Sujet: I'm not alone in this city Sam 24 Nov 2018 - 23:20 | |
Cela faisait déjà quelque jour que Korydwen errait, seul dans Détroit, quelque jour que Lucia était morte sur la rame de métro et que Lexa, la fille qu'elle aimait été morte en criant à Kory de fuir, de vivre pour elle. Quelque jour qu'elle se nomme maintenant Kory Clark. Durant ces quelques jours d'errance, elle s'aventura dans une des glorieuses villes du passé, Détroit n'était plus ce qu'elle était et ne le serait plus jamais, trop de choses ont été perdus et celons Kory, l'espèce humaine était vraiment mal barrée. Mais elle voulait vivre, ou du moins survivre à ce monde pourri le plus longtemps possible, pour elle, mais surtout pour les autres, pour Lexa, Mme Clark, Lucia et tous les autres. Pour cela, elle devait trouver de quoi manger, dormir et se protéger. Cela fait quelque temps qu'elle ne voyait plus de mort dans les rues, ou du moins, ils y en avaient plus beaucoup. Es qu'ils migrent ? Bref, peu importe, moins il y a de mort, plus on est en sécurité non ? Kory avait trouvé un petit appartement qui avait appartenu à un jeune couple. Il n'était pas grand, un salon, deux chambres, une cuisine et une salle d'eau. Il était plutôt vide de toute ressource utile si ce n'ait que quelque boite de conserve. Mais était venu le temps pour Korydwen où elle n'en pouvait plus de rester enfermer, à craindre l'extérieur, à craindre les hommes et les morts. Pourtant, elle n'a toujours pas vue un seul être humain vivant dans la ville, pas un survivant, pas un fuyard apeurer, pourtant, elle avait entendu quelque coup de feu et parfois des cris de fin de vie. Maintenant, elle sort souvent, seulement dans le pâté de maison pour faire le tour des autres appartements, mais rien ; pas une arme, pas une boite de vivre, rien. Etonnamment, la rue n'empeste pas la mort, le vent venant du lac chasse l'odeur des morts. Kory voulait s'aventurer plus loin, elle pensait qu'elle avait besoin de protection, aussi bien physique qu'au niveau d'un bâtiment. Après une réflexion plus ou moins longue, qui dira jusqu'à midi, elle opta pour une caserne de pompier. Là-bas, on pouvait trouver des protections, les postes de police devaient déjà être vide depuis longtemps. Les soldats du feu étaient bien protégés par des tenus épais de mémoire. Il était environ midi-trente quand elle entama le chemin vers ce qui semblait être une caserne, en suivant les rares panneaux qui annonçait la direction de la caserne. Après environ une heure de marche, oui, car Kory ne voulait pas courir, car courir faisait du bruit, le bruit annonçait à tout le monde où on était.
La caserne était plutôt petite celons Korydwen pour une ville de la taille de Détroit. Elle ne le savait pas, mais c'était une des casernes secondaires, une caserne de proximité ou il y avait de quoi faire des interventions petites à moyennes, pour les grosses, on appelle plusieurs casernes de ce type. Elle avait estimé le temps de fouille à environ 3 heures, mais maintenant qu'elle se trouvait devant une caserne secondaire, elle ravisa le temps de fouille à environ 1 heures. Elle entra dans la bâtisse et fut étonné de ne pas voir les camions de pompiers dans les garages, après quelque minute, elle se senti un peu conne, les camions avaient sans doute été envoyer au début de l'infection, il y a cela longtemps. Elle fit un rapide tour du garage sans rien trouver, il était grand, il aurait fait un bel endroit pour faire une base, mais seul, isolé, cela ne lui servirait à rien. Elle passa une porte coupe-feu pour entrer dans la salle de garde, il y avait environ une dizaine de casier. Il était tous ouvert, ou éventré, signe des pillages ayant déjà été effectué. Elle passa dans une autre pièce, celle-ci n'était pas grande, elle devait tout juste faire 25 mètres carrés. Cette salle était la pièce où il y avait le tableau de contrôle de la caserne, un bureau avec pleins de bouton, trois écrans, quelque levier et une radio. Korydwen testa la radio, rien, elle était HS. Il ne devait pas avoir de courant et cela depuis longtemps, alors Kory, dans le but de joueur un peu, chose qu'elle n'avait pas fait depuis longtemps, elle appuya sur tous les boutons, en faisait semblant d'être un pompier qui recevait une demande d'intervention. Après s'être amusé durant environ 15 minutes, elle s'assit sur le siège poussiéreux et abimer et fit un break. En regardant plus attentivement la pièce, elle vi une boite dans un coin et c'est en s'accroupissant près de celle-ci dans le but de l'ouvrir qu'elle entendu des bruits de pas.