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Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 Knock knock.
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MessageSujet: Knock knock.   Knock knock. EmptyVen 4 Jan 2019 - 21:46
On était à deux millimètres de s'ouvrir la main, quand même.

Jasper avait eu de la « chance », en traficotant la serrure de cette fenêtre. Et avec de gros guillemets, car clairement, il était temps pour lui de cesser ces enfantillages de vols et divers larcins qui avaient déjà eu raison de sa réputation la première fois qu'il vivait à Fort Hope.
Et pourtant, ce gosse n'apprenait jamais.
Voler à l'extérieur n'affectait jamais personne. Au mieux, c'était des trucs abandonnés ou que personne n'a pu récupérer à temps, au pire, c'était des possessions arrachées à leurs propriétaires, et il n'allait plus jamais les revoir.

Mais allait-il perdre cette mauvaise habitude une fois refourgué dans la communauté ? Pas du tout.

C'était même placer beaucoup d'espoir et de confiance aveugle en lui. Enfin, pas tout à fait. Car la consigne de l'éloigner absolument de toutes les réserves de Fort Hope s'il était seul avait fait le tour du coin les quelques heures qui avaient suivi sa réinsertion par les militaires. En plus, avec justement ces gros bras forcenés qui partageaient les mêmes couches que les civils comme lui, il était encore plus risqué de se jeter volontairement dans de beaux draps. Dehors, il pouvait fuir les représailles. Mais ici, c'était se prendre une beigne impossible à éviter.

Jasper s'était donc résolu à faire hyper gaffe quant à ses mains baladeuses lorsque celles-ci le démangeaient. C'était pas faute de faire des efforts. Hors de question de dérober des objets trop personnels si c'était rentrer dans la gueule du loup ; il fallait faire ça avec la discrétion d'une termite : commettre son délit, puis laisser les autres remarquer l'anomalie plus tard.

Les plus intelligents savaient parfois qui accuser, et les plus paranos avaient tendance à se tourner vers le même homme lorsqu'ils avaient tout simplement perdu quelque chose. En même temps, des objets perdus, Jasper en avait possiblement déjà eu quelques-uns.
C'est pour cela que, dans cette maison, tout allait en principe bien se passer. Après tout, elle était vide.
Il n'aimait pas demander ce genre d'infos aux gens. Poser la question pour savoir « si quelqu'un vit dans la maison n°21 » aurait rendu à son interlocuteur le même niveau de suspicion qu'un jeune ado' en pleine puberté qui répond à la police dans un fort accent des rues qu'il « prend pas d'drogue, m'sieur, la vie d'ma mère qu'c'est vrai ». « Fils d'eup ».

C'était con à dire, mais il était plus sage de faire ça sans mettre la puce à l'oreille de quiconque. Autant il aurait pu demander s'il était possible de récupérer des trucs possiblement abandonnés dans la maison, autant il était persuadé qu'on le lui aurait justement refusé l'accès parce que c'était lui. Décision logique, on allait pas les blâmer. Ne lui restait donc plus qu'à entrer par effraction dans une maison qu'il pense tout à fait vide et inhabitée. Avec quelques trésors bien cachés, s'il vous plaît.

La vitre s'ouvre, Jasper peut y mettre un pied sans que son oreille tendue n'y décèle quoi que ce soit.

Peut-être allait-il pouvoir se servir sans devoir se presser. Après tout, qu'est ce qu'on viendrait foutre dans une maison habitée par personne ?
Elle n'avait pas l'air bien aménagée, en tout cas.
Dans la maison n°27, Jasper y avait foutu à lui tout seul un bazar monstre. Il ne lui viendrait peut-être pas à l'esprit qu'on était pas tous bordéliques, et qu'une personne vivant seule pouvait garder un habitat propre et bien rangé. Chez lui, c'était propre, mais le sol avait disparu par endroits sous diverses montagnes de choses (volées, souvent. Et tout se déplaçait quand objet dû était restitué).

Le coin des lèvres déformé par un petit sourire tranquille, il fouilla les coins de la maison abandonnée.
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MessageSujet: Re: Knock knock.   Knock knock. EmptyVen 4 Jan 2019 - 22:58
Pfiou! c'était enfin la fin de cette longue et chaude journée. la chaleur accablante de cette journée estivale  avait rendu plus éreintante encore l'expédition dans les zones  encore non sécurisées aux alentours de Grosses Pointe. Au final ça avait été une bonne sortie puisqu'elle et son équipe d’approvisionnement avaient rapporter pas mal de vivre qui permettraient a tous de vivre le ventre vide quelques jours de plus. Et même si deux chargeurs complet de balles avaient été logées dans autant de cervelles putrides, c'était un moindre coût  pour  le butin retiré. Et puis une petite horde de moins a rôder dans les parages de la fine et fluctuante frontière entre la zone sûre et celle qui ne l'est pas, c'est toujours bon a prendre.

