infectés plus solitaires, errant sans fin à la recherche de chair fraîche. Elle avait penser au tunnel. Mais c'était le lieu de la congestion. Certains parlaient de horde. Des âmes effrayés, apeurés qu'elle avait croisé, prenant la direction inverse. Ils avaient voulu passer par là et avaient perdus des proches. Elle avait voulu aller voir, voir si ça s'améliorait, si le nombre était si impressionnant que le laissaient entendre les mots des vagabonds. Trouvant un endroit en hauteur, elle avait pu observer l'attroupement. Elle se résigna, espérant que Nathan trouve un meilleur moyen de retourner à Détroit. Et puis sa lampe n'éclairait à peine, Maeva préservant la batterie qui se déchargeait de jour en jour. Le danger était trop important pour prendre le risque, pour risquer que Nathan ne la retrouve jamais.

L'Arène. Un mot qu'elle entendait de plus en plus souvent. Lieu qui lui semblait hostile au premier abord. Il y avait des rumeurs, des on-dit. Elle avait questionner, chercher à avoir des réponses, en vain, jusqu'à ce qu'on lui dise que le meilleur endroit pour trouver la réponse serait l'Arène. Elle évitait soigneusement les camps, trouvant parfois refuge auprès d'autres groupes, sans aucune vraie structure. Au coin d'un feu, se réchauffant les mains, ce fut la toute première fois qu'elle entendit l'allusion. Comme la dernière place de civilisation sur Terre, une civilisation déjà bien en déclin, la nature reprenant ses droits, les hommes revenant à leurs plus bas instincts. Il y avait de tout, c'est ce qu'on disait, n'étant pas aller vérifier par elle-même. On disait qu'on pouvait tout y trouver. Elle imaginait mal un Eden porter le nom d'Arène, mais même les pires sectes avaient portés des noms métaphoriques ou aux allusions bibliques. Au moins, elle savait à quoi s'attendre. Une Arène. Des gens qui se battent. Pour quoi ? La question restait en suspens. Elle n'avait pas vraiment le choix désormais, n'ayant aucune vraie piste plus pertinente que celle-ci. Elle avait voulue éviter de s'y rendre, mais ses pas la menaient dans cette direction, plus proche de Nathan qu'elle ne l'aurait imaginer...

Chickenwing
Prénom : Ugo.
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Comment as-tu connu le forum ? : Via une recherche sur fb.
Autorises-tu le staff a tuer ton personnage en cas de départ ? : Non (Pré-lien de Nathan).
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 18:18
Hey Hey Hey Hey

Coeur Coeur

Bon courage pour ta fiche Smile
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 18:23
Bienvenue par ici, et bon courage pour ta fiche ! Cute Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas ! lalove
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 18:33
Merci à vous I love you

Je n'hésiterais pas, et je me tiens à ta disposition Nathan Coeur
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 19:06
Bienvenue par ici ti chat !
Bonne chance pour la rédaction de ta fiche Sushi
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 19:18
A ma, DISPOSITION Tongue pervers Pedro

xD Fais, je regarde Cute
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 20:14
Bienvenue Maeva et bon courage pou ta fiche ! I love you
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 15 Sep 2018 - 22:33
Merci à vous Coeur

Nathan : Donc si quelque chose colle pas, dis-moi et je change aussitôt Cacher
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptyDim 16 Sep 2018 - 2:17
Bienvenu miss, j'ai hate de lire ton histoire ^^
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptyDim 16 Sep 2018 - 8:46
Re bienvenue a toi officiellement Wink
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptySam 22 Sep 2018 - 8:51
Hello Maeva ! Je viens de lire ta fiche et j'ai quelques choses à revoir avec toi avant de valider Brill

Tout d'abord, pourrais-tu remplir ton profil, s'il te plait ? Ne serait-ce que l'inventaire, qui est correct dans ta fiche d'ailleurs ! Merciiii !

