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Depuis l'été 2014, l'Apocalypse règne sur le territoire américain. Dans la région de Détroit, les survivants s'organisent seuls depuis des mois pour sauver leurs vies et résister aux rôdeurs. Quand, après trois ans sans nouvelles du gouvernement, l'armée revient à Détroit, un nouvel espoir semble possible pour les survivants. Mais à quel prix ?
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 Alex † Something like death
In Your Flesh :: Last pub before the end of the world :: Archives :: Fiches de Présentation

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MessageSujet: Alex † Something like death   Alex † Something like death EmptySam 23 Jan 2016 - 10:37

Dernière édition par Alex Collins le Jeu 11 Fév 2016 - 19:18, édité 3 fois
“ Alex H. Collins ”

Informations Générales

Prénom(s) : Alexandra "Alex" Hope
Nom : Collins
Date de naissance : 12 janvier 1985
Âge : 30 ans
Métier / Études :  Ancienne éco-terroriste, elle faisait des études en chimie biologique avant que sa tête soit mise à prix par les autorités.
Statut social : Célibataire
Orientation sexuelle : Comme si ça avait encore la moindre signification aujourd'hui ...
Groupe : I'm a lonesome cowboy
Avatar : Emilia Clarke
† Elle s'est mariée à vingt ans, sur un coup de tête. L'union aura duré le temps d'un battement de cils, le temps qu'ils s'aiment et se déchirent. Il l'a quitté du jour au lendemain en ne laissant que son alliance derrière lui. † Elle a la phobie des ... Lapins. Elle a déjà failli se faire avoir par un rôdeur après qu'elle ait hurlé en tombant sur une de ces bestioles. † Sa mère était venue la rejoindre à Miami lorsque l'épidémie s'est déclarée. Elle a dû la tuer elle-même après que la fièvre l'ait emporté et elle en fait encore des cauchemars la nuit.
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Caractère et Personnalité

Déterminée † courageuse † indépendante † débrouillarde † réfléchie.
Orgueilleuse † froide † manque de tact † fait difficilement confiance † a un rapport compliqué avec l'autorité.

Outre les lapins, Alex a en horreur l'hypocrisie et les moralisateurs. Elle considère tous les êtres humains sur un pied d'égalité, appréciant particulièrement qu'on se range à son avis ou, dans une moindre mesure, qu'on le prenne en compte. Elle aime la solitude autant que cette dernière peut parfois lui peser, c'est pourquoi, lorsqu'elle a trouvé Pépé - son berger allemand -, elle n'a pas beaucoup hésité avant de le garder avec elle. Avec ses pairs, en revanche, les choses sont un peu plus compliquées : elle a vu ce que l'Homme pouvait engendrer de pire et ne leur accorde aucune confiance jusqu'à preuve du contraire. Avant l'épidémie, la société consumériste lui posait un réel problème ... Mais disons que désormais, la question ne se pose plus vraiment, étant donné que l'argent n'a plus de valeur, pas plus que les belles maisons.

CARACTERISTIQUE PHYSIQUE / PSYCHOLOGIQUE
Alex aurait eu toute sa place chez les Amish, à bien y réfléchir. Le mode de vie moderne ne lui convenait pas, elle qui se contentait de peu et plaçait la préservation de la nature au-dessus de tout. Elle n'a jamais eu ni ordinateur ni téléphone portable, ne les utilisant qu'en cas de nécessité. Aussi, la chute de la civilisation lui a finalement posé moins de problèmes qu'à d'autres, ce qui peut expliquer qu'elle ait survécu jusqu'ici. Aidée par des années de cavale. Fichée comme éco-terroriste, elle a dû changer d'identité plusieurs fois. De visage, également. Cette espèce de polymorphie fait qu'aujourd'hui encore, elle a du mal à discerner sa véritable personnalité : tantôt tactile, tantôt glaciale; un sourire un instant pour mieux se renfermer celui d'après. Et elle en souffre intérieurement, bien qu'elle essaie de ne pas s'attarder sur ce point, la nouvelle existence du monde ne le permettant pas.
Elle s'adapte à son interlocuteur, ce qui fait d'elle - un peu malgré elle - une bonne manipulatrice dans certains contextes. Son radicalisme s'est encore exacerbé avec l'épidémie : la planète n'est plus à défendre, ses valeurs, elles, oui. La confrontation ne l'effraie pas le moins du monde et son souci avec l'autorité est d'autant plus évident dans ces moments-là.
Quand elle veut quelque chose, elle est prête à tout pour l'obtenir. Elle est ce qu'on appelle une "sang-froid" - à l'image du serpent qu'elle a tatoué sur la nuque. Tirer, tuer, achever ... S'il le fallait pour survivre, de toutes les manières, s'adapter en ce sens ne lui a pas demandé énormément d'efforts. Certaines de ses décisions en ce sens sont d'ailleurs discutables tant elles paraissent extrémistes ou dépourvues d'empathie.
Pourtant, si on prend la peine de la connaître et une fois le palier de la méfiance mutuelle dépassée, elle peut s'avérer une compagne de (sur)vie de poids et une amie loyale. Elle ne laissera jamais un proche derrière elle si elle le peut et n'hésitera pas à prendre les mesures nécessaires pour le protéger en cas de menace.

