Aujourd'hui, nous accueillons, un grand soldat de l'armée américaine, il est devenu soldat depuis l'âge de dix sept ans et il a gravis les échelons, jusqu'à devenir l'un des généraux les plus respectés de sa génération et surtout, jusqu'à devenir le secrétaire à la défense notre gouvernement.

Bonjour Général Washington, il s'avère que vous avez été nommé par le Président afin de remplir le rôle de secrétaire à la défense, mais le public ne vous connaît pas encore suffisamment, aidez nous à comprendre qu'elle peut être le parcours que vous avez pu faire pour être l'homme que vous êtes ?

Alors bonjour mademoiselle, je dois dire que vous commencez plutôt bien vos questions et je vais vous répondre sans rien vous cacher. En 1983, lorsque j'ai atteins l'âge de dix-sept ans, je suis entré dans l'académie militaire de West Point. C'est mon grand-père paternel, qui était l'un des deux sénateurs du Texas à se moment qui m'y a envoyé, afin de faire mes classes. Je suis sorti de cette académie, plusieurs années après, avec un diplôme scientifique en poche, mais aussi le grande de sous-lieutenant, avec pour spécialité la stratégie militaire. Par la suite, j'ai été envoyé sur différents champs de bataille au cours des années qui ont suivis. J'ai fait la guerre du Golfe, la Guerre de Bosnie-Herzégovine et la guerre du Kosovo. Durant toute ses guerres, mon rôle était de mettre en place des stratégies militaires pour mon escouade.  

C'est intéressant, mais je peux aussi voir au niveau de votre torse plusieurs médailles, pouvez-vous nous éclairer sur celle-ci ?

La première médaille que vous voyez accroché à ma poitrine, m'a été donné durant la guerre du Golfe. C'était quand j'ai permis à mon escouade de sortir d'un piège mis en place par nos ennemis. Nous étions maintenu sous feu nourri pendant plusieurs jours, jusqu'à ce que je puisse trouver une stratégie afin de nous sortir de cet enfer. La seconde m'a été remis des mains de la reine Elizabeth d'Angleterre. Nous participions à une guerre en compagnie de nos vieux amis britannique et j'ai pu faire sortir les anglais sans aucun problème d'une attaque ennemie.

Tout ça, montre votre courage, mais pour en arriver à obtenir un poste si élevé dans l’administration, qu'elle peut être votre relation avec le président ?

Je connais le Président, depuis plusieurs années maintenant. Alors qu'il était un tout jeune travailleur social, non loin, ou j'avais été posté à la base  et depuis ce jour, nous avons toujours conservé de grandes relations amicales. Il est sûrement l'un des hommes que je respecte le plus au monde et un de mes plus précieux amis.

Afin d'aider nos lecteurs à en apprendre plus sur vous et afin de les aider à vous comprendre, pouvez-vous nous parlez de votre vie privée ? Votre relation avec votre épouse par exemple ?

J'ai connu mon épouse à Washington, le jour ou j'ai reçu ma médaille pour mes actes durant la guerre du Golfe. Elle était à cette époque une diplomate, reconnu et elle travaillais pour le secrétariat d'état. Nous nous sommes aimé tout de suite et nous avons été profondément attaché l'un à l'autre. J'avais l'impression d'avoir trouvé la seconde partie de mon âme et c'est pour cela que j'ai décidé de lui demander sa main en 1995, le 14 fèvrier et nous nous sommes officiellement marié le printemps suivant. Nous nous sommes aimé pendant vingt ans, avant de divorcer d'un commun accord.

En sachant cela, comment pouvez-vous nous permettre de croire qu'il n'y a pas d'interférence entre la défense et la diplomatie internationale, sachant que vous êtes marié ?

Nous avons toujours réussit à maintenir une distance entre notre métier public et notre vie privée. Notre relation a toujours été profonde et pleine de tendresse, nous nous sommes aimé pendant très longtemps, mais au fil des années, il ne restait entre nous que de la tendresse et une habitude de vivre ensemble. Nous n'étions plus un couple cinq ans avant la fin de notre mariage, mais des meilleurs amis. Un soir, mon ex femme est revenu à la maison pour m'apprendre qu'elle avait rencontré un autre homme et qu'elle souhaiter que l'on divorce. Je l'ai regardé et j'ai sourit avant de la prendre dans mes bras et déposer un baiser sur le front. Nous avons divorcé trois jours après et j'ai assisté à son mariage six mois après. J'ai toujours été très fier de la femme qu'elle est et j'ai apprécié énormément notre vie ensemble, mais à un moment, il est préférable de changer d'air.

Nous vous remercions de nous avoir accordé du temps pour répondre à nos questions avec autant de sincérité et nous vous souhaitons bonne chance dans votre nouveau poste.

Cet interview date maintenant de plusieurs années et quelques semaines après mon rendez-vous avec cette journaliste, je suis parti en Afghanistan, afin de rendre visite à nos troupes dans ce territoire, tenue par des terroristes. Alors que je suis sorti du camp pour rendre visite à une amie qui était venu exprès pour me rencontrer, nous avons été capturé par le groupe terroriste extrêmement connu. Nous nous sommes retrouvé pendant plusieurs semaines et nos deux gouvernements respectif avait ressut une demande de rançon pour notre libération. Elle et moi avons prit la seule solution qui s'offraient à nous. Les États-Unis ne devront jamais payer une rançon et la seule solution pour empêcher cela aurait été de nous suicider pour empêcher la libération de plusieurs hauts dignitaires retenu à la fois par l'Amérique et l’Israël.

La seule anicroche à notre plan a été l'épidémie qui a soulevé le monde et alors que nous étions presque à devoir nous tuer, l'un des chefs terroristes est venu nous retrouver tous les deux et nous avons convenu que seul les États-Unis pouvaient combattre l'épidémie. C'est pour cette raison que quelques mois après le début de la fin du monde, les terroristes nous ont ramené aux USA et c'est ainsi que Ziva et moi-même nous nous sommes retrouvé dans le bunker avec le président. Ziva a toujours été l'une des mes plus proches amis et même quand elle est devenu directrice du MOSSAD. Son gouvernement à décidé de la laisser aux États-Unis afin de pouvoir aider le gouvernement américain dans la recherche du remède.

Alors que nous avons appris que les problèmes dans à Fort Hope risquait de causer une révolte et aussi que certains militaires pouvaient se montrer pire que des loups, je suis allé à Fort Hope accompagné de ma seule garde du corps et de mon chien afin de prendre le pouvoir et de remettre les militaires à leurs places, celui de protecteur de la veuve et de l'Orphelin.