Ceci est la première entrée de mon carnet, j'ai enfin réussi à trouver un stylo et un carnet potable et dieu sait que cette dure à trouver, mais Détroit à l'air d'être une ville prometteuse. Autant vous le dire tout de suite, être une jeune fille durant la fin du monde, n'ai pas très avantageux.
Bon, Je m'appelle Korydwen, j'ai à peu près 15 ans. Maintenant que vous savez qui je suis, je vais vous dire qui j'étais.
Je suis née dans une petite ville en banlieue de Lansing, dans le comté d'Ingham dans le Michigan. Je pense que j'étais à deux heures de route du centre-ville, en voiture. C'est dans cette banlieue tranquille que j'ai grandi, avec mes parents, Ted et Jess Crown et ma sœur Lucia. Elle aurait eu 20 il y a peu. Ma sœur eu un grand impact dans ma vie. J'étais une petite fille curieuse et intelligente qui posait beaucoup de questions : « pourquoi l'eau gel ? », « pourquoi les feuilles sont-elles vertes ? », et bien souvent, la réponse de mes parents était inférieure à mes attentes. Mais un jour, une de mes questions resta sans réponse, : « Pourquoi j'étais une fille ? ». Je devais avoir cinq ans environ et suite à ça, j'ai commencé à penser comme un garçon. J'étais fille physiquement et garçon mentalement. J'allais à la chasse avec mon père et ma mère essayait tant bien que mal de m'apprendre la couture, tandis que Lucia m'aidait dans mes petits problèmes quotidiens.
J'ai appris à chasser et traquer plus facilement que de coudre. Si bien qu'à mes onze ans, j'étais devenu meilleur que mon père de ces deux disciplines. Lucia s'arrachait les cheveux à me faire apprendre une chose que je n'aimais pas, l'orthographe. Pour mes onze ans, mon père avait acheté une carabine de chasse en .22lr et une dague de chasse, ma mère était désespérée. A l'école, ma vie n'était pas rose, mon statut de « garçon manqué » ne plaisait pas à grand monde et les cercles d'amis m'étaient bien souvent fermés, si bien que je n'avais pas de meilleurs amis. Le collège était identique. C'est vers mes douze ans que la fin du monde arriva, pas tout de suite aux Etats-Unis, mais elle arrivait. A l'époque, ma sœur qui avait dix-sept ans vivait avec Marcus, son copain dans un appartement plus loin, dans la banlieue avec ces amis « pseudo survivaliste ».
Les premiers jours, il n'y avait pas de grand changement dans ma vie, mais un soir, il arriva, ma sœur rentra dans la maison comme une folle, alors que j'étais dans le canapé à rien faire, elle me cria d'allumer la télévision sur la seconde chaine nationale. J'allumai la télé sans comprendre pourquoi elle était comme ça. Sur l'écran, on voyait des vidéos prisent à New York City. Les vidéos étaient des extraits de bandes de surveillances et sur celle-ci, on y voyait des gens se jeter sur d'autre. Pendant que la télévision tournait, ma sœur nous a expliqué qu'elle avait vu cela avec son groupe et que cela avait commencé il y a environ un mois, en Afghanistan. Mon père a pensé à un canular bien ficelé et ma mère n'avait même pas écouté ma frangine. Ma sœur était inquiète et en prétendant vouloir passer du temps avec moi, me fit venir chez elle pour la semaine.
Le groupe de ma sœur regarda l'évolution de cette « folie collective ». Teo s'occupait de moi, il m'enseignait les bases de la fabrication de barricades. Il a affirmé qu'il trouvait cette tâche des plus crevante, surtout que je posais toujours des questions. Ma sœur alla faire un tour chez nos parents et sous prétexte d'une partie de chasse, rabattit notre carabine et mon couteau à l'appartement. A la fin de cette semaine, j'avais appris à faire des barricades avec tout et n'importe quoi puis surtout à me servir de mon couteau. Ce groupe était vachement cool et bien organisé pour un groupe de jeunes adultes. Ma sœur s'occupait des vivres, surveiller les stocks et aidé Anya à la préparation des repas. Marcus s'occupait de regarder le monde extérieur via les ondes et écrans. Teo devait s'occuper de moi et Shaun faisait le reste.
Nous avions surveillé le Net, la télévision et mêmes les Ondes radio. Le Sud du pays était faible, les choses faisaient parler d'eux et sur le net, des centaines de vidéos noyaient l'information. On y voyait des hommes mordant jusqu'à parfois arracher les chaires leurs camardes. Ces trucs étaient dangereux et je devrais m'en méfier. Lansing n'était pas encore détruite, New York City fut morte en six jours seulement, Las Angeles, huit jours. La fin était là, nous l'avons bien vue lorsque qu'Internet s'arrêta pour de bon, la télévision faisait tourner des messages en boucle et les ondes radios étaient saturées.