C'est donc la satisfaction du devoir quotidien et nécessaire bien accompli que Brune tannée par le soleil  rentrait tranquillement vers sa maison. l'idée même d'une bonne douche fraîche lui donnait des frissons d'envie et elle se retint de s'allumer une clope pour faire le chemin décontractée et les mains ballantes sur son arme qu'elle tenait en bandoulière. Elle n'en avait que trop peu de ces précieuses cigarettes et bien qu'elle eut espéré en trouver peut être ne serait-ce qu'un malheureux petit paquet lors de cette expédition de recherche de biens consommables dont Fort-hope manquait cruellement. Elle n'en dénicha aucun et c'est bredouille et déçue de ce coté là qu'elle revenait. Mais bon il lui en restait encore ... pas beaucoup .. mais en rationnant  elle avait de quoi tenir un peu.  

Alors, les clopes étant si précieuses, elle délogea d'une poche interne une dragée de chewing-gum à la nicotine pour se la coller entre les dents  et la mâchonner en inspirant l'air paisible du soir. ça ne valait pas ,et ça ne vaudrait jamais d'ailleurs, le vrai bon goût d'un clou de cercueil a griller jusqu'au linceul mais au moins ça occupait les mandibules de la jeune femme et ça parvenait , quoi que relativement, à lui passer l'envie de fumer.

Sous la frondaisons des arbres qui bordaient les allées de la zone fortifiée, zinzinulaient des criquets perchés

Jazmìn arriva sur le pas de sa porte pour sortir la clef de celle-ci qui était dans l'une des poches pectorales de son gilet pare-balles. Pour se faire, elle déposa la cross de son arme sur le pallier et appuya le canon contre le mur avant ouvrir la porte naturellement avec la clé en actionnant la poignée de l'autre main.

Une fois ouverte elle entra et se défit de son gros sac à dos rempli des vivres et des quelques consommables qui lui avaient été attribués en guise de solde pour la réussite de cette excursion providentielle  le paquetage heurta le parquet dans un léger fracas d'abondance. Puis elle fit craquer son dos en revenant à l'entrée pour  récupérer son arme et ferme la porte derrière elle.

L'envie de se jeter illico sous la douche attendit qu'elle aille pisser un coup dans les toilettes du bas et c'est en ressortant après avoir éteinte la lumière qu'elle le vit!

là!

devant elle!

          au beau milieu du salon! un type! un p'tit gringalet avec ses lunettes de soudeur sur le crâne et sa dégaine de belette fouineuse. Jazz ne mit approximativement qu'une demi seconde pour le reconnaître, malgré la seule présence de la lune qui plongeait la pièce dans une pâle pénombre grisâtre. C'était ce sale petit voleur ! ce mecton fiable et franc comme une jument qui recule qui avait été accusé à plusieurs reprise d'être le responsable de la disparition de nombreux objets rares, ressources, et autres quincailleries plus ou moins importantes dans tout  Fort-Hope!  Il avait même été expulsé de la zone pour ses exactions .C'est bien simple cette trombine de renard là était tellement connue et si souvent notifiée pour filouterie que même si Jazmìn le voyait en chair , en os et en googles, la devant elle dans SON salon, que pour la première fois. Elle n'avait aucune peine à faire le rapprochement avec son signalement et à confondre sans l'ombre d'un doute son identité:

"Jasper Vegas !!! Putain de nom de dieux! tu oses  venir me voler moi! espèce de..."

Les poches et la veste de l'intru étaient déformées par les fruits de don larcin et bien qu'elle ne sache pas encore ce qu'il avait bien put trouver a lui tirer, Il n'en fallait pas plus pour qu'elle sonne la charge!

Elle s'élança sur lui pour tenter de lui mettre la main dessus et lui faire passer le pire sale quart d'heure de sa vie.  Mais dans la précipitation elle oublia qu'elle n’avait pas encore rattaché la boucle de son ceinturon et qu'au bout de deux pas vers le cambrioleur, elle commençait à perdre son treillis.  Bien contrainte de prendre le temps de ceindre sa taille en pestant, elle ne put l’empêcher de s'enfuir derechef par la première issue possible.