“ Histoire ”

Avant, l'argent était tout. Ces liasses de billets que l'on aimait exhiber, les hectares de terres, les somptueuses villas toutes plus chichement décorées les unes que les autres ... Et que dire de tous ces fils à papa en jaquette et leurs nanas au dos droit, menton haut et robe griffée ? Tous ces gens se riant du sort de leur prochain tant que leur compte en banque restait bien garni ? Le tableau d'une société qu'Alex, née Alexandra Hope Collins, a expérimenté les dix-sept premières années de sa vie. Elle les revoit encore, avec leurs verres de bourbon à la main, leurs rires gras, la boucle de ceinture fraichement lustrée et les bottes justes cirées, discuter du cours de la bourse et de leur dernier chèque à plusieurs zéros comme d'autres se vanteraient des résultats scolaires de leurs bambins. Elle se souvient de son père et de ses belles voitures, de ses têtes de cerfs, de lion blanc ou de léopard des neiges, gonflé par la fierté de sa réussite. Et sa mère, avec son beau canapé en cuir de vachette japonaise, expédié par jet privé depuis le pays du soleil levant. Les Collins étaient riches. Très riches. Trop riches. Exploitant de pétrole depuis plusieurs générations sur les belles terres du Texas, ils ne connaissaient ni la faim, ni le manque.

L'argent avait une odeur : celle de la pourriture. Partout où il passait, il détruisait tout. Les fleurs fanaient, les arbres étaient déracinées et les animaux mourraient ou, au mieux, migraient. Des visons dépecés, des tonnes de feuilles en papier pour des milliards de citoyens ... Chaque objet, chaque personne, humait déjà la mort. Bien avant que cette dernière se jette sur eux afin de les mordre ou de les éviscérer.

Et si tout ceci n'était qu'un juste retour des choses ? Tiraillée, Alex oscille entre cette pensée cynique et une immense tristesse. Régulièrement, l'oreille et l’œil aux aguets, elle se repasse le film de ce qui a été sa vie jusqu'à présent, des choix qui l'ont conduite ici. Vivante. Etrangement vivante, là où d'autres, plus forts et expérimentés qu'elle étaient tombés.

Quitter Fort Worth avait été comme une délivrance. Le lycée terminé, elle était partie faire ses études à Détroit. La jeune fille était intelligente et surtout, ambitieuse. Depuis toute petite, elle avait l'intime conviction - d'une immense modestie - qu'elle pourrait changer le monde. Sous son égide, plus personne ne se servirait des animaux comme de cobayes et la planète fleurirait à nouveau d'immenses forêts. En tant que future scientifique accomplie, elle trouverait des alternatives au plastique et des substances protéinées aussi nutritives que la viande de boeuf surconsommée. Un double cursus en chimie et en biologie devait permettre de combler ses grandes aspirations. Son chemin, loin de sa famille aussi stéréotypée que consumériste, lui semblait tout tracé. Sauf que, comme chacun le sait et l'apprit-elle à ses dépends, une rencontre et tout pouvait basculer.