Nous n'avions plus de nouvelle de maman et papa, je craignais qu'ils soient morts. Maintenant, j'en suis sûr. Notre stock de vivre était correct bien que trop faible selon le groupe. Peu de temps après la chute de NYC, la ville est partie en couille à une vitesse folle. Les choses n'étaient pas encore là que les pillages de boutiques électroménager, high-tech et les grands supermarchés fur effectue, notre petit cartier avait évité le pillage, ci-bien que notre rue fût plutôt calme. Ma sœur était inquiète, nous n'avions qu'un mois de vivre, trop peu. Le groupe fit un conseil d'urgence et j'y avais été convié, j'étais fière d'être officiellement l'une des leurs. Ce soir-là, nous avons pris une des plus grandes décisions de notre vie. Nous allions faire un pillage, celui de la supérette en bas de la rue.
Le plan était simple, j'entrais dans la boutique, le soir, quand tous les chats sont gris. Je menacerais le vendeur avec ma dague et les autres entreraient pour vider certains rayonnages.
Nous avons fait cela à vingt-deux heures, j'entrai dans la boutique et demanda au vendeur de me trouver quelque chose. A son retour, je lui mis la dague sous la gorge et Teo et les autres entrèrent, ma sœur gardait la porte avec la .22lr. Les autres faisaient le tour pendant que je gardais le vendeur. J'en avais marre alors j'ai baissé ma lame, pensant que le vendeur resterait calme. J'ai eu tort, dès que je fus un tant soit peu éloigné, il sortit un fusil à pompe de sous le comptoir de braqua Lucia, qui regardait toujours dehors. Il pointait ma sœur, Il allait le tuer. Sans réfléchir, je fonçai sur lui, la lame droite devant moi. Elle se planta dans son bas ventre, avec ma force, nous sommes tombés en arrière, ce qui finit d'enfoncer mon arme dans ses tripes. La lame toujours plantez, je me relevais en état de choc, j'avais tué quelqu'un. Moi, Kory, la garçonne innocente avait planté un homme ! Ma sœur, accouru et me pris dans ces bras, qui était les derniers bras ou j'étais en sécurité.
Nous ne pouvions abandonner le pillage, l'acte avait été fait, alors autant le terminé. Moi, j'étais dans un coin, la tête dans les genoux, en train de pleurer toutes les larmes de mon corps. Marcus avait récupéré le fusil et les quelques cartouches qu'il y avait. Ma dague, je me devais la reprendre. Prenants mon courage a deux mains, je me levais et alla voir le corps de cet homme. Me penchant sur le cadavre et pris le manche de mon arme et du tiré à plusieurs reprises pour retirer mon couteau. Je me retournais et commençait à rejoindre les autres quand j'entendis un bruit, là ou était le corps. En me retournant, mon sang ne fit qu'un tour. L'homme était debout, les yeux blancs et révulsé, sa plaie saignait encore. Mais j'en étais certaine, sont poux était nul, il était donc bien mort, comment était-il encore debout, on aurait dis une de ces choses. Et c'est quand il c'est jeté sur moi que j'ai compris. Il était une de ces choses. Il était là, sur moi, je le repoussais avec mes mains et mes jambes, et lui, essayait de me mordre, cette enflure. Lucia, qui avait entendu mes cris, tira une balle dans la tête de l'homme normalement déjà mort. Il arrêta de bouger au moment même où la balle traversa son crâne dégarni.
J'étais en état de choc, déjà que j'avais tué ce pauvre homme, mais là, j'avais son sang sur mes vêtements. Marcus à accouru avec les autres, les sacs remplie de vivre, nous avions prix pour environs deux mois. Nous sommes partis en courant, pour fuir notre casse et surtout, pour fuir ce mort. En arrivant chez nous, notre lieu de vie me sombra sombre, terne et mort. Lucia s'occupa de ranger nos nouvelles ressources, tandis que Marcus était venu me parler alors que je me morfondais sur mes actes. Il avait tenté de me rassurer, puis fini juste par me dire qu'il était désolé et que ce n'étais pas de ma faute. Que j'avais sauvé ma sœur et que je ne pouvais pas savoir qu'il allait se transformer. J'en conclue une chose, que même si notre ville n'avait encore sombré dans le chaos, ces choses étaient bien là. Quand quelqu'un mourrait, il se transformait.
