Comment j'en suis arrivée là ? Pourquoi tu veux savoir ça ? De toute façon on a rien d'autre à faire. Donc, tu veux connaître l'histoire d'une pauvre criminelle incapable de s'adapter à cette société ? Je te préviens juste que je pense pas te raconter une histoire qui commence par « il était une fois... » et qui termine par « et tout est bien qui finit bien », mais bon au moins tu es prévenu. J'viens de Mineola, c'est une petite ville au Texas, y a vraiment rien à faire là-bas et à l'heure qu'il est ça doit être désert.

J'étais le deuxième enfant d'une famille de paysan, enfin ma mère était paysanne, mon père passait son temps à boire dans son fauteuil quand il n'était pas au bar et mon frère a arrêté l'école pour aller voler des voitures. Quand à moi, je n'ai rien fait pour arranger ça, je passais mon temps à casser la gueule de ceux qui se moquaient de ma famille, du coup tout le monde m'évitait et me fuyais comme la peste. Puis avec mon frère et ma mère on a déménager à Détroit lorsque mon père a commencer à frapper sa femme et ses enfants quand il n'avait plus sa bouteille à la main.

Quand je raconte ça aux gens beaucoup me disent « oh ma pauvre, ça a du être dur pour toi », à vrai dire, je n'en veux pas au destin de m'avoir mis dans cette famille, l'odeur de whisky incruster dans le parquet et les coups de poings au visage sa as évité de faire de moi une pauvre fille débile qui ne pense qu'à ressembler à son idole. J'suis même sûr que si j'avais été l'une d'entre elles je me serait déjà faite bouffer par les macchabées ou que je serais une des leurs.

Ou est-ce que j'en étais déjà ? Ah oui ! Détroit. Une fois à Détroit ma mère trouva un petit boulot dans un restaurant pourri et mon frère essayas de trouver un travail entre deux vols de voitures et une revente de drogue. Quand à moi j'ai continuée l'école jusqu'à ce qu'un ami de mon frère me propose un taff dans le trafic d'armes à feu, je devais avoir dix-sept ans à l'époque et vu comment ma mère galérait je voulais absolument gagner un peu d'argent pour l'aider ou pour me casser rapidement d'ici pour éviter de n'être que des frais en plus pour elle.

J'ai fait ça jusqu'à mes vingt ans, après ça on m'a proposer de passer à l'étape au-dessus, le braquage des magasins d'armes et sentant le pactole qu'il y avait à se faire je les ais accompagnée, pendant deux ans. Jusqu'au jour où ont s'est fait avoir, les flics sont arrivés et ont entouré le bâtiment, quand j'ai compris que c'était fini pour nous je suis sorti les mains en l'airs et là je me suis pris une balle dans le genou. Foutu poulets, marcher avec un trou dans la jambe sans pouvoir s'arrêter à cause des flics c'est vraiment quelque chose d'horrible.

Après tout ça j'ai été jeter au trou, je devais passer vingt-huit ans en prison normalement mais finalement grâce à ce magnifique bordel j'en suis sorti au bout de deux. Je m'en rappelle comme si c'était hier, on avait déjà eu des infos sur cette maladie, que ça as commencer en Irak ou dans un pays comme ça je sais plus trop et que sa avait toucher l'Amérique peu de temps après. Je me souviens du jour ou le gardien à ouvert ma cellule en panique et me hurlait de me dépêcher à sortir. En sortant je voyais qu'il y avait deux autres détenus comme moi et un autre gardien qui les tenait en joue avec son arme, le premier me donna une pelle et m'expliqua rapidement que des macchabées étaient entrés dans la prison et qu'il fallait sortir d'ici au plus vite, il m'expliqua également que pour les mettre k.o il fallait viser la tête et ne s'arrêter que lorsqu'on leur as enfoncer ou fendu le crâne.

Et c'est comme ça que je suis sorti de ce trou, en tuant les macchabées qui arrivaient avec les deux matons qui nous demandais d'avancer leurs armes pointer sur nos têtes. Je dois t'avouer que personne autour de moi ne savait ce qu'il se passait et que tous les grognements des macchabées nous glaçait le sang, ce jour-là j'ai pu constater que ces sales bestioles continuait à remuer même après deux coups de pelles dans la tête et que ces trucs n'étaient plus humains, ni même vivants, la première fois que j'ai vus des macchabées je pensais que c'était juste une maladie qu'on peut soigner et qu'en attendant de trouver un remède on leurs filerais des coups de pelles dans la gueule mais j'ai très vite compris que ce qu'on combattais n'avais absolument rien de naturel.