Elle gronda de plus belle et fulmina qu'il ose en plus tenter de se faire la malle ...
"Reviens ici! Végas! Stop! rhaaa l'enculé!"

Trop tard et pas la peine de tenter de lui tirer une balle dans le cul -même si elle en était parfaitement capable- avec son fusil d'assaut ... avec toutes les personnes qui flânent à cette heure-ci dans les rues de Fort-Hope, des enfants, des vieillards ... c'était la "bavure bête" en dommage collatéral assuré. Il ne restait plus qu'à lui courir après pour lui reprendre ce qu'il avait piqué. d'un coup d'un seul en l'espace d'une poignées de seconde, la promesse d'une soirée peinard bain, clope, musique dans les oreilles et point barre ... venait de se changer en ce qui allait être une putain de course poursuite au travers de la ville. Jazz avait beau en avoir plein les rangeos quand elle passa le pas de la porte vers l'intérieur, c'est reboostée et survoltée par la colère de s'être fait braqué sa baraque qu'elle en sortait comme une tempête à la poursuite de Jasper le Voleur.
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MessageSujet: Re: Knock knock.   Knock knock. EmptyDim 13 Jan 2019 - 14:19
Combien de fois la maison fut-elle habitée pour y retrouver des trucs en « si bon état » ? Avec des guillemets, bien sûr ; car souvent, les dits objets étaient certes utilisables, mais rongés par le temps et le nombre de fois où on en avait abusé. Il était plus compliqué aujourd'hui de garder des choses intactes ou neuves (comme sa Gameboy chérie, seule femme dans sa vie).

Jasper avait pu doublement constaté qu'il n'y avait vraiment personne ici – de toutes façons, il n'y avait aucune lumière au milieu de cette pénombre nocturne. Ce fut donc sans retenue qu'il fouilla et re-fouilla les fonds de tiroirs, le dessus des étagères (pas grand chose, à part la poussière) et même le compteur électrique, lorsqu'il se demanda si la maison était réduite au niveau de débarras à cause d'un manque éventuel de jus (d'ailleurs, pour ne pas se faire repéré, il ne toucha à aucun interrupteur pour s'éclairer. La lune serait suffisante).
Pourtant plutôt bien arrangé, pour un débarras...

Il n'avait pas de sac, mais les poches de sa veste étaient vides. Et il y avait toujours un peu de place dans celles qui ornaient sa ceinture. Étonnant, quand même, de trouver des trucs aussi utiles ici et de les entreposer là dans une bicoque que personne n'occupe. Ou alors...

Ou alors, le ou la plus récent.e propriétaire avait prématurément décédé ?
Un petit frisson lui parcourut l'échine, si bien que lui-même émit un « Ouuuh... » de dégoût en secouant les épaules. 'manquerait plus qu'il se fasse tué par le dit proprio' devenu fantôme ou autre connerie du genre.
Les esprits malfaisants, ça aurait été peut-être plus gérable que des zombies. Même si c'est pas l'avis des héros de films du genre. Il faudrait qu'il revoit The Grudge ou même The Ring, histoire d'avoir bien la pétoche avant de dormir. Mais personne ne lui prêterait de DVDs.

Et là, un bruit.

Jasper s'immobilisa, comme si l'on venait de lui souffler dans le cou par surprise. Il tourna la tête vers la porte de la chambre, où il se trouvait justement... celle-ci était ouverte.
Il y a quelqu'un, en fait... ?
Kayako, c'est toi ?
Un fracas répondit à sa question qu'il n'avait fait que penser. Nouveau souffle dans le cou. Au moins, si c'était un rôdeur, il l'entendrait grogner et saurait quoi aviser ensuite. Mais là, non, c'est ça le pire ! Pas de bruit, que de l'inconnu à découvrir par le biais de son oreille ! Comme dans Shining !

Il n'osa bouger de nouveau que lorsqu'il entendit une porte se fermer. La personne semblait s'être enfermé quelque part. Peut-être aux toilettes ? Merde, si quelqu'un était ici, mieux valait décamper avant de ne tomber nez à nez avec. Dommage que le parquet ne soit pas une moquette, ça permettrait à Jasper de couvrir le bruit de ses pas...
Car ici, tout le monde apprend, au fur et à mesure, à être à l'affût. Et Dieu savait qu'il y avait des plus paranos et coriaces que ce satané voleur.
Le Franco-américain tâcha de traverser la maison en crabe, doucement, au même rythme que le stress de se faire prendre trop tôt. Il passa devant une porte fermée devant laquelle il entendait un petit peu de bruit. La personne était juste derrière.