Notre petit groupe fit le choix de sortir le moins possible. Les rues n'étaient plus vraiment sûr, les choses étaient là maintenant, dans notre chère ville. Du haut du sixième étage, nous avions vu l'inévitable chute de Lansing. C'est triste à dire, mais elle tomba en seulement trois jours, j'ai vite compris que ma famille n'était plus, que papa et maman étaient morts. Lucia devait l'avoir compris, car, sans un mot, elle me prit dans ces bras. Lucia était maintenant tout pour moi.
Deux ou trois mois son passez sans que nous ayons de véritables problèmes, nous nous étions vite habitués. Nous avons nettoyé notre tour. Il y avait eu trente-six choses dans celle-ci. Notre immeuble était composé de six étages, chacun ayant six appartements. L'étage trois fut mon labeur, j'avais donc du N.13 au N.18. En soit, tué des montres n'était pas compliquer, il suffisait de frapper et de détruite, percé, exploser la tête. Mais en pratique, j'avoue que je galérais un peu. Mes appartements n'étaient pas compliqués, il y avait eu un vieux, mort dans son lit, il était tellement bien bordé qu'il ne pouvait pas en sortir. Il y avait aussi cette femme, dans son canapé et cet homme qui c'étais pendu. Le N.16 fut dur, mais sur un plan émotionnel. En entrant, je fus frappée par l'odeur de la mort avant de voir l'enfer. Une scène atroce s'offrait à mes yeux. Il y avait une mère, debout, statique, le visage couvert de sang et à ces pieds, le corps mutiler d'un enfant, son enfant. Tué cette être me prix plus de temps, ces mains étaient couvertes de lambeau de chaire. Après avoir tué cette créature, en explorant, qu'elle ne fut pas ma triste découverte qu'un berceau. Le nourrisson dedans était des leurs. J'eus la plus grande difficulté à me débarrasser de cette petite créature. Je crois que c'est à ce moment-là que j'ai compris que notre ancien mondé était mort. Une fois mon calvaire terminer, je suis remonté au sixième, là où nous vivions. Nous allions prendre tous les appartements de notre étage. Nous gardions le nôtre comme zone de stockage. Teo et Anya avaient pris le N.31, Marcus et Lucia le N.29, Shaun et N.30. Moi j'avais le choix entre rejoindre ma sœur ou prendre le N.28. Mon choix fut vite fait et le 28 devint une zone commune.
Mais seulement deux semaines après notre installation, le temps pourri de l'endroit cassa une vitre, laissant l'eau entrée dans notre immeuble et créant un court-circuit au 4ème étage. Un incendie se déclara. Ce soir_là nous avons perdu une grosse partie du 4ème étages et l'immeuble n'était plus sûr. Nous devions vîtes partir, trouver un nouveau lieu ou vivre car si les morts ne nous tuer pas ici, l'immeuble le ferait en s'effondrant.
Nous fîmes le choix de partir vers l’Est de la ville, vers ce qui était une zone commerciale. Anya avait une idée d’endroit ou il fallait à tout prix passer selon elle. Elle voulait que l’on passe par une boutique de sport, c’est zone ne devait pas être trop pillez. Et si elle avait vue juste, nous deviendrons comme les rois du pétrole, mais en genre fin du monde.
Nous sommes donc partis le lendemain vers cette zone de vie. Nous avions presque tout pris de nos équipements, les deux PPV (Panneaux Photo-voltaïque), nos dernières boites de vivres (envions 2 semaines) et nos armes. Sur le chemin, nous sommes passés devant mon ancien lycée, la cour était infestée par les choses. Nous avons évité le plus possible les grandes avenues, ou les bouchons de voitures constituait un piège mortel pour nous, les vivants. Les rues peu fréquentées l’étaient toujours. Nous sommes arrivés dans cette boutique à la nuit tombante. Nous avions dur forcé un peu pour entrer, l'endroit avait l'air calme. La nuit se passa sans problème.
Au petit matin, alors que les autres dormait, je fis le choix de faire le tour des présentoirs et de faire un plan rapide de la boutique. Le magasin était divisé en six parties, a gauches, on avait le matériel de camping, de ski et de pèche et à droite, le matériel de chasse, vélo et alimentation sportive. Quand nous fument tous levée, j'en informa les autres de mon plan. Nous avions choisi de nous répartir les tâches. Anya et Lucia regardèrent l'équipement de camping, Marcus de ski, Teo, notre seul pécheur hérita donc de son rayon et moi, je pris le rayon chasse, sous l'ordre de la chère sœur.