Une fois sorti de la prison on s'est dirigés vers une avenue sans macchabées et plutôt tranquille pour se reposer et pour que les deux matons se décident de où est-ce qu'on va et de qu'es qu'on fait. Je reprenais mon souffle avec les deux autres détenus, ils s'appelaient Bob et Guillermo. Au moment de repartir un des matons nous dit qu'il allait retrouver d'autre d'autres collègues à lui dans le centre-ville et que pour le moment ont devrait continuer à les escorter jusqu'à ce qu'ils retrouvent un autre trou pour nous foutre dedans. Quand j'ai entendu ça je me suis énervée contre eux, devoir les escorter une seconde fois pour nous conduire directement en prison sans parler des macchabées que l'on ne connaissaient à peine et qui étais prêt à nous bouffer si on ne les tuais pas sur le coup.

Le maton pointait son flingue contre moi me demandant de reculer et de la fermer, c'est là que Guillermo à compris qu'on ne retrouverais pas notre liberté avant très longtemps. Guillermo s'énerva également, il parlait avec un gros accent hispanique son pied de biche à la main le tenant fermement comme s'il était prêt à frapper un des flics avec son arme de fortune. Au moment ou les deux flics se tournaient vers Guillermo, je vis la plus belle opportunité qui s'offraient à moi, les deux matons étaient dos à moi et Guillermo était prêt à les faire taire d'un bon coup de pied de biche dans la bouche. Je pris ma décision rapidement et mis un violent coup de pelle derrière la tête d'un des flics, le premier poulet tomba au sol le deuxième se retourna et au même moment Guillermo lui asséna un coup de pied de biche sur la tempe, les deux flics étaient au sol mais toujours conscients je me mis à frapper violemment le premier avec mon arme de fortune pendant que Guillermo s'occupaient du second. Je me suis arrêtée de frapper au moment ou je constatais que les deux flics étaient bien inconscients ou morts.

Pendant tous ce temps-là, Bob était resté immobile, incapable de savoir quoi faire après ce qu'il as vu, c'était quelque chose que j'ai très vite remarquée chez ce gars, très fort quand il s'agit de se salir les mains mais incapable de prendre une décision tout seul. Au bout de quelques minutes on a fini par partir tous les trois vers mon ancien chez moi, j'avais un petit espoir de retrouver ma mère ou mon frère mais finalement en arrivant j'ai rien trouvée d'intéressant, juste la Winchester de mon frère qu'il avait oublié d'emmener surement, une fois dehors je me suis entraînée au tris sur quelques macchabées, en visant la tête des morts j'ai pu en flinguer six sans gaspiller de cartouches mais c'est à ce moment-là que j'ai compris que je devais éviter de tirer avec mon arme, j'avais peur de me retrouver à sec rapidement et je venais de remarquer que les macchabées suivait le bruit comme des chiens à qui ont jetterait une balle.

Je savais que ma mère et mon frère ne reviendrait pas chez moi, alors on y a dormi une nuit, on a emportés ce qu'il fallait pour la route puis on est partis. On avait explorer le nord de Détroit pendant deux semaines sans rencontrer un seul vivant, jusqu'à ce qu'on trouve deux autres personnes, puis une troisième deux jours après, puis un petit groupe de six une semaine après. Au bout d'un mois notre petit groupe de deux était passé à onze personnes au fur et à mesure des rencontres on a pu rassembler tout ce qui nous permettraient de survivre dans ce monde, vêtements, armes blanches, armes à feux, munitions, connaissance... et surtout c'est là qu'on a rencontrée le plus gros problème de ce monde, la bouffe, je te jure que tout le monde crevaient la dalle, on aurait donné n'importe quoi pour une tranche de pain rassis ou une conserve périmée.