Il était si beau, si charismatique. Un grand orateur. Le genre gourou de l'écologie des temps modernes. Exit les boubous de hippies et les cheveux gras, ce type-là portait des chemises, une belle mèche couleur de jais sur le front et brandissait un porte-voix. Le coeur d'Alex chavira, à l'image de son bon-sens. Lorsqu'il lui demanda de lui fabriquer une bombe destinée à faire exploser un laboratoire d'une grande enseigne cosmétique, elle s'exécuta sans réfléchir. Un vigile mourut cette nuit-là, soufflé par la détonation. Elle avait assassiné quelqu'un. Leur petit groupe ne tarda pas à être repéré par les autorités et elle dut fuir. Autant dire que le gourou de son coeur l'avait dénoncé sans honte aucune quand lui, fut attrapé. Mais elle, les flics ne l'eurent jamais. Une famille comme celle des Collins avait des contacts, les groupuscules qu'elle fréquentait, encore davantage. Quatre années durant, elle se cacha de jolies chambres d'amis en squats miteux. Tantôt brune, tantôt rousse, tantôt blonde ... Des stilettos aux baskets poussiéreuses, il n'y avait jamais qu'une carte d'identité, qu'un portefeuille volé, qu'un compte en banque détourné, qu'un pigeon à plumer ou qu'un lit dans lequel se coucher. Et elle adorait cette existence. Changer de visage, de nom, de personnalité, elle muait sans peine, s'en amusait, noyait sa conscience dans un trop-plein de substance, se retranchait derrière sa morale toute personnelle ou la notion de "nécessité absolue".

Ses parents déboursèrent un gros paquet pour le détective privé qui retrouva sa trace, à Miami. Sa mère n'attendit pas le matin pour affréter le jet et la retrouva dans la chambre de motel où sa fille avait élu domicile l'espace de quelques semaines. C'était la veille de la première émeute. A leur dispute se succéda la peur. Le temps de comprendre que les morts se relevaient et que le virus qu'ils portaient cherchaient à tout prix à se transmettre à coups de dents, Mary fut contaminée. Barricadées dans un magasin abandonné, Alex la veilla jusqu'à ce que la fièvre l'emporte. Et assista à sa résurrection, impuissante, terrorisée. Le coup de feu lui défonça le crâne, un peu par hasard. Elle n'avait pas visé, obéissant à son instinct de survie - qu'elle découvrait en même temps que l'horreur de ce qui l'attendait à l'extérieur. Ce second "meurtre" la changea irrémédiablement. Dès lors, il ne fut plus question que de rester en vie. Quel qu'en fut le prix.

Si on lui avait dit, au début de ses frasques, que son statut de fugitive lui serait aussi utile, Alex aurait haussé les épaules. Son propre avenir ne l'intéressait plus depuis longtemps - depuis l'abandon, depuis la trahison. Tout ce qu'elle avait fait, pensait-elle, était par jeu. Elle avait mis sur le compte de son intelligence couplée à une feinte insouciance, l'exaltation provoquée par le flot d'adrénaline perpétuel. Elle réalisait désormais qu'il s'agissait de plus que ça et que ses aptitudes pouvaient s'étendre dans un contexte beaucoup, beaucoup plus sombre.

Elle se mit en tête de retourner à Détroit. Un but comme un autre, il lui en fallait bien un, après tout. D'après les dires de sa mère, son frère cadet y était installé depuis quelques années. Elle voulait le retrouver. Elle le devait. La route fut longue et implacable. Morts ou vivants ... Difficile de faire une différence. Les deux marchaient mais seul un des deux pouvait s'avérer cruel à dessein. Le premier groupe qu'elle rejoignit avait un petit penchant pour les abus en tout genre et fut décimé lors d'une attaque de walkers. Un cadavre - bien mort, celui-ci - lui sauva la peau de justesse. Le second, moins nombreux mais aussi moins rôdé, ne survécut pas à la faim. Le fait qu'Alex, sans aucun remord, se nourrissait de ses propres rations en cachette, n'aida pas franchement le moral de feu les troupes. Si, ces premières semaines, rester auprès de ses pairs lui avait paru essentiel à sa santé mentale, elle renonça à cette ambition pour quelques temps. Le jeu n'en valait pas la chandelle, se disait-elle. Seule, elle avancerait plus vite. Seule, elle survivrait peut-être. Sûrement.