Au midi, nous avons fait le point, Anya avait eu raison, personne n'était passé faire un GROS pillage, il manquait ci et là des choses mais pas vitale pour nous. Nous avions donc de la nourriture, certes, dégelasse, mais en bonne quantité. Nous avions aussi des vélos, des vêtements, les bases de la pèche et des vêtements chauds pour les hivers futurs. Il nous restait toujours l'entrepôt au visiter ainsi que la zone employer. Encore une fois, nous nous sommes séparées. L'entrepôt était grand et plein de cartons et de caisse en tout genre. Je suivi Marcus tandis que Shaun partait vers un autre bout. J'avais estimé le temps de faire le tour à environ quatre heures. Marcus en profita pour me montrer le fonctionnement de fusil à pompe. Et je dois vous avouer que je j'ai galérer à mort au début. Après avoir passé une pauvre heure à apprendre le fonctionnement de cette arme, nous avons fait les cartons, et nous avons trouvé beaucoup de vêtement et 3 lots de flèches.
Soudain, nous avons entendu une chute de cartons à notre opposer. Shaun ! Je criai son nom à plein poumon et je n’ai eu pour réponse que des cris de terreur. Il était dans la merde. Nous sommes partis en courant vers l’endroit ou il devait être. Il était sous une pile de cartons, un mort au pied. Nous l’avons tiré par les bras pour le sortir de là. Marcus donna un puissant coup de pied dans la tête de la chose, ce qui, à ça grande déception, ne tua pas le « mort ». J’ai du planté ma dague dans la tête de la créature. Nous avions vite rejoint les autres pour les informer de la situation, nous voulions savoir s’ils avaient vue d’autre choses. Aucune trace de mort, il va vraiment falloir que je trouve un vrai nom pour ces créatures, j’y penserais un soir.
Durant notre installation dans la zone du personnel, nous avons découvert une douche, avec une sacrée réserve d'eau, on allait enfin pouvoir se laver. J'ai demandé à Lucia si je pouvais un prendre une, elle ma dit oui, mais à la seule condition qu'Anya surveille durant le temps où je l'avais. Rester seul était trop dangereux pour l'instant. Après ma courte douche, je étais avec Anya pour observer mon corps, elle voulait regarder si je n'avais rien et que mon corps n'était pas troublé au niveau de la croissance. Il est vrai que j'étais la plus jeune, je n'avais que 12 ans, Teo, Anya et Lucia en avais 17, tandis que Marcus et Shaun devais avoir 18 ans.
Enfaite, j’étais bien contente d’être un peu en retard sur mes règles, car le sang attire les morts. Le semaine ou Anya et Lucia les avaient, on devait rester cloitrer pour éviter d’attirer tout le voisinage. Bon, mis à part cette mauvaise aventure avec Shaun, nous avons mis mains basses sur 5 arcs, 45 flèches, plusieurs dizaines de kilo de vivre de sport. De nouveaux vêtement, ainsi que des duvets pour la nuit. Il y avait aussi des VTT pour tous.
Mais tout était trop beau et un problème au quelle nous ne pensions pas était là. Shaun avait été mordu dans son altercation avec le mort, il était mordu au mollet. Quand il nous en a informer, il pleurait, il était contradictoire, il ne voulait pas devenir un des leurs, mais il ne voulait pas mourir. La malédiction était déjà dans son corps, il représentait un danger pour notre fragile « famille ». Alors que nous ne savions quoi faire, Marcus dit quelque chose auxquelles personne n’attendais : « Shaun, mon ami, tu as été mordu. Tu es un danger potentiel. Je vais te laisser le choix, soit je te mets dehors, seul et sans armes, soit je mets fin à tes souffrances futures. »
Tout les deux pleuraient, Marcus et Shaun étaient amis de longues dates. Shaun de demanda une mort rapide et propre. Shaun est mort, Marcus lui à tiré une balle dans la tête. Marcus pleure encore et je pense qu’il va pleurer encore longtemps. Le groupe a perdu un membre aussi, nous somme plus faible. Nous sommes limites au niveau balles, nous avons opté pour les arcs. Teo eu le soir même une idée, les Iles des grands lacs, cela devait être des zones un peu près calmes non ? Nous avions nul par ou aller, nous allions donc vers Détroit, le plus grand port de l’Etat.
Nous sommes le jours de mes 13 ans, cela veut dire que nous sommes en 2015 depuis 3 mois et 16 jours. Celons Marcus, nous devrions arriver à Détroit pour mes 14 ans.