Et c'est au moment où tout le monde étaient prêts à se bouffer les uns les autres qu'on les as rencontrés, à l'hôpital Henry Ford, trois survivants dont l'un était grièvement blessé et ne pouvaient plus marcher, l'endroit étaient rempli de cadavres de ce qui était autrefois des vivants et des morts-vivants. Ils avaient un stock de conserve, de fruits, de céréales et de riz assez gros pour au moins une douzaine de personnes. Quand on les a rencontrés, on a négocié des anti-biotiques contre une ration de nourriture pour chacun d'entre nous, ce jour-là je me suis sentie revivre comme tout le monde d'ailleurs. On a finis par s'installer dans l'hôpital avec les premiers occupants, de ce que j'avais appris sur eux c'est que leur groupe s'est fait attaquer par des pillards et qu'après cette attaque ce sont des macchabées qui les ont attaqués, je compris rapidement qu'ils étaient les derniers survivants.

On y est rester pendant environ deux ou trois mois dans cet hôpital, jusqu'au jour où on a été attaquer par un groupe de pillards, ce n'était pas le premier à vrai dire, les groupes de pillards que nous avions rencontré étaient très peu armés mais pas celui-ci. En quelques minutes nous avions déjà un mort et deux blessés dans nos rangs, les pillards avaient l'avantage et l'effet de surprise et c'est seulement après en avoir blessé deux et en ayant tiré beaucoup de cartouches que nous avons pu ralentir leurs progressions. Ce jour-là j'ai compris une chose, ce n'est pas les morts qu'il faut craindre mais bien les vivants.

Cette journée banale c'est transformé en journée de cauchemar pour tout le monde. Les coups de feu avaient attirés une meute qui réussi facilement à rentrer dans l'hôpital, les macchabées étaient trop nombreux et nous pas assez armés contre cette menace, j'ai fuis avec Bob et quelques personne du groupe mais on a rapidement été séparés les macchabées semblaient innombrables, j'ai fuis le plus loin possible jusqu'à ce que je sois sûr de les avoir semer et d'avoir un endroit pour me reposer.

Je t'avoue que ce jour-là, j'avais la haine, j'avais la haine de ce monde, j'avais l'impression d'avoir tout perdu et j'osais même pas retourner à l'hôpital de peur de revoir mes anciens compagnons marcher avec les morts. J'ai fini par trouver une baraque avec un petit stock de conserve et de pommes de terre, j'ai dû me débarrasser de la petite famille qui vivait ici et qui a au passage tenter de me bouffer. J'y suis resté de longues semaines dans cette maison, je cherchais un but à ma vie et un jour je me suis mise à étudier les macchabées. J'ai fait pas mal d'expériences sur ces sales bêtes, d'ailleurs je peux te dire que les morts essaieront toujours de te bouffer même si tu leurs pètes les dents et que tu leurs coupes les bras, j'ai également remarqué qu'ils sont attirés par la viande fraîche, j'ai essayé d'en attirer un avec de la viande séchée ça n'as pas marcher et j'ai même bien faillit y passer ce jour-là.

Ensuite je pense que tu connais la suite, c'est là que je t'ai vu fouiller dans mes affaires quand je rentrais dans ma baraque et que t'as bien failli te pisser dessus quand je t'ai braqué et t'ai demandé ce que tu faisais. Finalement je suis contente de t'avoir rencontrer et je suis contente que tu m'ai pas ouvert le crâne avec ta hache de pompier. Ça va faire quoi ? Deux ans qu'on se connaît ? Même si t'es qu'un mioche et que je déteste les mioche toi je t'aime bien. Bon, fin de l'histoire va dormir, c'est moi qui commence à monter la garde.
 

Bienvenue du côté obscure de la Force, mon jeune ami !
Maintenant que tu as passé la dure épreuve de la fiche, tu vas pouvoir enfin t'amuser parmi nous. Enfin... Après avoir fait encore quelques petites choses indispensables que voici :

• Tout d'abord, il faut que tu ailles recenser ton avatar dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et ton métier dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], afin de rester quelqu'un d'unique !
  
  
• Afin qu'il soit plus facile pour les autres joueurs de te proposer des liens ou des rps et de rester à jour sur ceux que tu as déjà, pense à créer ton [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ! Il y a un code mis à ta disposition [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu en as besoin, mais la présentation de ce sujet est entièrement libre alors amuse-toi !
  
  
• Tu peux aussi créer un scénario si tu en as besoin, dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais sache bien que tu n'as pas le droit d'en proposer plus de deux en même temps, alors choisis bien !
  
  
• Enfin, comme tu peux le voir, nous avons un système de points sur le forum et tout ce que tu dois savoir à ce sujet se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], prends donc le temps de lire tout ça au moins une fois pour être sûr de ne rien oublier !
  
  
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