Ensuite, je m'interroge pas mal sur les compétences "Pistage" et "Discrétion" que tu mets en avant dans la partie prévue à cet effet think Autant pour discrétion je suppose qu'on peut le justifier par le physique si on veut bien s'en donner la peine (ce qui est donc insuffisant), autant pour pistage je ne vois pas grand chose, voire rien, qui explique pourquoi elle est dans la liste. Pourrais-tu essayer de mettre ces deux compétences en évidence dans ta fiche, s'il te plait ?

Enfin le dernier point avec lequel je suis un peu incertaine, c'est la fin de ton histoire avec surtout la partie Apocalypse en elle-même qui tient en deux - très courts - paragraphes, alors qu'il s'agit d'une période de bientôt trois ans dans la vie de ton personnage et qui est tout de même importante au regard de notre contexte ! Je peux me montrer un peu moins exigeante de ce côté-là, mais penses-tu qu'il serait possible de donner plus d'informations sur ce qui est arrivé à Maeva au cours de ces deux années ? Pourquoi est-elle restée à Détroit alors que visiblement, elle savait où trouver Nathan qui semble être sa préoccupation principale ? Ne lui est-il rien arrivé, un événement particulier, qui mériterait d'être raconté ? Comment a-t-elle entendue parler de l'Arène ? Pourquoi décide-t-elle de se tourner vers eux pour retrouver son amoureux ? Je ne sais pas, ça peut être beaucoup de choses que tu peux raconter là !

J'attends, aussi, d'avoir des nouvelles de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] afin de savoir si tout est ok pour lui Very Happy Et je t'ai envoyé un petit message sur Discord si tu as envie qu'on voit ensemble les corrections, je reste à disposition pour t'aider ♥️ à très vite !
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptyMar 25 Sep 2018 - 14:04
Bienvenuuue I love you I love you I love you I love you
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MessageSujet: Re: Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour...   Maeva Anderson ~ Oublie la fadeur du jour... EmptyMer 26 Sep 2018 - 14:13
Merci pour les corrections rainbow heart

Félicitations, tu es validé(e)



Bienvenue du côté obscure de la Force, mon jeune ami !
Maintenant que tu as passé la dure épreuve de la fiche, tu vas pouvoir enfin t'amuser parmi nous. Enfin... Après avoir fait encore quelques petites choses indispensables que voici :


  • Tout d'abord, il faut que tu ailles recenser ton avatar dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et ton métier dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], afin de rester quelqu'un d'unique !

  • Afin qu'il soit plus facile pour les autres joueurs de te proposer des liens ou des rps et de rester à jour sur ceux que tu as déjà, pense à créer ton [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], qu'il faudra poster dans la partie "Journal de bord" du groupe auquel tu appartiens ! Il y a un code mis à ta disposition [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu en as besoin, mais la présentation de ce sujet est entièrement libre alors amuse-toi !

  • Si tu viens d'être validé dans une faction, n'hésite pas à aller faire un tour dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui sert à la communication des membres en hors jeu, où vous pouvez discuter de vos achats, organiser des RPs communs, mais aussi en apprendre plus sur les autres factions !

  • Tu peux aussi créer un scénario si tu en as besoin, dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais sache bien que tu n'as pas le droit d'en proposer plus de deux en même temps, alors choisis bien !

  • Enfin, comme tu peux le voir, nous avons un système de points sur le forum et tout ce que tu dois savoir à ce sujet se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], prends donc le temps de lire tout ça au moins une fois pour être sûr de ne rien oublier !

  • Sache également que tu peux voter pour le forum, et ce toutes les deux heures, en cliquant sur la petite licorne en bas à gauche de l’écran. Grâce à ton clic, tu permettras au forum de garder une bonne place sur Topsite, de le faire connaître, et donc, de ramener des membres potentiels sur le forum. Par ailleurs, si tu crées un sujet dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et que tu postes dedans à chaque fois que tu votes, cela te permettra de gagner deux points par vote !

  • Et surtout n'oublie pas que peu importe que tu sois là depuis un jour ou un an, tu peux contacter le staff à n'importe quel moment si tu as besoin d'aide pour quoi que ce soit concernant le forum. Tu peux aussi demander un parrain dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour qu'un joueur expérimenté t'aide à t'intégrer, alors n'hésite surtout pas !

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