Cela doit faire six mois que je n’avais pas écrit, Détroit n’est toujours pas en vue, et si j’écris, c’est que Teo est mort, non pas d’un des infectés, mais du manque d’antibiotique. Il y a trois jours, il est tombé de vélo et c’est ouvert le genoux, c’étais moche. Nous avions pourtant pensé la plaie, mais sans antibiotique. Nous venions de perdre notre leader.
Nous sommes en mai 2016, et nous rentrons enfin dans le comté de détroit. Nous voyons une ferme depuis la route, elle a l'air sûr. Mis à part Lucia, nous étions tous d'accord pour aller voir celle-ci. Une fois plus près, j'ai constaté qu'elle était le cliché même de la ferme américain, grange rouge et blanche, et belle maison blanche un peu vieux. Bref le lieu de vie idéal dans notre dystopie. Nous voulions foyer l'endroit, nous avons donc commencer par la maison, rien, vide, et la grange, pareil, il n'y avait pas de ressources ici.
Soudain nous avons entendu du bruit, il venait de l'abri sous-terrain de la maison. Une cave remplie de mort, près à nous sautez à la gorge dès que nous ouvrirons la porte ? Enfaite, ce n'étais pas vraiment une cave, mais un abri anti-tempête, des gens eux aussi prévoyant.
Je me souviens avoir demandé à Marcus si je devais taper à la porte. C'est sans vraiment attendre de réponse que je frappai à porte d'acier. Au pire, c’était des morts, nous étions déjà repérées. Je frappai cinq petits coups sur la porte, et au cinquième, je demandai s'il y avait quelqu'un. Je fis demi-tour, tout en sachant que je n'aurais pas de réponse. La porte s'ouvrit dans un grincement. Ce n'étais pas des morts ? Non c'était des humains, pardon des humaines. Nous vîmes une vieille femme. A vue de nez, elle devait avoir environ 60 ans. Une miraculé. La première chose qu'elle fut, ce fut moi, et derrière moi, Marcus et Lucia, fusil épaulé et Anya, arc bandé. La peur se lisait sur son visage et je fis signe de baisser les armes, cela faisait si longtemps que nous pas vue un humain bien vivant.
« Bonjours, nous ne sommes pas des pillards ». Ce fut notre premier contact, je devais lui enlever cette idée que nous étions dangereux. Pas réponse, elle était visiblement vigilante, ce qui expliquait qu’elle était encore en vie. « Je suis Korydwen, je suis la sœur de cette fille là (montrant du doigt Lucia), je ne suis pas la leader, je n’ai que 14 ans, notre Leader est Marcus. » Elle resta pensive, puis invita Marcus et moi à rentrer. Elle nous invita à sa table, mais elle devait voir que j’étais inquiète pour les filles car elle me dit : « Ça va aller, il n’y a pas beaucoup de mort dans le coins ». Elle voulait savoir ce qu’on faisait la, mais avant, elle voulait me présenter quelqu’un. Je pense qu’elle voulait parler qu’avec le leader, et non une gamine. Elle appela quelqu’un, et une jeune fille, d’environ mon âge arriva. Elle était blonde, avec un visage fin, d’une taille moyenne et plutôt fine. Elle aurait été un canon de beauté dans l’ancien monde. Cette fille avait l’air gêné de me voir, elle ne devait pas voire souvent des survivant, et encore moins des filles de son âge. Elle lui dit de ma faire faire le tour de l’abris, elle voulait parler avec Marcus.
Lexa, car telle était son nom, me montra d’abord ça chambre, ou plutôt la pièce dans la quelle elle dormait et vivait, était sombre, au mur gris mais grandes, on pouvait encore placer 3 lits ici. Elle ce jeta sur le lit qu’elle utilisait et m’invita à la rejoindre. Je m’assis juste à coté d’elle et me désarma, nous étions dans un « bunker » et Marcus était là, je n’avais pas besoin d’être armée. Nous avons parler du passer, d’avant la chute. Nous nous sommes présentés mutuellement, elle était Lexa Clarke, 15 ans, survivante. Je voulais lui parler du reste de ça famille, mais j’avais déjà la réponse.
Après notre discussion, elle m’informa, toute heureuse qu’elles avaient un recycleur d’eau, que nous pouvions donc prendre des douches. Enfin, cela faisait plusieurs semaines que je ne m’étais pas lavé. La salle d’eau n’était pas bien grande, mais au point ou j’en suis, cela n’a plus d’importance.