Détroit était un cimetière. Ambulant, mais un cimetière tout de même. Ce fut là qu'elle vécut sa première dépression. Seule, retranchée au fin fond d'une cave humide sur un matelas puant l'urine et rempli de puces, elle pleura sur son sort et celui de l'humanité. Tout s'était effondré, il n'y avait plus rien à quoi se raccrocher, l'espoir de retrouver son frère ou même ses amis, disparu avec sa volonté. La soif la fit sortir prudemment de son trou. S'il n'y avait pas eu Pépé, peut-être serait-elle morte dans cette avenue, cadavre trainant des pieds parmi tous les autres. Pépé, un berger allemand qui portait encore son gilet de l'unité spéciale auquel il avait dû appartenir. Elle l'aperçut du coin de sa ruelle et se demanda comment la bestiole avait survécu avec tous ces rôdeurs partout. Quand elle le vit dresser l'oreille et grogner avant de se carapater dans sa direction, apercevant trente secondes plus tard une dizaine de zombies se dirigeant vers la poubelle qu'il fouillait un peu plus tôt, elle comprit. Le chien avait les sens plus affuté que n'importe quel esprit. Il l'avait même senti, elle, alors qu'elle se trouvait à une vingtaine de mètres. Il attrapa un pan de son jean et tira jusqu'à ce qu'elle le suive dans sa tanière, un amas de tôles froissées inaccessible à n'importe quel cadavre dévoreur. Puis, les rôles s'inversèrent : le danger passé, elle le ramena dans son propre repère. Il se laissa faire sans rechigner. Il était affamé et surtout, devait souffrir de la solitude autant qu'elle. Dommage que l'animal n'ait pu parler.

Requinquée par cette rencontre, la jeune femme quitta la métropole - non sans avoir refait ses réserves au préalable. Délestée d'un lot d'armes subtilisé désormais inutile, elle se sentait pourtant bien plus en sécurité que quelques temps auparavant. Pépé l'avertissait au moindre bruit suspect et veillait sur elle autant que le contraire était valable. Néanmoins, quoi qu'elle en dise, le manque de contact humain lui manquait. C'est pourquoi elle suivit les indications menant à ce que les panneaux nommaient le "Havre". Ils promettaient un asile, un abri sûr ... Des espoirs qu'elle nourrissait secrètement. Elle n'était pas aussi bien adaptée à ce nouveau monde qu'elle l'aurait voulu. Un repas chaud, des barrières, un vrai lit, voilà ce qu'elle attendait, ce dont elle avait besoin.

Elle faillit bien se précipiter dans la gueule du loup. Le hasard voulut que pendant son observation des lieux - ses péripéties l'avaient rendu méfiante -, elle surprit une conversation entre deux membres de la communauté. Ils semblaient être de corvée de surveillance et l'absence de danger apparent leur avait fait baisser leur garde, aussi parlaient-ils un peu trop librement. Comprenant de quoi il retournait, à savoir que la communauté avait cédé à l'appel du cannibalisme, son sang ne fit qu'un tour. Et pour la première fois depuis des mois, un plan digne d'un stratège germa dans son esprit. Alex n'avait pas fait que de belles choses cette dernière année, cependant, jamais elle n'aurait pu se trouver réduite à ce qu'elle considérait comme de la cruauté pure. Ignorant tout de ce qui avait conduit la communauté à cette extrémité, elle décida qu'elle leur ferait passer l'envie d'exterminer gratuitement leur prochain. C'était contre-nature. Et tout ce qui était contre-nature méritait de disparaître.