Vite. Vite !

Peut-être aurait-il dû courir en entendant la chasse d'eau car, une seconde après, une voix agressive lui cria dans le dos :

« Jasper Vegas !!! Putain de nom de dieux! tu oses  venir me voler moi! espèce de... »

Il avait tellement de veine (ironie palpable) qu'il réalisa à l'instant qu'il était en train de cambrioler la maison d'une militaire qui l'avait dans le viseur. Ouch.
Jasper se maudit intérieurement pour ce malheureux coup du sort et pour ne pas avoir été assez rapide. Mais quand même : quelle sale guigne.

Comme dans un film policier un peu drôle, Jasper se retourna lentement en levant les mains pour montrer qu'il n'était pas armé (c'était absolument pas dans ses habitudes, de toutes façons). Et, crispé entre le regard tueur de la dame et sa bourde, il sourit de toutes ses dents en lançant un des plus sympathiques – c'est dire s'il tente :

- Heeeeeeey... Jazmiiiin... Mais, tu vis ici, en fait ...?

Le ton montrait clairement qu'il hésitait entre « depuis quand tu crèches dans cette maison » et « yooo, me cours pas après, s'il te plaît ». Hélas, il n'allait recevoir ni réponse à sa question, ni satisfaction à sa requête.
Car Jazmin se mit aussitôt à le poursuivre, telle un Coyote qui cherche à dévorer tout cru le Beep Beep (et il pouvait être quasiment sûr qu'elle lui réservait le même destin).

Jasper prit aussitôt la fuite en criant des « WOH » et autres « ATTENDS ATTENDS ATTENDS » dans toute la maison. Il fallait qu'il trouve une échappatoire, physique comme morale, avant qu'elle ne lui mette la main dessus.

Par chance, le Seigneur lui accorda quelques secondes d'avance, et Jazmin prit un léger retard qui joua en la faveur du Voleur. Il n'eut même pas besoin de regarder derrière lui pour le constater : un « Reviens ici! Végas! Stop! rhaaa l'enculé! » enragé fit la commission exprès. C'était sa chance : la porte d'entrée n'était qu'à une petite poignée d'enjambées. Il la prit immédiatement sans la refermer – c'est qu'il avait de précieuses secondes de vie à économiser !

Il voulut aller si vite qu'il se prit des petits cailloux en sortant, lui faisant perdre l'équilibre un bref instant, mais il sut le retrouver en laissant toutefois derrière une des affaires qu'il avait volé. Faut dire que ses poches menaçaient régulièrement de perdre de leur butin, dans cette course folle.
Si l'on demandait à Jasper « la bourse ou la vie », vous saurez que ça lui fera toujours mal au cul que de devoir toujours choisir la vie – après tout, à quoi bon être riche si ce n'est plus pour pouvoir en profiter après ? Elle est con, ta question.
Dire qu'en étant la cible de rôdeurs, Jasper pourrait s'évader un peu plus facilement. Or, là, il avait affaire à une militaire qui avait plus d'aptitudes physiques que lui. Jazmin, en plus. La meuf qu'il a déjà agacé par le passé puisque souvent là quand le Voleur mettait les mains là où il ne fallait pas dans Fort Hope.

Elle était la flic qu'il ne devait pas croiser. Et il était entré en effraction dans sa maison. Chouette.

Jasper ne pensait à rien d'autre qu'à courir pour son minois. Tant pis si c'était attirer des têtes extérieures à la situation ; il avait une fauve à ses trousses, nom de Dieu !
Comme un Petit Poucet paniqué, il lâcha peu à peu derrière lui une dégueulasse ligne de fuite à cause de certains objets qu'il avait dérobé dans la maison : les poches étaient certes grandes, mais à trop les remplir, courir comme un dératé pouvait simplement vider ce qui en dépassait. Et plus il entendait des choses tomber de sa veste, plus il paniquait. À tel point qu'il pensa avant tout à rejoindre sa propre maison, la numéro 27.

- J'SUIS DÉSOLÉ, C'EST BON, C'EST BON ! cria-t-il sans jamais se retourner.
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