Sous la douche, je découvris la longueur de mes cheveux et le bonheur du champoing. A la sorti de celle-ci, il n’y avait plus mes vêtements, et ni de change. J’ai de l’aller chercher Lexa dans l’abris avec pur seul habit, une serviette autour de moi. J’ai trouvé tout le monde dans la chambre. Soudain, je me sentis horriblement conne, j’étais juste en serviette devant mon groupe, et je ne savais pas ou été mes changes. Bref, Lexa nous expliqua que nous dormions tous ici. Il ne restait que 2 lits de libre, il était d’un commun d’accord que Marcus et Lucia partagerais le même lit, et j’ai tiré mon lit à pile ou face, je serais donc avec Lexa. On me donna enfin des vêtements, ou plutôt on me les jeta dessus, et en voulant les attraper, j’ai fait tomber ma serviette devant tous. J’ai aussi tôt tapé une course jusqu’à la salle de bain. Une fois changer, je suis parti retrouve le groupe, un peu honteuse, je les ais trouver à table, autour d’un repas chaud.
Bref, c'est durant les moins ou nous sommes restées dans la ferme des Clarkes que j'eus pour la première fois mes règles, au début, j'avais juste  un putain de mal de ventre, puis des vomissement. Lexa fut la première à deviner ce qui se passait. J'avaios mes règles, la poisse sérieux. Anya m'expliqua ce que j'avais à faire, je vous passe les détails. Bref, après avoir passé une semaine enfermé dans cet abri, j'avais besoin de sortir, de chasser. Je pris donc là .22lr pour aller tuer du petit gibier dans les bosquets proches. Mais en sortant, un détail me frappa. Personne, il n'y avait personne du groupe, ni dehors, ni dans l'abri. Nous avions commencé à retourner dans la maison. Je suis donc allé dedans pour vérifier. Personne, il y avait même le .12 sur la table et l'arc par terre. Cela m'inquiéta, personne et les armes n'étais pas dans l'abris. Je pris donc le fusil à pompe ainsi l'arc et alla en direction de la grange. Je fus obligé de faire la tour, la grande porte étant fermé. Pendant que je contournais la bâtisse, j'entendis des voix d'homme, or nous n'avions que Marcus dans notre groupe. En regardant par la porte entre ouverte, je vis trois homme qui braquait mon groupe. Un des hommes avait son fusil dans le dos, sans doute le leader.
Me vin à l'esprit une idée. Je tirais une flèche sur leur leader. Et j'attendais dehors que ces soldat sorte pour me tuer, et là, je le plomb. Je me mis donc dans l'encadrement de la porte, bandant mon arc. La flèche partie sans un bruit et alla se loger dans les côtes de leader. Aussitôt tiré, je lâchai mon arc et épaula mon fusil. Il ne me fallut pas attendre longtemps avant de voir un des hommes sortir. La salve de plomb qui la transperça le corps le tua le sur le coup, rendant son fusil inutile par la même occasion. Je suis rentré dans la grange pour trouver l'autre homme, il était en panique et me répétait sans cesse qu'il allait me buter. Il connus la même fin tragique que son ami. Le leader n'était pas, du moins, pas encore, je lui tranchai la gorge pour le libérer de ces souffrances. Je ramassai son fusil, une carabine à levier, d'une manufacture correcte puis je détachai mon groupe. Mme Clarke sorti en première. Lexa me sauta au cou, en pleure, visiblement en état de choc, elle n'était pas habituée au nouveau monde.
Soudain, alors que je parlais avec les autres, j'entendis un cri provenant de l'extérieure. Mme Clarke ! Je sortie en courant, mon nouveau fusil dans les mains. Soudain, mon erreur me parus évidente, les hommes que je venais de tuer allaient revenir. A la fin de ma pensée, j'étais devant Mme Clarke, qui avait un mort qui l'attaquais. J'épaula mon fusil, visa, puis tira. La balle alla se loger dans la tête de la chose. Mais le regard de cette vieille dame en disait long, il disait surtout que c'était trop tard, qu'elle était infectée. Je suis rentré dans la grange en courant, la dague à la main, pour finir de tuer les autres corps, avant qu'ils ne reviennent. Puis je suis allé vers Lexa, et nous n'avons pas eus besoin de nous parler pour qu'elle comprenne la situation. Je pris celle-ci dans les bras pour essayer de la consolé, bien que cela soit inefficace. J'expliquai alors aux autre la situation.
