Nous étions dans les bras l'un de l'autre profitant de l'instant, pas besoin de paroles quand nos corps s'expriment à leurs façons. Elle cède à ma demande et j'en suis heureux j'étais si bien avec elle. Il semblerait qu'elle se détende, plus de stress, ni d'angoisse dans sa voix, je me sens moi aussi détendu et serein. Elle me propose une sortie, c'est tentant mais je suis cloué ici pour la matinée Malorie se réveille en général dans l'heure qui suit. Elle me parle aussi de ma réserve qui fond comme neige au soleil, effectivement je sais pas si c'est une bonne idée qu'elle reste après tout, car elle va fondre encore plus vite si je n'arrive pas à tempérer mes hormones encore en ébullition, c'est fou l'effet qu'elle me fait.

Puis elle passe à califourchon sur moi, encore, elle embrasse tout mon corps alors que j'émet quelques gémissements de plaisir. Ses caresses était d'une douceur sans fin et ses baisers d'un érotisme particulièrement plaisant. Je la laisse faire pendant un temps, elle aime prendre les choses en main alors autant lui laisser croire pendant un temps qu'elle pouvait ce qui lui chanter.

Alors que je la sens s'emballer un peu, je l'attrape par les épaules la planquant une nouvelle fois contre moi, je repasse au-dessus d'elle, pourquoi s'était-elle rhabillé ? Il fallait que je prenne mon trophée... D'une main ferme je prends les siennes et les plaque au-dessus d'elle. Je lui fais un petit sourire coquin avant de l'embrasser sans retenue, faisant descendre mon autre main vers son pantalon, doucement mais surement se glissant vers l'endroit le plus sensible de son corps.

Je la sens se tortiller dans tous les sens, tentant d'échapper à mon contrôle, je garde pourtant une poigne ferme, sans lui faire de mal je la garde sous contrôle. Ma main arrive alors aux portes de son intimité, je lui susurre alors :

- Il est temps de prendre mon nouveau trophée ....

Je retourne embrasser son cou, puis ses lèvres dans une passion brûlante de désir.