Le masque de la pauvre demoiselle épuisée et désarmée, tenant des propos incohérents et pleurant à chaudes larmes lui ouvrit les portes du Havre ... Qui n'avait rien d'être un lieu de paix. Tandis que Pépé l'attendait à moins de deux kilomètres avec ses armes, on lui donnait un lit et un repas chaud. Des mains apaisantes surveillaient la fièvre qu'elle avait attrapé - une nuit en tee-shirt sous la pluie pour choper cette satanée grippe ! -, l'appelaient "ma petite" et roucoulaient devant son air angélique. Elle ne sut jamais s'il avait été question de la découper en quelques morceaux car, une fois rétablie, persuadés qu'elle ne constituait pas une menace, elle fut introduite parmi eux. On ne tarda pas à la mettre officiellement au fait de ce qui se tramait et elle ne broncha pas. A leurs yeux et avec un dynamisme calculé, elle leur apparut comme prête à adopter leur mode de vie. Ils la testèrent à plusieurs reprises. Elle coupa des gorges. Dépeça des cadavres d'innocents qui avaient nourri les mêmes espoirs qu'elle. La "viande" fuma sous sa surveillance. Toujours en apparence, elle ne semblait pas en être affectée le moins du monde.

Un mois plus tard, elle plaçait ses bombes.

Quelle douce ironie. Alex n'avait rien appris de son passé. Elle ne se souvint pas du vigile qui avait péri si longtemps auparavant, de la culpabilité qui la rongeait encore aujourd'hui et l'empêchait de dormir la nuit. Elle ne remit pas une seule fois son geste en question, qu'importait l'ambivalence des sentiments qu'elle avait à l'égard de ces assassins - des ces gens traumatisés, comme elle, qui survivaient comme ils pouvaient. Comme elle. Quand bien même elle savait désormais pourquoi ils agissaient de la sorte, elle n'éprouva aucun remord, pas une once d'empathie. Si elle se retourna pour jeter un dernier coup d'oeil à la réserve, c'était seulement pour vérifier que le bidon qu'elle avait utilisé comme contenant était suffisamment prêt des stocks de nourriture et des canalisations. Il faisait orage, ce jour-là. Au premier coup de tonnerre, elle frappa dans le tuyau de gaz de toutes ses forces. Deux éclairs plus tard, la conduite fuyait. Elle s'empressa de quitter la pièce et traversa, l'air de rien, la cour principale, adressant les saluts sur son passage. Comme elle s'était arrangée pour être de corvée de surveillance, quitter l'enceinte dans le quart d'heure suivant ne fut pas difficile. Se débarrasser de sa co-équipière, un peu plus. Les os de sa nuque se brisèrent sous l'impact de la crosse qu'elle lui enfonça en traître, dans le dos. Elle espérait qu'elle se relèverait et errerait à jamais dans ces bois mortifères.

Son attaque avait-elle réussi ? Le combustible qu'elle avait utilisé - du bicarbonate de sodium mélangé à de l'essence - était capricieux. Le comburant - le gaz -, plus sûr, mais cela suffirait-il ? Elle l'ignorait et son instinct lui soufflait que rester pour vérifier que l'embrasement avait bien eu lieu et que la panique envahissait le Havre n'était pas une idée très avisée. Elle rejoignit Pépé et ses affaires, décidant que trainer dans les parages n'en étaient pas une meilleure. Elle n'avait pas pu détruire le Havre dans son intégralité et savait qu'ils se mettraient à sa poursuite quand ils réaliseraient sa traîtrise.

Alors, elle retourna sur ses pas. Une nouvelle errance l'attendait. Mais le goût de la justice rendue masqua l'amertume de cette perspective.

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MessageSujet: Re: Alex † Something like death   Alex † Something like death EmptySam 23 Jan 2016 - 10:43
Coeur Coeur Coeur
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MessageSujet: Re: Alex † Something like death   Alex † Something like death EmptySam 23 Jan 2016 - 10:45
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MessageSujet: Re: Alex † Something like death   Alex † Something like death EmptySam 23 Jan 2016 - 11:07
Bienvenue parmi nous jolie Alex, bon courage avec ta fiche Sushi
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MessageSujet: Re: Alex † Something like death   Alex † Something like death EmptySam 23 Jan 2016 - 19:55
Merci Arielle bigeye2 Et fiche terminée je pense !
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MessageSujet: Re: Alex † Something like death   Alex † Something like death EmptySam 23 Jan 2016 - 20:02
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MessageSujet: Re: Alex † Something like death   Alex † Something like death EmptySam 23 Jan 2016 - 20:19
Bienvenue Alex ! Hey
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MessageSujet: Re: Alex † Something like death   Alex † Something like death Empty

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