Mme Clarke entra dans la grange, le bras bien mordu. Elle nous expliqua qu’elle c’était déjà fait ce scénario en tête. Elle nous demanda de lui laisser la journée de demain pour se préparer à la mort. Elle nous dit que nous devions tous mourir un jour, que pour elle, l’heure était venue, qu’elle ne m’en voulait pas. Que tant que quelqu’un sur cette terre se souvenait d’elle, elle ne mourait pas, car la véritable mort survient quand toute trace d’un être disparais du monde.
Nous allions tirer au sort pour savoir qui de nous aller devoir donner le pardon à notre hôte quand Lexa arriva pour nous dire qu’elle le ferait. Nous étions tous surpris par cela, mais personne ne s’amusa à si opposé. Au matin suivant, Marcus s’était lever en même temps que Mme Clarke pour creuser une tombe. Moi, j’expliqua à Lexa comment marcher mon nouveau fusil. Vers 13h, nous avions fini de creuser et nous attendions la grand-mère de mon amie. Quand elle vit ça petite fille avec mon fusil, elle compris que ce serait elle qui allait tirer la dernière balle.
Mme Clarke était sublime, elle portait une belle robe d’un bleu nuit magnifique avec des coutures dorées, elle c’était bien coiffée et avait un léger maquillage. Elle était belle à voir, mais cela me rendais triste de savoir pourquoi elle était si belle. Elle se plaça debout, face à la tombe, joignant ces mains pour faire une ultime prière. Je pausai ma main sur l’épaule de mon amie, et après quelque second, je lui dis de tiré. Ce fut la mort qu’elle avait choisi, elle était une des dernières à pouvoir choisir sa propre mort. Je repris mon fusil des mains de Lexa et la conduisit à notre chambre, elle se mis sur notre lit et commença à pleurais, elle avait fait preuve d’une force hors-norme pour faire cela. Je suis resté avec elle jusqu’à quelle dorme. Je fis par la même occasion une sieste mouvementée.
Le lendemain, nous nous sommes réunis pour parler. Notre échange de balle avait fait grand bruit dans les environs et nous devions partir vers Détroit, mais cela nous faisait passer par la grande autoroute, qui devait être un vrai carnage. Nous sommes partis au petit matin en direction de la grande route. Nous y sommes arrivées seulement deux jours plus tard. Je ne peux vous décrire l'état de celle-ci, pleine de voitures avec bien souvent, leur propriétaire d'outre-tombe au volant. Nous voulions fouiller un peu les voitures, nous nous sommes donc diviser en trois groupes. Marcus et Lucia, Moi et Lexa, et Anya seul. Nous nous étions donné rendez-vous au bus que nous voyons au loin à 19 heures. Il n'était de 15 heures. Une fois au bus, nous nous sommes installé sur le toit de celui-ci pour faire compte de nos trouvailles. Marcus avait trouvé de l'eau et des vivres, Anya, trois balles de .22lr et nous, bah rien, on ne peut pas être parfaite. Nous avons donc passé la nuit sur le toit du bus.
Au matin, nous sommes parties vers une aire d'autoroute vue au loin. Cela nous a pris la journée pour y arriver, marcher entre des voitures pleines de gentil truc morts, ça n'aide pas vraiment pour la vitesse. Nous étions tellement crevées qu'une fois là-bas, nous avons vite fait le tour pour vérifier s'il y avait encore des morts. Rien, nous ne craignions donc rien pour la nuit. Nous avons mangé et somme aller nous coucher. Mais durant la nuit, nous avons été réveillé par le cris de Marcus et le bruit d'un mort. Nous avons toutes allumé nos torches pour vit tué le mort. Qu'elle ne fut pas notre surprise en voyant que le mort était Anya. Marcus allait mourir dans la nuit, à coups sur il avait une grosse plaie sur le cou. Nous avons donc dure faire un choix. Nous avons attendu ça mort, à ces coté, ça « famille » près de lui. Une fois mort, j'ai planté ma dague dans sa tempe. Malheureusement, celle-ci c'est casser donc l'os, Marcus ne pouvais plus se relever, et j'avais perdu ma dague.
Nous étions toutes sous le choc, en quatre jours, nous avions perdu la moitié des nôtres. Nous sommes partis vers midi, nous étions encore plus lente qu'avant, nous étions déprimées. Nous avons mis un jour de plus à arriver à Détroit. Nous avions le choix de nous cacher dans le métro ou en ville, les iles n'étaient plus envisageables. En entra dans le métro nous avons pu avancer calmement. Mais à un moment, Lucia est tombé et un bruit électrique c'est fait entendre. Elle était tombé face contre le rail, qui étrangement, était encore électrifié. Je ne pouvais même pas tirer ma sœur de là, sinon moi aussi je mourrais, j'ai abandonné toute retenu, j'ai fondu en larme, ma sœur venait de mourir, et je pouvais même pas prendre son corps dans mes bras. Soudain de compris mon égoïsme. Je tué dans gens, j'ai donné le pardon à des amis, mais je n'avais compris ce que cela faisait de perdre un membre de sa famille, son petit copain, j'étais là et je prenais des vies, je faisais passer la mienne avant la leur. Soudain, le chagrin des autres m'ont paru tellement claire, je n'avais pas pleuré pour Mme Clarke, ni pour Teo, Anya ou Shaun, j'avais tout pris sur moi pour montrer que j'étais forte, mais non, enfaite, j'étais juste égoïste.
Alors que je pleurais ma sœur, Lexa m’informa que des rôdeurs arrivaient. Nous sommes donc parties dans la direction opposée, mais là aussi il y en avait, le métro en était plein. Nous devions passer. Nous avons couru à toute vitesse, mais Lexa et tomber, elle c’était faite attraper au niveau de la jambe, ils la tiraient en arrière. Elle ma cria de fuir, mais ça dernière phrase me fit un froid dans le dos : « Kory, je t’en supplie, vie pour moi, fait moi vivre à travers toi ! ». J’ai tiré une balle dans sa direction, espérant que la balle abrège ça douleur. En sortant du métro, j’ai couru vers un immeuble le plus vite que j’ai pu, je n’étais pas bien loin de Cross Point, j’étais déjà venu avec Lucia et Maman par le passer.  Je suis rentré dans un appartement au hasard, ais vite fait le tour et me suis mis sur le lit et j’ai pleuré, il y a encore cinq jour, tout le monde était là. Je venais de perdre ma sœur et la fille que j’aimais en moins de deux heures, j’étais seul, dans une ville conquit par les morts, à la merci de tous.
A l'heure où j'écris, je suis toujours dans cet appartement, maintenant, je ne suis plus Korydwen Crown, je suis Korydwen Clarke, comme ça, je ne pourrais jamais oublier cette famille, ils ne mouront pas. J'écris dans ce carnet pour la même raison pour que si je venais à passer l'arme à gauche, que quelqu'un connaisse notre histoire et que nous puissions continuer à vivre via eux. Je m'excuse d'avance pour toi qui trouvera mon carnet, mon récit et ponctué d'erreur, mais cela fait déjà trois longue année que je marche, pour survivre, cela et si long que j'en perd ma grammaire et mes temps.

Bienvenue du côté obscure de la Force, mon jeune ami !
Maintenant que tu as passé la dure épreuve de la fiche, tu vas pouvoir enfin t'amuser parmi nous. Enfin... Après avoir fait encore quelques petites choses indispensables que voici :

• Tout d'abord, il faut que tu ailles recenser ton avatar dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et ton métier dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], afin de rester quelqu'un d'unique !
  
  
• Afin qu'il soit plus facile pour les autres joueurs de te proposer des liens ou des rps et de rester à jour sur ceux que tu as déjà, pense à créer ton [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ! Il y a un code mis à ta disposition [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu en as besoin, mais la présentation de ce sujet est entièrement libre alors amuse-toi !
  
  
• Si tu viens d'être validé à Fort Hope, il faut que tu passes par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour donner un travail à ton personnage et choisir sa maison.
  
  
• Tu peux aussi créer un scénario si tu en as besoin, dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais sache bien que tu n'as pas le droit d'en proposer plus de deux en même temps, alors choisis bien !
  
  
• Enfin, comme tu peux le voir, nous avons un système de points sur le forum et tout ce que tu dois savoir à ce sujet se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], prends donc le temps de lire tout ça au moins une fois pour être sûr de ne rien oublier !
  
  
• Sache également que tu peux voter pour le forum, et ce toutes les deux heures, en cliquant sur la petite licorne en bas à gauche de l’écran. Grâce à ton clic, tu permettras au forum de garder une bonne place sur Topsite, de le faire connaître, et donc, de ramener des membres potentiels sur le forum. Par ailleurs, si tu crées un sujet dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et que tu postes dedans à chaque fois que tu votes, cela te permettra de gagner deux points par vote !
  
  
• Et surtout n'oublie pas que peu importe que tu sois là depuis un jour ou un an, tu peux contacter le staff à n'importe quel moment si tu as besoin d'aide pour quoi que ce soit concernant le forum. Tu peux aussi demander un parrain dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour qu'un joueur expérimenté t'aide à t'intégrer, alors n'hésite surtout pas !